Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/47

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nu 7 !DOOQ· ai.

— ga Elle est pas trop vieille, c’est pas une jeunesse non plus ; elle est comme le lard de poitrine, ni trop grasse, ni trop maigre, z’entre le zist et le’zest ; c’est une particulière qui peut z’avoir autour de cinq pieds moins huit, neuf pouces, je mets ça là zenvjron ; avec un bonnet de dentelles, le nez à retroussette, un peu gros : voyons comment qu’il est- gros son nez, que je vous le dise : tenez, approchant comme ste poire qui est ’ sur votre papier de marbre, pour l’empêcher de s’envoler ; si c’est pas ça il s’en faut in pas d’un crin de cheval ; avec un jupon · rouge, des yeux bleus, i et une tabatière en écaille, à la rose fondue, que ça sent bon tout plein.

—è » Vous me rapporte :.-là des particularités bien singulières ; ce sont des ragots que vous nous fabriquez ; je suis convaincu que ce niest pas sur la voie publique que vous avez été ’ · volé ; car pour que vous ayiez observé tous ces détails, vous avez dû voir la femme long-. temps et-de près :· allons, au lieu’de nous faire des narrés qui n’ont pas le sens commun, avouez que vous vous êtes laissé ennl traîner dans une maison de débauche, et que