Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/276

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Heummrrz. » ’Tu ne te souviens pas, Frédésa rie, cette femme en couche ?

Faùnimc. » Le père de famille que notre " · » banquier a mis si inhumainement la porte ; n je ne m’y oppose pas". ; oui, on leur donnera mille francs à ces pauvres gens, ce n’est-pas u trop. ». ·.· · ·

’Le reste de la journée et la nuit. suivante se passèrent à faire des châteaux en. Espagne ; on ne ferme pas l’œil ; dès quatre heures du matin Adele se leva pour aller accomplir Yœuvre de bienfaisance à laquelle toute la société avait souscrit de si bon cœur ; Susanne ainsi que ’ ’Henriette s’habillèrent, et partirent pour la halle, afin d’·y faire des emplettes gpour le dé-. I eûner, qui devait être splendide ; deux heures après, elles revinrent avec d’abondantes provisions et quelques ustensiles de ménage., parmi lesquels de la. vaisselle, des à repasser, plusieurs casseroles, un gril, une rôtissoire et. une table de noyer. —Susanne,

u Posez ça là, mon brave homme ; ’ » tenez, voilà pour la commission ; êtes vo/us ’ » content ?.

Le Poirraun, » Quarante sous ! si les riches payaient aussi généreusement, ou ne trouve-