Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/24

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-î »— Oui, monsieur, que puis-je pour votre wserviceî -·. °· ’ ·.. ·

— » Tai fait une découverte bien précieuse n et qui doit vivement vous intéresser ; · «— » Quelle est-·elle, s’il vous plaitâl · ’· -·· » Un livre, monsieur, · le premier, le —plus utile des livres pour vous, et qui, dans les fonctions si pénibles que vous avez remplies, vous eût épargné bien du mal ; ·’ î — » (Test de la moutarde après-dîner ; —’ ï — » Il arrive un peu tard-, ·je le sais ; mais que voulez-vous ? voilà plus de cinquantzeans q n’il n’a pas vu la lumière ! · · · — » Et qui donc le tenait ainsi ; sous ; le ».boissea1,1P .. -..—

» Qui donc ? vous le demandez- ! le plus terrible de nos bibliotaphes, feu M: Boulard. En.a-t—il, porté ’°deS· bouquins dans-ses•·p0-•’ ig ches, qui étaient comme- des- acorbillerdeil c’est lui qui les avait ; inventées, lesï PGCIIBP à · la Boulard. Dix qu’il possédüt xi sur le pavé de Paris, · étaient mutant de cimetiëres ; où. tout, ce qui’. lui.- tqmhait ; Ésous 1a main., êtait ixnpitoyàblement < ena terré• l .. H, E., ’. · ·

I — » Quel en terreur ! · · » »..t-e :.· Ã