Page:Wilde - Le Portrait de monsieur W. H., trad. Savine, 1906.djvu/248

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avait des pieds d’airain et des cheveux comme de la laine fine.

Et il releva l’ermite et lui dit :

— Jusqu’ici tu as eu la parfaite connaissance de Dieu ; maintenant tu as le parfait amour de Dieu. Pourquoi pleures-tu ?

Et il le baisa.