Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/64

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M uinroxnzs ’les *ven-ouw et les grzïles, etc. Le troisième jour de cette captivité conjugale, madame Beooot, à ce qu’il paraît, s’ennuya d’être en cage ; le quatrième, je fis une visite à M, . Becoot ; il n’était pas midi, je le trouvai à table avec son frère, . en face d’un p !umh-pudding et d’une douzaine de bouteilles de Champagne, dont ils avaient déjà fait sauter les bouchons. Ah ! bonne jor, mossio Vaidoc ; il était ’ » bocop de politesse à vo, por venir voir no. ’ Vo bo-a-rez de la Champeigne ? n — Je Yousremercie, je n’en bois jamais a jeun.. —· » Vo n’était pas oune bonne Anclaise. — » Eh bien ! vous voilà au comble de la xs joie, le duc de Modène vous a rendu votre ’ » femme, je vous en fais mon compliment. ’ — n Complimente ! goddem. Il était encore envolée, madame Becoot. F- » Eh quoi ! vous n’avez pas su la garder. — » Il était envolée, jé vo dit, la félon ! — xx Puisque c’est ainsi, n’en parlons plus. — » Non, plus parler, tujor bo-·a-re la ix Champeigne : il n’était pas félon. » Ces messieurs insistèrent de nouveau pour que je leur tinsse compagnie, mais comme j’a-