Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/278

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un’nimoxnis voilà le vôtre, c’est. le plus plein, vous en avez l’ét1·enne, ce sont des verres ·neufs..., . F nÉnÉ1uc. » Qui est-ce qui trinque ? n LE Poirrimn. » Puisque vous le permettez.. ; à votre santé, mesdames !... À la vôtre mon bourgeois l (Il pose son verre et se retire.} FRÉDÉBIC. (se mettant en devoir de vider les paniersô. » Des petits pois, le pot-au-feu, des haricots verts, des pêches, c’est du fruit ’nouveau, on ne se refuse plus rien ? - HENRIETTE. » Il faut qu’il mette son nez partout ; quand je vous dis, il n’y a plus d’enfants. ’ · ’ FnÉnÉ1uc. >: Et ça, qu’est-ce que c’est... Susanne. » Du blanc pour nettoyer les vitres. Fnânûmc. » C’est bien nécessaire, du blanc ? HEmuE·r-rE. » Ne croit-il pas que nous allons vivre dans la saleté ? v ’ ’ SUSANNE. · » Non monsieur, je veux que ce n soit ici comme un petit palais. HENRIETTE. » Qu’on se mire dans les carl’eaux. ’ FBÉDÉRIC. » Du café, du sucre, de l’eaude-vie ; ah ! pour le coup je- tiens la meilleure ~ » pièce, un gigot ! je ne suis plus si fàché...· ; je ne m’étonne pas à présent, s’il y à une l’ôÉl$• so1re...