Page:Wilde - La Maison de la courtisane, trad. Savine, 1919.djvu/154

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Ne dit-on pas que dans des années bien lointaines, dans une ville au fond de l’Orient, quelques soldats coururent, la torche en main, vers minuit, se chamailler au sujet de pauvres vêtements, et jouèrent aux dés les haillons d’un malheureux, sans rien savoir du miracle divin, et des souffrances d’un Dieu ?