Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/283

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K VIIIIOQ. 515 ’ - » Je vois, · monsieur le commissaire qu’il est ’inutile die nier, c’est moîqui suis l’auteur du ° vol. - Ln Comnsssmn. » Yom- ne Pavoueriez pas, . qu’il y ar assez de preuves. » (Il se Exit donner le tablier, et le déployant.) « Reconnaissezwous ceci pour vous appartenir ? ’ Fntnéuc. » Je ne le reconnais que trop. LB COMMISSAIRE. si N’ètes· ;·vous pas libéré des n- fers ? · Fnâoâmc. » Libéré, oui je l’étais. ’ Le Commisssmn. » Ces dames aussi ; nous avons des renseignements- sur leur compte. ’ Gendarmes, attachez -moi’ce gaillard-là, et mettez les menottes à ces femmes, ne les ménagez pas. Fnûnûmc. » Elles ne sont pas coupables l... LE Coumsssnne. » Gendarmes, faites votre sa devoir. »-Pendant qu’ou exécute les ordres du commis- » saire, et qu’il continue sa perquisition, on frappe ~ doncementà la porte ; un mouchard ouvre, et Pon voit entrer une personne dont la mise presque élégante et l’extérieur décent préviennent déjà ensa faveur.. ’ J - Le Cemmssmnn. « Que veut madame ? May18.