Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/45

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ni vmooç. 37

C’est. ti zici qu’est° le maître des mou- ’ chards, stilà qu’attrape si bein les voleux ? — » Approchez mon ami, que voulebvous ? · — » Qa que je veux, c’est zune montre d’argent. qu’on mia ehippée tout à l’heure suz une place..

— » Voyons-, mon brave homme, comment cela s’est, —il fait ? contez-moi cela au- plus juste. — » Vous saurez donc que je m’appell »e Louis Virlouvet, paysan cultivateur et vigneron zà Conflans-Sainte-Honorine, marié bien légin timêment, père de famille, avec quatre en’ » fants, et mon épouse qui est leur mère ; étant venu z’à Paris pour acheter de la futaille, j’allais mon chemin, tout à coup zen. passant suz »· une place qin n’est pas loin d’ici, voilà ti pas, sous votre respect, qu’il. me prend làun de pisser ; je m’arrête devant zun mur, je déboutonne ma· culotte et je ne-suis pas sitôt zen-E » train de lâcher zun Blet d’eau, qu’on me-frappe un sur l’épaule, ’je me retourne, e’était zune demoiselle, me dit comme- ça : c’est-ti toi,

mon ami’lîbiodore Poui c’est— toi, qtïelle reprend, viens quejeüembrasse ; là-dessus avant, que j’eus parlé, elle- mebeise et pour lors elle n me propose une bouteille de.vin ; moi, . qui suis