Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/373

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1°¤ vnmcq. un

’expénsive ; ou son maître est sauvé, ou- il ’ mourra bientôt ; en dévorant les restes d’un splendide repas, il crie au. miracle, et chacun, ’dans l’espoir de conserver un hôte comme milord, s’associe a l’allégresse de son serviteur.

Milord’s’éveille, ’il a’passé une nuit des plus confortables ; depuis long-temps il n’ava à goûté ~—à ce degré les douceurs du repos. Dans l’ivresse du bien-Ãêtre dont il jouit, il fait appeler l’au·~·’ bergiste, John descend l’escalier quatre à quatre. Ouje me trompe, où il y a du nouveau ; monsieur est tout guilleret aujourd’hui ; jamais je ’ ne l’ai vu comme ça. John, m’a-t-il dit, nous ne partons plus. Faites-·moi l’amitié pour prier monsieur l’auberge qu’il monte tout de suite. Peut-être milord va-·t-·il’s’installer chez vous. Je vous assure que vous n’y perdriez pas. · -4- » Vous pensez ? ·

— » Ce serait une bonne fortune pour vous ; je ne sais ce’qu’il’vous veut, mais quele que arrangement qp’il vousppropose, si j’ai un · ’ conseil à vous donner, acceptez ; l’essentiel est de ne’pas le contredire., Voyez-vous ces ’ anglais, ça vous a.quelqueFois des idées.... Mais milord est généreux, et quand il siest