Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/265

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ni vxnooq. · uw n autre, puisqu’elle ne s’enfonce pas à moitié. — » Voyons, voyons, prenez mon parapluie ; n ces femmes sont si maladroites l. — » Allez, je. vous cède la place, vous ferez de beaux œufs I ·. • - » Aussi beaux que les vôtres (il s’efforce n de pousser). Diable, il y a de la résistance ! Si j’avais quelque chose pour la déboucher ; appelez donc la Fruitière. — » Ah lvous êtes plus adroit que moi l.... (elle appelle) Madame Bouleaui LA Fnm-r11’znE. » ; Qu’est-ce qu’il y a, madame ? Mme Lommw. » Avez-vous quelque chose pour déboucher notre clé ? Faites-nous le plaisir de monter. —LA Fnurrxnnrz. » ça fera-t-i votre affaire P M. Lounum. » Que me donnez- vous hi ! votre Bl à couper le beurre ? Mme · Lomunn. » (Test trop mou, ma chère. La FRUITIÈRE. » Si monsieur le mettait en double...... n ’ M. Lonnmm. » ’Elle a raison. Mme LoMn.4un.’ » En double, en double, ça n’ira jamais L4 FRUITIÈRE. ’ » Je vais vous chercher une allumette. Tous 1v. 1 7.