Page:Villiers de L’Isle-Adam, Premières poésies, 1893.djvu/46

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<poem>« Ô perle du désert ! dis-moi : » Si le giaour infidèle » Ne s’en revenait plus vers toi ? » — « Je te comprends bien, » lui dit-elle :

« Mais, je m’appelle Zaïra. » Va, mon cœur l’aimerait quand même : » Je suis de la tribu d’Azra, » Chez nous on meurt lorsque l’on aime ! »



FIN DES FANTAISIES NOCTURNES