Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/113

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Aux jours joyeux du printemps, quand les feuilles étaient vertes, oh ! comme il chante gaîment, le merle ! Je cherchai parmi les fouillis de clarté l’amour que mes yeux n’avaient jamais vu. Oh ! la joyeuse tourterelle a des ailes dorées.

Parmi les fleurs et rouges et blanches, oh ! comme chante gaîment le merle ! Mon Amour parut le premier à mes yeux. Oh ! parfaite vision de plaisir ! Oh ! la joyeuse tourterelle a des ailes dorées.

Le jaune des pommes avait l’ardeur du