Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/241

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un vxnocç. sti ».j’a-urai trois francs par jour g’nous les partagerons. HENRIETTE· » Quoi ! ’tu serais... Ah ! mon ami, mourons ! C’est moi qui te le propose à présent. Susanne. » Je ne recule plus. HENMETTE. » Nous mourrons ensemble dans les bras l’un de l’autre ; au moins je serai sûre qu’après moi Frédéric ne sera plus à personne. Susanne. » Te voilà contente, Adèle ? Annu :. » Oui ; je le suis. FRÉDÉBIC. » Elle est dure celle-là ! enfin il n’y a pas à tergiverser ;... il faut sauter le pas ; plus vite ce sera fait, plus tôt nous serons débarrassés. HEN1u1·:·r-rn (soufflant sur le charbon). » Qu’il est lent à prendre ! e Annu ;. » Donne, donne, il sera bientôt embrasé. - p Fr.ÉnÉmc. » Prenez garde à l’incendie, car »’nous ne sommes pas chez nous, et au-dessus il y a des enfants. HENRIETTE. » Ces chers innocents ! il ne faut pas les griller. ’ Annu :. » Ce serait peut-être leur rendre ser-VICE. J