Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/285

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I · nnvmocç. · 277 w la visite de madame n’a rien-de suspect, lei I motif en est naturel, et il’n’y a pas d’inconvénient à ce qu’elle se retire. J e vous demande mille pardons, madame ; mais dans nos fonc- ’ tions il nous est quelquefois prescrit d’êt1·e’ indiscret. ». Au moment où la dame ·, près de- se retirer, répond par une révérence aux excuses que lui faitle commissaire, arrivent deux nouveaux agents de police, Coco. Lacour et Fanfan Lagrenouille, » qui, l’ayant aperçue, la considèrent avec une attention marquée. · · · · Coco Lscorm. « Je crois avoir l’honneur de L connaître madame.. · Fmrm LAGRENOUILLE. » Et moije suis sûr xs de l’avoir vue quelque part. ’ D. LA DAME (un peu troublée  » C’est possi’ » ble, mais je ne vous remets pas. ’ · ° Coco· Lsconn. » Vous devez pourtant me’ » connaître. · ’i’A LA. DAME. » Ma foi, monsieur, jene pensepas avoir cet avantage. ’ Fsmmu. L.te11Euou1m.E. sa Plus j’examine madame, plus je vois que je ne me trompe pas...-Foi de Lagrenouille, je vous connais ; allons, ne battez pas, vous êtes une ancienne calège (femme à voleur), n’est-ce pas ? -