Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/77

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un Ytnooq. sa

un vous connaît trop brave pour cela. Le papa-Bailly il peut passer partout, le papaBailly. — » Je sais bien, vous avez raison ; si c’é·· ~ » taient des amas de Pantin, je pourrais me no faire reconnaître, mais des pautres nouvellement ajîanchù (des paysans qui font leurs premières armes), j’aurais beau faire l’arn çon *. ’

— »· Il n’y a pas de danger ; à votre santé, a père Bailly..

~— » A la vôtre : ah çal je ne m’ennuie pas, ’ mais c’est cette fois que je m’en vais. Il n’y a »• plus de rémission. Bonsoir, portez - vous ; bien. À B

— » Vous le voulez, nous ne vous retenons. on plus. » Ils l’aident à placer sur son épaule un bâton, à Yextrêmité duquel est attaché le paquet qui contient le numéraire. Aussitôt le père Bailly, qui en à sa charge, prend sonessor.- ’

Le voilà dans le faubourg, papillonnant, tré-. ’ buchanglvoltigeant ; roulant, gravitant, faisant (1) Llargon est un signe de reconnaissance qui correspond à ce qu’on appelle la grippe en langage maçonnique ; il se fait en se coupont verticalement la avec le pouce que l’on descend par le côté’ slunèz sur les lèvres. Ce simulacre est accompagné d’up qracbqmenyh