Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/46

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as ninroxszs.

vigneron, vous n’en ignorez pas que les vi-· gnerons, sont toujours prêts à boire je ne demande pas mieux : elle m’annonce qu’elle a ».zune camarade et qu’elle va la chercher ; je lui réponds, c’est bon, zallez, mais ne soyez ’xr pas long-temps... ; elle s’en va zet moi je xa suit à l’attendre en attendant ; ne la voyant sa.pas revenir je perds patience, je veux tirer a ma montre pour savoir l’heure qu’il est ; je t’en fiche, il n’y avait pas plus de montre que de beurre sur ma main". Plus de doutance, jesuit attrapé, ma montre elle est partie xx sans me dire ad.ieu... ; jecours, mais je ne retrouve plus la demoiselle, et des messieurs à qui que je me suit attaqué, m’ont dit de vexx nir zici, que votre bande me retrouverait ma montre diargent de cinquante-cinq francs, que j’ai zachetée zà Pontoise, chez un horloger si zà quantième, qui allait comme une divir. nité, marquant les jours du mois avec un cordon zen cheveux de ma ifille tressé. zà la ~ » main, qu’il n’y a rien de si beau. ’ — » Avez-vous remarqué à peu près quelle estîla tournure de la femme P-Ã- » La femme qui m’a volé ?. ’

’ 2- D Oui.