Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/393

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se doute bien que le compère ne’le sait pas non plus ; cependant le papier peut donner · des lumières utiles.., ... Il importe d’en connaître le contenu ; mais à ·s ?adresserP on craint de commettre une indiscrétion : en attendant on continue de marcher, et tout à coup, au coin d’une rue, on voit un.homme occupé de lire les affiches E on ne saurait être servi plus à \ point par le hasard. «& Parbleu ! dit le compère, nous ne pouvxons pas mieux rencontrer ; voici ». un monsieur qui va nous tirer d’embarras, montronsduile papier, il nous dira ce que c’est ; v mais surtout gardez-vous bien de lui parler de l’objet, car il serait capable de »vouloir sa part. » ·L’étranger est enchanté, il promet d’être prudent, et l’on va droit au lecteur qui se ’ prête de bonne grâce au service que l’on réclame de lui ; il lit : « Monsieur, je vous envoie votre bague en brillants recoupés, pour laquelle votre domestique m’a payé deux mille sept cent vingt-cinq francs, dont quittance. ° » BmsEnÃun, b§ outz}2r·. »

Deux mille sept cent vingt-cinq francs ! que l’on juge si Pénoncé de cette somme, dont la moitié va lui revenir, sonne délicieusement à · Tom : 1v. 25