Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/279

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I ni viiooç. su ’ Heunmrrn. » Oui mon chou, une rôtissoire ; sa il faut que la broche tourne ici au i’ourd’hui. Hardi. Susanne, donne-moi vite un coup de main, que tout soit prêt quand Adèle reviendra..., que nous n’ayons plus qu’à nous met’ » tre à table... » · Elles eurent bientôt fait les préparatifs de ce premier festin, d’une opulence après laquelle elles avaient si long-temps esoupiré ; lorsque le gigot fut cuit à point, Susanne s’occupa de mettre le couvert... ’ Hnmmxrrrn. « Eh bien ! Frédéric, qu’en distu ? n’arrange-t-elle pas bien ça ? ’ F1xÉnÉmc. » On voit qu’elle s’y entend. · SUSANNE. » Que l’on vienne dire encore que nous ne sommes pas des cordons bleus l · FRÉDÉRIC. » Qui prétendrait cela ? les mau=. — »’vaises langues. · SUSANNE. » ça vous à tout de même un coup » d, (Bll. FnÉnÉ1uc. » Un fumet l. ’ SUsA1~r1~rE. » Par exemple il nous manque de l’argenterie ; mais Paris ne s’est pas fait d’un jour.. Fnâmâmc. » On mange bien des perdrix sans si 0I’a11g8S.