Œuvres poétiques de Chénier (Moland, 1889)/Tous étaient désunis

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Œuvres poétiques, Texte établi par Louis MolandGarnierVolume 2 (p. 334-335).


XV[1]



Tous étaient désunis : ou ne marchait point, on ne frappait point, on ne mourait point ensemble[2]

  1. Publié dans l’édition de 1840.
  2. Imité de Voltaire, dans la Henriade :
    Français, Anglais, Lorrains, que la fureur rassemble.
    Avançaient, combattaient, frappaient, mouraient ensemble.