Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/260

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au nânoxnns Tous. » Oui, oui Snsmmn. » Faisons à ceux qui le méritent, ce que nous voudrions qu’on nous Ht. F11ÉnÉmc. » Mais il faut qu’ils ignorent de qui ça leur vient, sans cela nous nous compromettrions. ° ’ADÈLE, . » Certainement, ils n’en sauront rien. >g Actuellement, mes enfants, je vas vous expliquer mon plan :, l’usurier vient de partir pour Saint -·Maur, où il se rend à pied avec :>> sa femme. Ils ne doivent revenir que demain, ainsi nous avons du temps, devant nous. Ce· » pendant, comme dans ces sortes d’affaires il vaut mieux tôt que tard, je vais partir, vous me suîvrez : Henriette restera dans la ’ » rue à faire le guet, et tandis que j’attirerai la fruitière au fond de la boutique, Frédéric et Susanne fileront dans l’allée : c’cSt au second sur le derrière, en face de li escalier ; il y a un ° guichet à la »porte et un pied de biche à la ’ » sonnette. La petite clé ouvre le verrou de sûreté, la grosse est pour la serrure, vous ne pouvez pas vous tromper ; il ne faut pas Qu- · blier de nous munir d’une pince, dans le cas où ily aurait un coffre... ’ Fmënâiuc. » Susanne la cachera sous $83. on jupes.