Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/37

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Il 7IDO¢Qs" il - n Oui, monsieur. · E ’— »Je vois votre affaire, ils vous ont enfoncé ? — » Vous l’avez ma foi dit, mon brave mon-. ». sieu1·, trois mille francs qu’i.ls m’ont pris ! q mille écus, en belles pièces de vingt francs. — » Ah- l c°était de l’orP ne vous Pont-ils pas fait cacher ? t ·— » Je crois bien qu’ils me l’ont fait caicher, si bien. cacher que je neflîai plus retrouvé. — » C’est cela, je connais vos hommes. Dites donc, Goury (c’était à l’un de mes agents que j’adressais la’parole), ne seraient sa ce pas Ifermelle, ’Desplanques, et le Père de farnüle P ’ ’ ’ —.L’Ac1=:N·r.’ » ça -m’a tout l’air de cela. I — » N’y avait-il pas parmi eux un long nez ? — » Oh I oui, bien long. · * · — » Je vois que je ne me trompe pas. — » Oh l non ; que vous avez morguenne bien mis le doigt dessus du premier coup, il un y en à qui rencontrent à deux fois. Un long · nez ! ah, monsieur Vidocq, que vous êtes bon enlimtl A présent je ne suis plus si in•’ quiet. u · — » Et pourquoi ? ’