Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/267

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un vxnooç. np ! LA Fnm-r1E1u¤:. » Une aiguille à- tricoter ; qui donc qui fait des bas que je connais PÀ11 ! jiy n suis I c’est l’invalide, qui est l’amoureux de la portière du numéro 17 ; p’t-être qu’il lui en ’ aura· laissé un jeu ; j’y cours. ’ ’ Mme Loumnn. » Courez vite., Comme c’est impatientant l... -’ M. Lommnn. » Pourvu encore qu’elle en ait une É D J Mme Lommnn. » J e Yentends qui galoppe... M. Lommm.  » Elle n’a pas été’long-temps (Papercevant). Enfin vous avez une aiguille, c’est bien heureux E ’ " ’-LA Fnu1·1·1È1u=:. •> Elle est assez forte, fespère. ’ M. Lomsnn (prenant l’aiguille) » Cette fois nous sommes des bons. » (Il fouille, souffle, frappe, refrappe, souffle de nouveau, refrappe encore.) « C’en est-il un fameux morceau ’ ’ celui-làl décidément, il n’ya plus rien. ’ Mm ? Lomann. » Vous devez bien sentir si vous êtes au fond. (. M. Lomnxnn. » Certainement je le sens..., je touche le fer, elle n’ira pas plus avant.... ; à présent il n’y a plus d’obstacles, il faudra ’ > », bien qu’elle ouvre ou quielle. dise pourquoi I » (il met la clé dans la serrure) 5 j’y perds, mon ’ 17.