Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/53

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pas éclater au nez du personnage, tam sa mine était comique et son accoutrement grotesque. Veuillez, monsieur, lui dis-j e, prendre la sa peine de vous asseoir, et me faire connaître sa le motif qui vous amène.

— » Mossio, chai pressente à ’vo le hommaie p che té la part té mossio Lowender, constahele en Bnwe Street. dé le Capotale té la ’ Grand-Britanié :—il mé recommandé à vo, si por tmvèr mon l’ame, qui liaisaiit m0·a cocou ein Parisse, avec mossio Gaviajni, hoffécier italian, qui corrait le publique House.. -¢·— m Je suis désespéré, monsieur, à l’instant · ga je viens de refuser de prêter l’appui de mon ministère, pour une recherche toute sem : » ·lable.· Sil ne siagit ¤que-d’une exploration zo’inostensible 5 en considération de M.- Lowen•· ».cler..je puis vous indiquer quelqu’un, · qui, moyennant- salaire, fera toutes =les démarches on.que.nécessite là circonstance. 1. J, . · -%·— » Ies, · îesyexplrIrachein inosI ; eii1sëble..·. Ghaieomprends, vo rendez moi booop satisfait. —· ’ »i /Donnez«-rmoi, s’.il vous plaît, lesnoms de votre épouse, son signalement, · et tous z les détails qui vouspamitronm Prapmà nous 9 !dll*i>@I’·af=’· · =·J’=" ’