Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/398

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un xtnoràns

Allez à présent, quand vous aurez une chaîne " » d’or il’ferai chaud. La vôtre faisait pourtant n’trois tours. Je crois que je vous- en avais n donné assez long pour votre fête ! ’D’ail-· C n leurs, longueur ou non, vous deviez en être contente ; mais il vous en fallait trois fois plus. ’ — » Comme nous serons bien plantés quand n nous aurons besoin de savoir l’heure ! ° ’ ’— » Taisezwons ; vous êtes une sotte... - » Que c’est donc bien fait ! que c’est donc bien fait ! On vous a attrapé ; tant mieux, n mon cher ! Jene regrette qu’une chose, c’est n qu’on ne vous en ait pas pris davantage. —··· » Parbleu, vous ne m’apprenez’rien de neuf ! Ce n’est pas d’aujourd’hui que je’me suis aperçu que vous ne teniez pas à l’inté=· rét de la maison. » il p \

Le couple sorti-t du bureau en se querellant. ’ Jlignore combien de temps la dispute se prolon·= gea ; mais il est à présumer que la réflexion mit un te1·me aux reproches mutuels. Dieu veuille que, pour hàter le raccommodement, on n’ait ’pas été obligé d’en venir à des voies de fait ! Lorsque trois ramastiques sont ensemble, chacun d’eux a un costume adapté au rôle qu’il doit jouer. Celui qui accoste est presque toujours