Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence/Table des matières contenues dans les Considérations sur les Romains

La bibliothèque libre.
Texte établi par Édouard Laboulaye, Garnier (p. 429-448).


TABLE

DES MATIÈRES

CONTENUES DANS LES CONSIDÉRATIONS SUR LES ROMAINS.


__________


A

Acarnaniens. Ravagés par la Macédoine et l’Étolie, page 153.

Achaïens. État des affaires de ce peuple, ibid.

Actium (bataille d’). Gagnée par Auguste sur Antoine, 145.

ACYNDINE et BARLAAM. Leur querelle contre les moines grecs, 300.

Adresse. Sa définition, 127.

ADRIEN (l’empereur). Abandonne les conquêtes de Trajan, 245. On en murmure, ibid. Rétablit la discipline militaire, 255.

Affranchissement des esclaves. Auguste y met des bornes, 220.

Affranchissements. Motifs qui les avaient rendus fréquents, ibid.

Afrique (villes d’). Dépendantes des Carthaginois : mal fortifiées, 142.

Agriculture (l’) et la guerre étaient les deux seules professions des citoyens romains, 197.

AGRIPPA, général d’Octave. Vient à bout de Sextus Pompée, 219.

ALEXANDRE, successeur d’Héliogabale. Tué par les soldats romains, 256.

ALEXIS COMNÈNE. Événements arrivés sous son règne, 321.

ALEXIS et JEAN COMNÈNE. Repoussent les Turcs jusqu’à l’Euphrate, 322.

Allemagne. Ses forêts élaguées, ses marais desséchés, 305.

Allemands croisés. Paient cher les fautes des croisés français, 322.

Allié (le titre d’) du peuple romain, très-recherché, quoiqu’il emportât avec soi un véritable esclavage, 165.

AMALASONTE, reine des Goths. Fournit des vivres à Bélisaire, 291.

Ambassadeurs romains. Parlaient partout avec hauteur, 164.

Ambition. Mal très-commun dans l’empire grec : pourquoi ? 301.

Anarchie. Règne a Rome pendant les guerres civiles, 222-223.

ANDRONIC PALÉOLOGUE. Abandonne la marine : par quelle raison ? 311. Réponse insolente d’un patriarche de Constantinople au vieux Andronic, 312. Passe sa vie à discuter des subtilités théologiques, 313.

ANDRONIC COMNÈNE. Le Néron des Grecs, 319.

Angleterre. Sagesse de son gouvernement, 187.

ANNIBAL. A quoi il dut ses victoires contre les Romains, 144. Obstacles sans nombre qu’il eut à surmonter, 140. Justifié du reproche qu’on lui fait communément de n’avoir point assiégé Rome immédiatement après la bataille, et d’avoir laissé amollir ses troupes à Capoue, 148. Ce furent ses conquêtes même qui changèrent sa fortune, 149. Critique de l’auteur sur la façon dont Tite-Live fait parler ce grand capitaine, 150. Réduit par Scipion à une guerre défensive, il perd une bataille contre le général romain, 151.

ANTIOCHUS. Sa mauvaise conduite dans la guerre qu’il fit aux Romains, 158. Traité déshonorant qu’il fit avec eux, 159.

ANTOINE. S’empare, du livre des raisons de César, 213. Fait l’oraison funèbre de César, 214. Veut se faire donner le gouvernement de la Gaule Cisalpine au préjudice de Décimus Brutus, qui en est revêtu, 215. Défait à Modène, 210. Se joint avec Lépide et Octave, ibid. Réuni à Octave, ils poursuivent Brutus et Cassius, ibid. Jure de rétablir la république, perd la bataille d’Actium, 220-221. Une troupe de gladiateurs lui reste fidèle dans ses désastres, 221.

ANTONINS (les deux). Empereurs chéris et respectés, 247.

APPIEN. Historien des guerres de Marius et de Sylla, 108.

APPIUS CLAUDIUS. Distribue le menu peuple de Rome dans les quatre tribus de la ville, 186.

Arabes. Leurs conquêtes rapides, 304. Étaient les meilleurs hommes de trait, 305. Bons cavaliers, ibid. Leurs divisions favorables à l’empire d’Orient, 318. Leur puissance détruite en Perse, 319.

ARCADIUS. Fait alliance avec les Wisigoths, 284.

Archers crétois. Autrefois les plus estimés, 132.

Arianisme. Était la secte dominante des Barbares devenus chrétiens, 288. Secte qui domina quelque temps dans l’empire, ibid. Quelle en était la doctrine, 300.

Aristocratie. Succède, dans Rome, à la monarchie, 180. Se transforme, peu à peu, en démocratie, 181.

Armées romaines. N’étaient pas fort nombreuses, 130. Les mieux disciplinées qu’il y eût, 131. Dans les guerres civiles de Rome, n’avaient aucun objet déterminé, 221. Ne s’attachaient qu’à la fortune du chef, ibid. Sous les empereurs, exercaient la magistrature suprême, 257. Dioclétien diminue leur puissance : par quels moyens, 201 et suiv. Les grandes armées, tant de terre que de mer, plus embarrassantes que propres à faire réussir une entreprise, 290.

Armées navales. Autrefois plus nombreuses qu’elles ne le sont, 145.

Armes. Les soldats romains se lassent de leurs armes, 274. Un soldat romain était puni de mort pour avoir abandonné ses armes, 275.

ARSÈNE et JOSEPH. Se disputent le siège de Constantinople : acharnement de leurs partisans, 134.

Arts. Comment ils se sont introduits chez les différents peuples, 134. Étaient réputés, comme le commerce, chez les Romains, des occupations serviles, 197.

Asie. Région que n’ont jamais quitté le luxe et la mollesse, 158.

Association. De plusieurs villes grecques, 152 ; de plusieurs princes à l’empire romain, 257. Regardée, par les chrétiens, comme une des causes de l’affaiblissement de l’Empire, 278 et suiv.

Astrologie judiciaire. Fort en vogue dans l’empire grec, 301.

Athamanes. Ravagés par la Macédoine et l’Étolie, 153.

Athéniens. État de leurs affaires après les guerres puniques, ibid.

ATTILA. Soumet tout le nord, et rend les deux empires tributaires, 280. Si ce fut par modération qu’il laissa subsister les Romains, ibid. Dans quel asservissement il tenait les deux empires, ibid. et suiv. Son portrait, 281. Son union avec Genseric, 284.

Avares (les) attaquent l’empire d’Orient, 299.

AUGUSTE. Surnom d’Octave, 222. Commence à établir une forme de gouvernement nouvelle, ibid. Ses motifs secrets et le plan de son gouvernement, 223. Parallèle de sa conduite avec celle de César, ibid. S’il a jamais eu véritablement le dessein de se démettre de l’empire, 224. Parallèle d’Auguste et de Sylla, ibidem. Est très-réservé à accorder le droit de bourgeoisie, 220. Met un gouverneur et une garnison dans Rome, 227. Assigne des fonds pour le payement des troupes de terre et de mer, ibid. Avait ôté au peuple la puissance de faire des lois, 231.

AUGUSTIN (saint). Réfute la lettre de Symmaque, 279.

Autorité. Il n’en est pas de plus absolue que celle d’un prince qui succède à une république, 240 et suiv.

B

BAJAZET. Manque la conquête de l’empire d’Orient : par quelle raison, 326.

Baléares (les). Étaient estimés d’excellents frondeurs, 132.

Barbares. Devenus redoutables aux Romains, 258-282. Incursions de Barbares sur les terres de l’empire romain, sous Gallus, 258 ; et sur celui d’Allemagne, qui lui a succédé. 258. Rome les repousse, 259. Leurs irruptions sous Constantius, 266. Les empereurs les éloignent quelquefois avec de l’argent, 270. Épuisaient ainsi les richesses des Romains, 271. Employés dans les armées romaines à titre d’auxiliaires, 272. Ne veulent pas se soumettre à la discipline romaine, 276. Obtiennent, en Occident, des terres aux extrémités de l’empire, 285. Auraient pu devenir Romains, ibid. S’entre-détruisent la plupart, 287. En devenant chrétiens, embrassent l’arianisme, 288. Leur politique, leurs mœurs, ibid. Différentes manières de combattre des diverses nations barbares, 278-289. Ce ne furent pas les plus forts qui firent les meilleurs établissements, 289. Une fois établis, en devenaient moins redoutables, 288.

BARLAAM et ACYNDINE. Leur querelle contre les moines grecs, 309.

BASILE (l’empereur). Laisse perdre la Sicile par sa faute, 311.

BASILE PORPHYROGÉNÈTE. Extinction de la puissance des Arabes en Perse sous son règne, 321.

Batailles navales. Dépendent plus, à présent, des gens de mer que des soldats, 146.

Bataille perdue. Plus funeste par le découragement qu’elle occasionne que par la perte réelle qu’elle cause, 147.

BAUDOUIN, comte de Flandres. Couronné empereur par les Latins, 322.

BÉLISAIRE. A quoi il attribue ses succès, 289. Débarque en Afrique pour attaquer les Vandales, n’ayant que cinq mille soldats, 290. Ses exploits et ses victoires. Portrait de ce général, 291.

Béotiens. Portrait de ce peuple, 152.

Bigotisme. Énerve le courage des Grecs, 300. Effets contraires du bigotisme et du fanatisme, 307.

Bithynie. Origine de ce royaume, 157.

Bled (distribution de) dans les siècles de la république et sous les empereurs, 264.

Bleus et verds. Factions qui divisaient l’Empire d’Orient, 293. Justinien favorise les bleus, 293.

Bourgeoisie romaine (le droit de). Accordé à tous les alliés de Rome, 190. Inconvénients qui en résultent, ibid.

Boussole (l’invention de la). A porté la marine à une grande perfection, 145.

Brigue. Introduite à Rome, surtout pendant les guerres civiles, 222.

BRUTUS et CASSIUS. Font une faute funeste à la république, 200. Se donnent tous deux la mort, 217.

Butin. Comment il se partageait chez les Romains, 120.

C

CALIGULA. Portrait de cet empereur. Il rétablit les comices, 235. Supprime les accusations du crime de lèse-majesté, ibid. Bizarrerie dans sa cruauté, 239. Il est tué. Claude lui succède, 239.

CALLINIQUE. Inventeur du feu grégeois, 318.

Campanie. Portrait des peuples qui l’habitaient, 123.

Cannes (bataille de). Perdue par les Romains contre les Carthaginois, 147. Fermeté du sénat romain malgré cette perte, ibid.

Capouans. Peuple oisif et voluptueux, 123.

Cappadoce. Origine de ce royaume, 157.

CARACALLA. Caractère et conduite de cet empereur, 251. Augmente la paie des soldats, 252. Met Géta, son frère, qu’il a tué, au rang des dieux, 253. Il est mis aussi au rang des dieux par l’empereur Macrin, son successeur et son meurtrier, ibid. Effets des profusions de cet empereur, 255. Les soldats le regrettent, 256.

Carthage. Portrait de cette république, lors de la première guerre punique, 138. Parallèle de cette république avec celle de Rome, 140. N’avait que des soldats empruntés, 141. Son établissement moins solide que celui de Rome, 142. Sa mauvaise conduite dans la guerre, 143. Son gouvernement : dur, ibid. La fondation d’Alexandrie nuit à son commerce, ibid. Reçoit la paix des Romains après la seconde guerre punique, à de dures conditions, 151. Une des causes de la ruine de cette république, 187.

CASSIUS et BRUTUS. Font une faute funeste à la république, 200.

CATON. Son mot sur le premier triumvirat, 203. Conseillait, après la bataille de Pharsale, de traîner la guerre en longueur, 206. Parallèle de Caton avec Cicéron, 215.

Cavalerie. A moins besoin d’être disciplinée que l’infanterie, 274.

Cavalerie d’Asie. Était meilleure que celle d’Europe, 305.

Cavalerie numide. Passe au service des Romains. 144.

Cavalerie romaine. Devenue aussi bonne qu’aucune autre, 131. Lors de la guerre contre les Carthaginois, elle était inférieure à celle de cette nation, 143. N’était d’abord que l’onzième partie de chaque légion : multipliée dans la suite, 274. Exercée à tirer de l’arc, 289.

Censeurs. Quel était le pouvoir de ces magistrats, 184 et suiv. Ne pouvaient destituer un magistrat, 185. Leurs fonctions, par rapport au cens, 186.

Centuries. Servius Tullius divise le peuple romain par centuries, 185.

CÉSAR. Parallèle de César avec Pompée et Crassus, 203 et suiv. Donne du dessous à Pompée, 283. Ce qui le met en état d’entreprendre sur la liberté de sa patrie, ibid. Effraye autant Rome qu’avait fait Annibal, 205. Ses grandes qualités firent plus pour son élévation que sa fortune tant vantée, ibid. Poursuit Pompée en Grèce, ibid. Si sa clémence mérite de grands éloges, 207. Si l’on a eu raison de vanter sa diligence, ibid. Tente de se faire mettre le diadème sur la tête, ibid. Méprise le sénat, et fait lui-même des sénatus-consultes, 209. Conspiration contre lui, 210. Si l’assassinat de César fut un vrai crime, 211. Tous les actes qu’il avait faits, confirmés par le sénat, après sa mort, 212. Ses obsèques, 213. Ses conjurés finissent presque tous leur vie malheureusement, 219. Parallèle de César avec Auguste, 223. Extinction totale de sa maison, 241.

Champ de Mars, 128.

Change (variations dans le). On en tire des inductions, 303.

Chemins publics. Bien entretenus chez les Romains, 130.

Chevaux. On en élève dans beaucoup d’endroits qui n’en avaient pas, 306.

Chrétiens. Opinion où l’on était, dans l’empire grec, qu’il ne fallait pas verser le sang des chrétiens, 301.

Christianisme. Ce qui facilita son établissement dans l’empire romain, 251. Les païens le regardaient comme la cause de la chute de l’empire romain, 278. Fait place au mahométisme dans une partie de l’Asie et de l’Afrique, 304-305. Pourquoi Dieu permit qu’il s’éteignit dans tant d’endroits, 305.

CICÉRON. Sa conduite après la mort de César, 214. Travaille à l’élévation d’Octave, 216. Parallèle de Cicéron avec Caton, ibid.

Civiles (guerres). Celles de Rome n’empêchent point son agrandissement, 206. En général, elles rendent un peuple plus belliqueux et plus formidable à ses voisins, ibid. De deux sortes en France, 222.

CLAUDE, empereur. Donne à ses officiers le droit d’administrer la justice, 240.

Clémence. Si celle d’un usurpateur heureux mérite de grands éloges, 207.

CLÉOPATRE. Fuit à la bataille d’Actium, 221. Avait sans doute en vue de gagner le cœur d’Octave, ibid.

Colonies romaines, 142.

Comices. Devenus tumultueux, 191 et suiv.

Commerce. Raisons pourquoi la puissance où il élève une nation n’est pas toujours de longue durée, 143. Était réputé, comme les arts, chez les Romains, une occupation servile, 197.

COMMODE. Succède à Marc-Aurèle, 248.

COMNÈNE. Voyez ANDRONIC, ALEXIS, JEAN, MANUEL.

Conquêtes. Celles des Romains lentes dans les commencements, mais continues, 123. Plus difficiles à conserver qu’à faire, 149.

Conjuration contre César, 210.

Conjurations. Fréquentes dans les commencements du règne d’Auguste, 211. Devenues plus difficiles qu’elles ne l’étaient chez les anciens : pourquoi, 303.

CONSTANT, petit-fils d’Héraclius par Constantin. Tué en Sicile, 300.

CONSTANTIN. Transporte le siège de l’empire en Orient, 203. Distribue du bled à Constantinople et à Rome, 264. Retire les légions romaines, placées sur les frontières, dans l’intérieur des provinces : suite de cette innovation, 266.

CONSTANTIN, fils d’Heraclius. Empoisonné, 300.

CONSTANTIN LE BARBU, fils de Constant. Succède à son père, ibid.

Constantinople. Ainsi nommée du nom de Constantin, 263. Divisée en deux factions, 293. Pouvoir immense de ses patriarches, 312. Se soutenait, sous les derniers empereurs grecs, par son commerce, 319. Prise par les croisés, 325. Reprise par les Grecs, ibid. Son commerce ruiné, 326.

CONSTANTIUS. Envoie Julien dans les Gaules, 267.

Consuls annuels. Leur établissement à Rome, 119.

CORIOLAN. Sur quel ton le sénat traite avec lui, 147.

Courage guerrier. Sa définition, 131.

Croisades, 321 et suiv.

Croisés. Font la guerre aux Grecs et couronnent empereur le comte de Flandres, 323. Possèdent Constantinople pendant soixante ans, 324.

Cynocéphales (journée des). Où Philippe est vaincu par les Étoliens unis aux Romains, 155.

D

Danoises (troupes de terre). Presque toujours battues par celles de Suède, depuis près de deux siècles, 273.

Danse. Chez les Romains, n’était point un exercice étranger à l’art militaire, 128.

Décadence de la grandeur romaine. Ses causes, 188 et suiv. I. Les guerres dans les pays lointains. 188. II. La concession du droit de bourgeoisie romaine à tous les alliés, 189-190. III. L’insuffisance de ses lois dans son état de grandeur, 193. IV. Dépravation des mœurs, 195 et suiv. V. L’abolition des triomphes, 225. VI. Invasion des barbares dans l’empire, 258-282. VII. Troupes de Barbares auxiliaires incorporées en trop grand nombre dans les armées romaines, 272. Comparaison des causes générales de la grandeur de Rome avec celles de sa décadence, 273.

Décadence de Rome. Imputée par les chrétiens aux païens, et par ceux-ci aux chrétiens, 278 et suiv.

Décemvirs. Préjudiciables à l’agrandissement de Rome, 124.

Deniers. Distribués par les triomphateurs, 242.

Dénombrement des habitants de Rome. Comparé avec celui qui fut fait par Démétrius de ceux d’Athènes, 135. On en infère quelles étaient, lors de ces dénombrements, les forces de l’une et l’autre ville, ibid. Désertions. Pourquoi elles sont communes dans nos armées ; pourquoi elles étaient rares dans celles des Romains, 130.

Despotique. S’il y a une puissance qui le soit à tous égards, 315.

Despotisme. Opère plutôt l’oppression des sujets que leur union, 192.

Dictature. Son établissement, 183.

DIOCLÉTIEN. Introduit l’usage d’associer plusieurs princes à l’empire, 261.

Discipline militaire. Les Romains réparaient leurs pertes en la rétablissant dans toute sa vigueur, 129. Adrien la rétablit : Sévère la laisse se relâcher, 255. Plusieurs empereurs massacrés pour avoir tenté de la rétablir, ibid. et suiv. Tout à fait anéantie chez les Romains, 274. Les Barbares incorporés dans les armées romaines ne veulent pas s’y soumettre, 275. Comparaison de son ancienne rigidité avec son relâchement, 276.

Disputes. Naturelles aux Grecs, 313. Opiniâtres en matière de religion, ibid. Quels égards elles méritent de la part des souverains, 315.

Divination par l’eau d’un bassin : en usage dans l’empire grec, 301.

Divisions. S’apaisent plus aisément dans un état monarchique que dans un état républicain, 140. Divisions dans Rome, 180 et suiv.

DOMITIEN, empereur. Monstre de cruauté, 243.

DRUSILE. L’empereur Caligula, son frère, lui fait décerner les honneurs divins, 239.

DUILLIUS (le consul). Gagne une bataille navale sur les Carthaginois, 146.

DURONIUS (le tribun M.). Chassé du sénat : pourquoi, 185.

E

École militaire des Romains, 128.

Égypte. Idée du gouvernement de ce royaume après la mort d’Alexandre, 158. Mauvaise conduite de ses rois, 160. Conquise par Auguste, 264.

Égyptiens. En quoi consistaient leurs principales forces, 161. Les Romains les privent des troupes auxiliaires qu’ils tiraient de la Grèce, ibid.

Empereurs romains. Étaient chefs nés des armées, 225. Leur puissance grossit par degrés, 229. Les plus cruels n’étaient point hais du bas peuple : pourquoi, 237. Étaient proclamés par les armées romaines, 241. Inconvénients de cette forme d’élection, ibid. et suiv. Tâchent en vain de faire respecter l’autorité du sénat, ibid. Successeurs de Néron, jusqu’à Vespasien. 243. Leur puissance pouvait paraître plus tyrannique que celle des princes de nos jours : pourquoi, 247. Souvent étrangers : pourquoi, 250. Meurtre de plusieurs empereurs de suite, depuis Alexandre jusqu’à Dèce inclusivement, 256. Qui rétablissent l’empire chancelant, 259-260. Leur vie commence à être plus en sûreté, 262. Mènent une vie plus molle et moins appliquée aux affaires, ibid. Veulent se faire adorer, 263. Peints de différentes couleurs, suivant les passions de leurs historiens, 267. Plusieurs empereurs grecs haïs de leurs sujets, pour cause de religion, 300-301. Dispositions des peuples à leur égard, 302. Réveillent les disputes théologiques, au lieu de les assoupir, 315. Laissent tout à fait périr la marine, 321.

Empire romain. Son établissement, 207 et suiv. Comparé au gouvernement d’Alger, 257. Inondé par divers peuples barbares, 258. Les repousse et s’en débarrasse, 258-259. Association de plusieurs princes à l’empire, 257-261. Partage de l’empire, 261-263. Ne fut jamais plus faible que dans le temps que ses frontières étaient le mieux fortifiées, 298.

Empires. Voyez Orient, Occident, Grecs, Turcs.

Entreprises (les grandes) plus difficiles à mener parmi nous que chez les anciens : pourquoi, 302.

Épée. Les Romains quittent la leur, pour en prendre à l’espagnole, 132.

Épicurisme. Introduit à Rome sur la fin de la république, y produit la corruption des mœurs, 195.

Eques. Peuple belliqueux, 123.

Espagnols modernes. Comment ils auraient dû se conduire dans la conquête du Mexique, 174.

Étoliens. Portrait de ce peuple, 152. S’unissent avec les Romains contre Philippe, 155. S’unissent avec Antiochus contre les Romains, 150.

EUTYCHÈS. Hérésiarque : quelle était sa doctrine, 300.

Exemples. Il y en a de mauvais, d’une plus dangereuse conséquence que les crimes, 184.

Exercices du corps. Avilis parmi nous, quoique très-utiles, 127.

F

Fautes (les) que commettent ceux qui gouvernent sont quelquefois des effets nécessaires de la situation des affaires, 271.

Femmes (par quel motif la pluralité des) est en usage en Orient, 292.

Festins. Loi qui en bornait les dépenses à Rome, abrogée par le tribun Duronius, 185.

Feu grégeois. Défense, par les empereurs grecs, d’en donner la connaissance aux Barbares, 319.

Fiefs. Si les lois des fiefs sont, par elles-mêmes, préjudiciables à la durée d’un empire, 174.

Flottes. Portaient autrefois un bien plus grand nombre de soldats qu’à présent : pourquoi, 145. Une flotte en état de tenir la mer ne se fait pas en peu de temps, 146.

Fortune. Ce n’est pas elle qui décide du sort des empires, 273.

Français croisés. Leur mauvaise conduite en Orient, 322.

Frise et Hollande. N’étaient autrefois ni habitées, ni habitables, 305.

Frondeurs baléares. Autrefois les plus estimés, 132.

Frontières de l’empire fortifiées par Justinien, 290.

G

GABINIUS. Vient demander le triomphe après une guerre qu’il a entreprise malgré le peuple, 223.

GALBA (l’empereur) ne tient l’empire que peu de temps, 243.

GALLUS. Incursions des Barbares sur les terres de l’empire, sous son règne, 258. Pourquoi ils ne s’y établirent pas alors, 282.

Gaule (gouvernement de la), tant cisalpine que transalpine, confié à César, 204.

Gaulois. Parallèle de ce peuple avec les Romains, 137.

Généraux des armées romaines. Causes de l’accroissement de leur autorité, 188.

GENSÉRIC, roi des Vandales, 284.

GERMANICUS. Le peuple romain le pleure, 233.

Gladiateurs. On en donnait le spectacle aux soldats romains, pour les accoutumer à voir couler le sang, 131.

GORDIENS (les empereurs) sont assassinés tous les trois, 250.

Goths. Reçus par Valens sur les terres de l’empire, 269.

Gouvernement libre. Quel il doit être pour se pouvoir maintenir, 187.

Gouvernement de Rome. Son excellence, en ce qu’il contenait dans son système les moyens de corriger les abus, ibid.

Gouvernement militaire. S’il est préférable au civil, 248. Inconvénients d’en changer la forme totalement, 266.

Grandeur des Romains. Causes de son accroissement, 116 et suiv. I. Les triomphes, id. II. L’adoption qu’ils faisaient des usages étrangers qu’ils jugeaient préférables aux leurs, ibid. III. La capacité de ses rois, 117. IV. L’intérêt qu’avaient les consuls de se conduire en gens d’honneur pendant leur consulat, 119. V. La distribution du butin aux soldats, et des terres conquises aux citoyens, 120. VI. Continuité des guerres, 121. VII. Leur constance à toute épreuve, qui les préservait du découragement, 121. VIII. Leur habileté à détruire leurs ennemis les uns par les autres, 162 et suiv. IX. L’excellence du gouvernement, dont le plan fournissait les moyens de corriger les abus, 187.

Grandeur de Rome. Est la vraie cause de sa ruine, ibid. Comparaison des causes générales de son accroissement avec celles de sa décadence, 274.

Gravure. Utilité de cet art pour les cartes géographiques, 303.

Grec (empire). Quelles sortes d’événements offre son histoire, 300. Hérésies fréquentes dans cet empire, ibid. et suiv. Envahi en grande partie par les Latins croisés, 323. Repris par les Grecs, ibidem. Par quelles voies il se soutint encore après l’échec qu’y ont donné les Latins, 324. Chute totale de cet empire, 326.

Grèce (état de la) après la conquête de Carthage par les Romains, 152 et suiv.

Grande Grèce. Portrait des habitants qui la peuplaient, 123.

Grecques (villes). Les Romains les rendent indépendantes des princes à qui elles avaient appartenu, 156. Assujetties, par les Romains, à ne faire, sans leur consentement, ni guerres, ni alliances, 161. Mettent leur confiance dans Mithridate, 177.

Grecs. Ne passaient pas pour religieux observateurs du serment, 195. Nation la plus ennemie des hérétiques qu’il y eût, 300. — (empereurs). Haïs de leurs sujets pour cause de religion, ibid. et suiv. Ne cessèrent d’embrouiller la religion par des controverses, 311.

Guerres. Perpétuelles sous les rois de Rome, 117. Agréables au peuple par le profit qu’il en retirait, 120. Avec quelle vivacité les consuls romains la faisaient, 121. Presque continuelles aussi sous les consuls, ibid. Effets de cette continuité, ibid. Peu décisives dans les commencements de Rome : pourquoi, 122. La guerre et l’agriculture étaient les deux seules professions des citoyens romains, 179. Celle de Marius et de Sylla, 198 et suiv. Quel en était le principal motif, ibid.

Guerres puniques, 138 et suiv. Première, 144. Seconde, 141-146. Elle est terminée par une paix faite à des conditions bien dures pour les Carthaginois, 151.

Guerrières (les vertus) restèrent à Rome après qu’on eut perdu toutes les autres, 197.

H

HÉLIOGABALE. Veut substituer ses dieux à ceux de Rome, 251. Est tué par ses soldats, 250.

HÉRACLIUS. Fait mourir Phocas et se met en possession de l’empire, 304.

Herniques. Peuple belliqueux, 123.

Histoire romaine. Moins fournie de faits depuis les empereurs : par quelle raison, 228.

Hollande et Frise. N’étaient autrefois ni habitées, ni habitables, 305.

HOMÈRE. Justifié contre les censeurs, qui lui reprochent d’avoir loué ses héros de leur force, de leur adresse, ou de leur agilité, 128.

Honneurs divins. Quelques empereurs se les arrogent par des édits formels, 263.

HONORIUS. Obligé d’abandonner Rome et de s’enfuir a Ravenne, 284.

Huns (les). Passent le Bosphore cimmérien, 268-269. Servent les Romains en qualité d’auxiliaires, 289.

I

Iconoclastes. Font la guerre aux images, 309. Accusés de magie par les moines, ibid.

Ignorance profonde où le clergé grec plongeait les laïques, 309.

Illyrie (rois d’). Extrêmement abattus par les Romains, 153.

Images (culte des). Poussé à un excès ridicule sous les empereurs grecs, 308. Effets de ce culte superstitieux, 309. Les inconoclastes déclament contre ce culte, ibid. Quelques empereurs l’abolissent. L’impératrice Théodore le rétablit. ibid.

Impériaux (ornements). Plus respectés chez les Grecs que la personne même de l’empereur, 301.

Imprimerie. Lumières qu’elle a répandues partout, 303.

Infanterie. Dans les armées romaines, était, par rapport à la cavalerie, comme de dix à un : il arrive, par la suite, tout le contraire, 274.

Invasion des Barbares du nord dans l’empire, 258-282. Causes de ces invasions, 259. Pourquoi il ne s’en fait plus de pareilles, ibid.

Italie. Portraits de ses divers habitants lors de la naissance de Rome, 123. Dépeuplée par le transport du siège de l’empire en Orient, 263. L’or et l’argent, qui y avaient été en abondance, y deviennent très-rares, 204. Cependant les empereurs en exigent toujours les mémos tributs, 265. L’armée d’Italie s’approprie le tiers de cette région, 285.

J

JEAN et ALEXIS COMNÈNE. Rechassent les Turcs jusqu’à l’Euphrate, 322.

JOSEPH et ARSÈNE. Se disputent le siège de Constantinople : opiniâtreté de leurs partisans, 314.

JUGURTHA. Les Romains le somment de se livrer lui-même à leur discrétion, 170.

JULIEN (DIDIUS.) Proclamé empereur par les soldats, est ensuite abandonné, 248.

JULIEN, surnommé l’Apostat. Homme simple et modeste, 203. Service que ce prince rendit à l’empire sous Constantius, 207. Son armée poursuivie par les Arabes : pourquoi, 270.

Jurisprudence. Ses variations, sous le seul règne de Justinien, 294. D’où pouvaient provenir ces variations, 295.

Justice (le droit de rendre la). Confié, par l’empereur Claude, à ses officiers, 240.

JUSTINIEN, empereur. Entreprend de reconquérir, sur les Barbares, l’Afrique et l’Italie, 287. Emploie utilement les Huns, 289. Ne peut équiper contre les Vandales que cinquante vaisseaux, 290. Tableau de son règne, 201. Ses conquêtes ne font qu’affaiblir l’empire, 292. Épouse une femme prostituée : empire qu’elle prend sur lui, ibid. Idée que nous en donne Procope, 294. Dessein imprudent qu’il conçut d’exterminer tous les hétérodoxes, 295. Divisé de sentiment avec l’impératrice, 290. Fait construire une prodigieuse quantité de forts, ibid.

K

KOULI-KAN. Sa conduite à l’égard de ses soldats, après la conquête des Indes, 148.

L

Lacédémone. État des affaires de cette république, après la défaite des Carthaginois par les Romains, 153.

Latines (villes). Colonies d’Albe : par qui fondées, 123.

Latins. Peuple belliqueux, ibid.

Latins croisés. Voyez Croisés.

Légion romaine. Comment elle était armée, 120. Comparée avec la phalange macédonienne, 155. Quarante-sept légions établies par Sylla, dans divers endroits de l’Italie, 200. Celles d’Asie toujours vaincues par celles d’Europe, 250. Levées dans les provinces : ce qui s’en ensuivit, ibid. Retirées, par Constantin, des bords des grands fleuves, dans l’intérieur des provinces : mauvaises suites de changement, 200.

LÉON. Son entreprise contre les Vandales échoue, 290.

LÉON, successeur de Basile. Perd, par sa faute, la Tauroménie et l’isle de Lemnos, 311.

LÉPIDE. Parait en armes dans la place publique de Rome, 212. L’un des membres du second triumvirat, 210. Exclus du triumvirat par Octave, 219.

Ligues contre les Romains : rares ; pourquoi, 103.

Limites. Posées par la nature même à certains États, 157-158.

LIVIUS (le censeur M.) Nota trente-quatre tribus tout à la fois, 185.

Lois. N’ont jamais plus de force que quand elles secondent la passion dominante de la nation pour qui elles sont faites, 141. Lois de Rome. Ne purent prévenir sa perte : pourquoi, 193. Plus propres à son agrandissement qu’à sa conservation, ibid.

LUCRÈCE. Violée par Sextus Tarquin : suite de cet attentat, 118. Ce viol est pourtant moins la cause que l’occasion de l’expulsion des rois, ibid.

LUCULLUS. Chasse Mithridate de l’Asie, 178.

M

Macédoine et Macédoniens. Situation du pays : caractère de la nation et de ses rois, 154.

Macédoniens (secte des). Quelle était leur doctrine, 300. Machines de guerre. Ignorées en Italie, dans les premières années de Rome, 122.

Magistratures romaines. Comment, à qui, par qui, et pour quel temps elles se conféraient, lors de la république, 200. Par quelles voies elles s’obtinrent sous les empereurs, 231.

MAHOMET. Sa religion et son empire font des progrès rapides, 304.

MAHOMET, fils de Sambraël. Appelle trois mille Turcs en Perse, 321. Perd la Perse, ibid.

MAHOMET Il éteint l’empire d’Orient, 320.

Majesté (loi de). Son objet : application qu’en fait Tibère, 229. Crime de lèze-majesté otait, sous cet empereur, le crime de ceux à qui on n’en avait point à imputer, 232. Si cependant les accusations, fondées sur cette imputation, étaient toutes aussi frivoles qu’elles nous le paraissent, 233. Accusations de ce crime supprimées par Caligula, 235.

Maladies de l’esprit. Pour l’ordinaire incurables, 301.

Malheureux (les hommes les plus) ne laissent pas d’être encore susceptibles de crainte, 234.

MANLIUS. Fait mourir son fils, pour avoir vaincu sans ordre, 129.

MANUEL COMNÈNE (l’empereur) néglige la marine, 324.

MARC-AURÈLE. Éloge de cet empereur, 247.

Marches des armées romaines. Promptes et rapides, 130.

MARCIS. Ses représentations aux Romains, sur ce qu’ils faisaient dépendre de Pompée toutes leurs ressources, 201.

Marine des Carthaginois. Meilleure que celle des Romains : l’une et l’autre assez mauvaises, 144.

Marine. Perfectionnée par l’invention de la boussole, 145.

MARIUS. Détourne des fleuves, dans son expédition contre les Cimbres et les Teutons, 129. Rival de Sylla, 198.

Mars (champ de), 128.

MASSINISSE. Tenait son royaume des Romains, 165. Protégé par les Romains, pour tenir les Carthaginois en respect, 151, et pour subjuguer Philippe et Antiochus. 167.

MAURICE (l’empereur) et ses enfants mis à mort par Phocas, 300.

MÉTELLUS. Rétablit la discipline militaire, 129.

Meurtres et confiscations. Pourquoi moins communes parmi nous que sous les empereurs romains, 237.

MICHEL PALÉOLOGUE. Plan de son gouvernement, 312.

Milice romaine, 188. A charge à l’état, 271.

Militaire (art). Se perfectionne chez les Romains, 124. Application con-con con-tinuelle des Romains à cet art, 131. Si le gouvernement militaire est préférable au civil, 248.

MITHRIDATE. Le seul roi qui se soit défendu avec courage contre les Romains, 176. Situation de ses états, ses forces, sa conduite, ibid. et suiv. Crée des légions, ibid. Les dissensions des Romains lui donnent le temps de se disposer à leur nuire, 177. Ses guerres contre les Romains, intéressantes par le grand nombre de révolutions dont elles présentent le spectacle, ibid. Vaincu à plusieurs reprises, 178. Trahi par son fils Macliarès, ibid., et par Pharnace, son autre fils, 179. Meurt en roi, ibid.

Mœurs romaines. Dépravées par l’épicurisme, 195 ; par la richesse des particuliers, 196.

Moines grecs. Accusent les iconoclastes de magie, 308. Pourquoi ils prenaient un intérêt si vif au culte des images, 309. Abusent le peuple, et oppriment le clergé séculier, 310. S’immiscent dans les affaires du siècle, ibid. Suite de ces abus, ibid. Se gâtaient à la cour, et gâtaient la cour eux-mêmes, 311.

Monarchie romaine. Remplacée par un gouvernement aristocratique, 180.

Monarchie. Sujette à moins d’inconvénients, même quand les lois fondamentales en sont violées, que l’état républicain en pareil cas, 139. Les divisions s’y apaisent plus aisément, ibid.

Monarchiste (État). Excite moins l’ambitieuse jalousie des particuliers, 181.

Monothélites. Hérétiques : quelle était leur doctrine, 300.

Multitude (la) fait la force de nos armées : la force des soldats faisait celle des armées romaines, 130.

N

NARSÉS (l’eunuque). Favori de Justinien, 292.

Nations (ressources de quelques) d’Europe : faibles par elles-mêmes, 320.

Négociants. Ont quelque part dans les affaires d’État, 303.

NÉRON. Distribue de l’argent aux troupes, même en paix, 242.

NERVA (l’empereur) adopte Trajan, 243.

Nestorianisme. Quelle était la doctrine de cette secte, 300.

Nobles. Les nobles de Rome ne se laissent pas entamer par le bas peuple comme les patriciens, 183. Comment s’introduisit dans les Gaules, la distinction de nobles et de roturiers, 277.

Nord (invasion des peuples du) dans l’empire. Voyez Invasions.

Normands (anciens). Comparés aux Barbares qui désolèrent l’empire romain, 282.

Numide (cavalerie). Autrefois la plus renommée, 132. Des corps de cette cavalerie passent au service des Romains, 144.

Numidie. Les soldats romains y passent sous le joug, 129.

O

Occident. Pourquoi l’empire d’Occident fut le premier abattu, 283. Point secouru par celui d’Orient, ibid. et suiv. Les Wisigoths l’inondent, 284. Trait de bonne politique de la part de ceux qui le gouvernaient, 285. Sa chute totale, ibid.

OCTAVE. Flatte Cicéron, et le consulte, 215. Le sénat se met en devoir de l’abaisser, 216. Octave et Antoine poursuivent Brutus et Cassius, ibid. Défait Sextus Pompée, 219. Exclut Lépide du triumvirat, 219. Gagne l’affection des soldats sans être brave, 220. Surnommé Auguste. Voyez Auguste.

ODENAT, prince de Palmyre. Chasse les Perses de l’Asie, 259.

ODOACER. Porte le dernier coup à l’empire d’Occident, 285.

Oppression totale de Rome, 207.

Ops (temple d’). César y avait déposé des sommes immenses, 213.

Orient. État de l’Orient lors de la défaite entière des Carthaginois, 150 et suiv. — Empire (d’) subsiste encore après celui d’Occident : pourquoi, 283. Les conquêtes de Justinien ne font qu’avancer sa perte, 292. Pourquoi, de tout temps, la pluralité des femmes y a été en usage, ibid. Pourquoi il subsista si longtemps après celui d’Occident, 318 et suiv. Ce qui le soutenait, malgré la faiblesse de son gouvernement, 321. Chute totale de cet empire, 326.

OROSE. Répond à la lettre de Symmaque, 279.

OSROÉNIENS. Excellents [Excellens] hommes de trait, 305.

OTHON (l’empereur) ne tient l’empire que peu de temps, 243.

P

Paix. Ne s’achète point avec de l’argent : pourquoi, 270. Inconvénients d’une conduite contraire à cette maxime, ibid.

Partage de l’empire romain, 263. En cause la ruine : pourquoi, 266.

Parthes. Vainqueurs de Rome : pourquoi, 158 Guerre contre les Parthes, projetée par César, 212. Exécutée par Trajan, 244. Difficultés de cette guerre, ibid. Apprennent, des Romains réfugiés, sous Sévère, l’art militaire, et s’en servent dans la suite contre Rome, 249.

Patriarches de Constantinople. Leur pouvoir immense, 312. Souvent chassés de leur siège par les empereurs, 313.

Patriciens. Leur prééminence, 180. A quoi le temps la réduisit, 183.

Patrie. L’amour de la patrie était, chez les Romains, une espèce de sentiment religieux, 190.

Paye. En quel temps les Romains commencèrent à l’accorder aux soldats, 124. Quelle elle était dans les différents gouvernements de Rome, 252.

Peines contre les soldats lâches : renouvelées par les empereurs Julien et Valentinien, 275.

Pergame. Origine de ce royaume. 157.

Perses. Enlèvent la Syrie aux Romains, 258. Prennent Valérien prisonnier, ibid. Odenat, prince de Palmyre, les chasse de l’Asie, 260. Situation avantageuse de leur pays, 298. N’avaient de guerres que contre les Romains, 209. Aussi bons négociateurs que bons soldats, ibid.

PERTINAX (l’empereur). Succède à Commode, 248.

Peuple de Rome. Veut partager l’autorité du gouvernement, 181 et suiv. Sa retraite sur le mont sacré, ibid. et suiv. Obtient des tribuns, 182. Devenu trop nombreux, on en tirait des colonies, 227. Perd, sous Auguste, le pouvoir de faire des lois, 231 ; et, sous Tibère, celui d’élire les magistrats, ibid. Caractère du bas peuple sous les empereurs, 237. Abâtardissement du peuple romain sous les empereurs, 240.

Phalange macédonienne. Comparée avec la légion romaine, 155.

Pharsale (bataille de), 206

PHILIPPE de Macédoine. Donne de faibles secours aux Carthaginois, 151. Sa conduite avec ses alliés, 155. Les succès des Romains contre lui les mènent à la conquête générale, 150. S’unit avec les Romains contre Antiochus, 159.

PHILIPPICUS. Trait de bigotisme de ce général, 306.

PHOCAS ( l’empereur ) substitué à Maurice, 300. Héraclius, venu d’Afrique, le fait mourir, 304.

Pillage. Le seul moyen que les anciens Romains eussent pour s’enrichir, 120.

PLAUTIEN. Favori de l’empereur Sévère, 249.

Plébéiens. Admis aux magistratures, 181. Leurs égards forcés pour les patriciens, ibid. Distinction entre ces deux ordres, abolie par le temps, 183.

POMPÉE. Loué par Salluste pour sa force et son adresse. 128. Ses immenses conquêtes, 179. Par quelles voies il gagne l’affection du peuple, 200. Avec quel étonnant succès il y réussit, ibid. et suiv. Maître d’opprimer la liberté de Rome, il s’en abstient deux fois, 202. Parallèle de Pompée avec César, 202. Corrompt le peuple par argent, ibid. Aspire à la dictature, 203. Se ligue avec César et Grassus, ibid. Ce qui cause sa perte, ibid. Son faible est de vouloir être applaudi en tout, 205. Défait à Pharsale, 206.

POMPÉE (SEXTUS). Fait tête à Octave, 219.

Porphyrogénète. Signification de ce nom, 300.

Poste. Un soldat romain était puni de mort pour avoir abandonné son poste, 275.

Postes. Leur utilité, 302.

Prédictions (faiseurs de). Très-communs sur la fin de l’empire grec, 301.

Préfets du prétoire. Comparés aux grands-visirs, 261.

PROCOPE. Créance qu’il mérite dans son histoire secrète du règne de Justinien, 294.

Proscriptions romaines. Enrichissaient les États de Mithridate de beaucoup de Romains réfugiés, 176. Inventées par Sylla, 199. Pratiquées par les empereurs, 249. Effets de celles de Sévère, 250.

PTOLOMÉES (trésors des). Apportés a Rome ; quels effets ils y produisirent, 265.

Puissance romaine. Tradition à ce sujet, 245.

Puissance ecclésiastique et séculière. Distinction entre l’une et l’autre, 316. Les anciens Romains connaissaient cette distinction, ibid.

Punique (guerre). La première, 144. La seconde, 141-146. Elle est terminée par une paix faite à des conditions bien dures pour les Carthaginois, 151.

PYRRHUS. Les Romains tirent de lui des leçons sur l’art militaire : portrait de ce prince, 137.

R

Régille (lac). Victoire remportée sur les Latins, par les Romains, près de ce lac : fruits qu’ils tirèrent de cette victoire, 173.

RÉGULUS. Battu par les Carthaginois dans la première guerre punique. 144.

Religion chrétienne. Ce qui lui donna la facilité de s’établir dans l’empire romain, 251.

Reliques (culte des). Poussé à un excès ridicule dans l’empire grec. 307. Effets de ce culte superstitieux, ibid.

République. Quel doit être son plan de gouvernement, 189. N’est pas vraiment libre, si l’on n’y voit pas arriver des divisions, 191. N’y rendre aucun citoyen trop puissant, 202.

République romaine. Son entière oppression, 207. Consternation des premiers hommes de la république, 208. Sans liberté, même après la mort du tyran, 212.

Républiques modernes d’Italie. Vices de leur gouvernement, 187.

Rois de Rome. Leur expulsion, 119.

Rois. Ce qui les rendit tous sujets de Rome, 177.

Romains. Religieux observateurs du serment, 120-195. Leur habileté dans l’art militaire : comment ils l’acquirent, 121. Les anciens Romains regardaient l’art militaire comme l’art unique, 126. Soldats romains, d’une force plus qu’humaine, ibid. Comment on les formait, 127. Pourquoi on les saignait quand ils avaient fait quelques fautes, 129. Plus sains et moins maladifs que les nôtres, ibid. Se rendent propres les avantages de toutes les nations, 131. Leur application continuelle à la science de la guerre, 132. Comparaison des anciens Romains avec les peuples d’à présent, 133. Parallèle des anciens Romains avec les Gaulois, 137. N’allaient point chercher de soldats chez leurs voisins, 138. Leur conduite à l’égard de leurs ennemis et de leurs alliés, 152 et suiv. Ne faisaient jamais la paix de bonne foi, 163. Établirent, comme une loi, qu’aucun roi d’Asie n’entrât en Europe, 166. Leurs maximes de politique constamment gardées dans tous les temps, 167. Une de leurs principales était de diviser les puissances alliées, 168. Empire qu’ils exerçaient même sur les rois, 169. Ne faisaient point de guerres éloignées, sans y être secondés par un allié voisin de l’ennemi, ibid. Interprétaient les traités avec subtilité pour les tourner à leur avantage, ibid. Ne se croyaient point liés par les traités que la nécessité avait forcé leurs généraux de souscrire, 170. Inséraient dans leurs traités avec les vaincus des conditions impraticables pour se ménager les occasions de recommencer la guerre, ibid. S’érigeaient en juges des rois mêmes, 171. Dépouillaient les vaincus de tout, ibid. Comment ils faisaient arriver à Rome l’or et l’argent de tout l’univers, ibid. Respect qu’ils imprimaient à toute la terre. 172. Ne s’appropriaient pas d’abord les pays qu’ils avaient soumis, 173. Devenus moins fidèles a leurs serments, 195. L’amour de la patrie était, chez eux, une sorte de sentiment religieux, 196. Conservent leur valeur au sein même de la mollesse et de la volupté, 197. Regardaient les arts et le commerce comme des occupations d’esclaves, ibid. La plupart d’origine servile, 227. Pleurent Germanicus, 233. Rendus féroces par leur éducation et leurs usages, 235. Toute leur puissance aboutit à devenir les esclaves d’un maître barbare, 239. Appauvris par les Barbares qui les environnaient, 271. Devenus maîtres du monde par leurs maximes de politique : déchus pour en avoir changé, 272. Se lassent de leurs armes et les changent, 274. Soldats romains, mêlés avec les Barbares, contractent l’esprit d’indépendance de ceux-ci, 275. Accablés de tributs, 276.

Rome naissante. Comparée avec les villes de la Crimée, 115. Mal construite d’abord, sans ordre et sans symétrie, ibid. Son union avec les Sabins, 117-123. Adopte les usages étrangers qui lui paraissent préférables aux siens, 110-18. Ne s’agrandit d’abord que lentement, 123. Se perfectionne dans l’art militaire, 124. Nouveaux ennemis qui se liguent contre elle, 124. Prise par les Gaulois, ne perd rien de ses forces, 125. La ville de Rome fournit seule dix légions contre les Latins, 130. État de Rome lors de la première guerre punique, 139. Parallèle de cette république avec celle de Carthage, ibid. État de ses forces lors de la seconde guerre punique, ibid. Sa constance prodigieuse malgré les échecs qu’elle reçut dans cette guerre, 140. Était comme la tête qui commandait à tous les peuples de l’univers, 174. N’empêchait pas les vaincus de se gouverner par leurs lois, ibid. N’acquiert pas de nouvelles forces par les conquêtes de Pompée, 179. Ses divisions intestines, 180 et suiv. Excellence de son gouvernement, en ce qu’il fournissait les moyens de corriger les abus, 187. Il dégénère en anarchie : par quelle raison, 191. Sa grandeur cause sa ruine, ibid. N’avait cessé de s’agrandir, par quelque forme de gouvernement qu’elle eût été régie, 193. Par quelles voies on la peuplait d’habitants, 226. Abandonnée par ses souverains, devient indépendante, 286. Cause de sa destruction, ibid.

ROMULUS. Toujours en guerre avec ses voisins, 116. Il adopte l’usage du bouclier sabin, ibid.

Rubicon. Fleuve de la Gaule cisalpine, 204.

S

SABINS. Leur union avec Rome, 116-123. Peuple belliqueux, 123.

Saignée. Par quelle raison on saignait les soldats romains qui avaient commis quelque faute, 129.

SALVIEN. Réfute la lettre de Symmaque, 279.

Samnites. Peuple le plus belliqueux de toute l’Italie, 124. Alliés de Pyrrhus, 138. Auxiliaires des Romains contre les Carthaginois et contre les Gaulois, 141. Accoutumés à la domination romaine, 142.

Schisme entre l’église latine et la grecque, 321.

SCIPION ÉMILIEN. Comment il traite ses soldats, après la défaite près Numance, 129.

SCIPION. Enlève aux Carthaginois leur cavalerie numide, 144.

Scythie. État de cette contrée lors des invasions de ses peuples dans l’empire romain, 283.

SÉJAN. Favori de Tibère, 249.

SÉLEUCUS. Fondateur de l’empire de Syrie, 157.

Sénat romain. Avait la direction des affaires, 140. Sa maxime constante de ne jamais composer avec l’ennemi, qu’il ne fût sorti des états de la république, 147. Sa fermeté après la défaite de Cannes : sa conduite singulière à l’égard de Terentius Varron, ibid. Sa profonde politique, 162. Sa conduite avec le peuple, 182. Son avilissement, 208. Après la mort de César, confirme tous les actes qu’il avait faits, 213. Accorde l’amnistie à ses meurtriers, ibid. Sa basse servitude sous Tibère : cause de cette servitude, 230-231. Quel parti Tibère en tire, 241. Ne peut se relever de son abaissement, ibid.

Serment. Les Romains en étaient religieux observateurs, 120-195. Les Grecs ne l’étaient point du tout, 120-195. Les Romains devinrent, par la suite, moins exacts sur cet article, 190.

SÉVÈRE (l’empereur). Défait Niger et Albin, ses compétiteurs à l’empire, 248. Gouverné par Plautien son favori, 249. Ne peut prendre la ville d’Atra en Arabie : pourquoi, 250. Amasse des trésors immenses : par quelles voies, 252. Laisse tomber dans le relâchement la discipline militaire, 255.

Soldats. Pourquoi la fatigue les fait périr, 127. Ce qu’une nation en fournit à présent : ce qu’elle en fournissait autrefois, 133.

Stoïcisme. Favorisait le suicide chez les Romains, 217. En quel temps il fit plus de progrès parmi eux, 247.

Suffrages. A Rome, se recueillaient ordinairement par tribus, 186.

Suicide. Raisons qui en faisaient, chez les Romains, une action héroïque, 217.

SYLLA. Exerce ses soldats à des travaux pénibles, 129. Vainqueur de Mithridate, 178. Porte une atteinte irréparable à la liberté romaine, 198-199. Est le premier qui soit entré en armes dans Rome, 199. Fut l’inventeur des proscriptions, ibid. Abdique volontairement la dictature, 200. Parallèle de Sylla avec Auguste, 224.

SYLVIUS (latinus). Fondateur des villes latines, 123.

SYMMAQUE. Sa lettre aux empereurs, au sujet de l’autel de la Victoire, 278.

Syrie. Pouvoir et étendue de cet empire, 157 et suiv. Les rois de Syrie ambitionnent l’Égypte, 157. Mœurs et dispositions des peuples, 158. Luxe et mollesse de la cour, ibid.

T

Tarentins, peuple oisif et voluptueux, 123. Descendus des Lacédémoniens, 138.

TARQUIN. Comment il monte sur le trône : comment il règne, 117. Son fils viole Lucrèce : suite de cet attentat, 118 et suiv. Prince plus estimable qu’on ne croit communément, 119.

Tartares (un peuple de) arrête les progrès des Romains, 305.

Terres. Celles des vaincus confisquées par les Romains au profit du peuple, 120. Cessation de cet usage, 125. Partage égal des terres chez les anciennes républi-républi républi-ques, 134. Comment, par succession de temps, elles retombaient dans les mains de peu de personnes, ibid. Ce partage rétablit la république de Sparte, déchue de son ancienne puissance, 136. Ce même moyen tire Rome de son abaissement, ibid.

Tesin (journée du). Malheureuse pour les Romains, I 146.

THÉODORA (l’impératrice) rétablit le culte des images, détruit par les iconoclastes, 310.

THÉODOSE LE JEUNE (l’empereur). Avec quelle insolence Attila en parle, 280.

Théologiens. Incapables d’accorder jamais leurs différends, 313.

Thessaliens. Asservis par les Macédoniens, 153.

Thrasimène (bataille de). Perdue par les Romains, 146.

TIBÈRE (l’empereur). Étend sa puissance souveraine, 229. Soupçonneux et défiant, ibid. Sous son empire, le sénat tombe dans un état de bassesse qu’on ne saurait exprimer, 230. Il ôte au peuple le droit d’élire les magistrats, pour le transporter à lui-même, 231. S’il faut imputer à Tibère l’avilissement du sénat, 232.

TITE (l’empereur). Fait les délices du peuple romain, 243.

TITE-LIVE. Critique de l’auteur sur la façon dont cet historien fait parler Annibal, 150.

Toscans. Peuple amolli par les richesses et le luxe, 123.

TRAJAN (l’empereur). Le prince le plus accompli dont l’histoire ait jamais parlé, 243. Portrait de ce prince : il fait la guerre aux Parthes, ibid.

Traité déshonorant. N’est jamais excusable, 159.

Trébies (bataille de). Perdue par les Romains, 146.

Trésors amassés par les princes, funestes à leurs successeurs : pourquoi, 252. Trésors des Ptolomées apportés à Rome : effets qu’ils y produisirent, 263.

Tribuns. Leur création, 180-181. Empereurs revêtus de la puissance des tribuns, 232 et suiv.

Tribus. Division du peuple par tribus, 186.

Tributs. Rome en est déchargée, 254, Ils sont rétablis à Rome, ibid. Ne deviennent jamais plus nécessaires que quand un État s’affaiblit, 276. Portés, par les empereurs, à un excès intolérable, ibid.

Trinité (par allusion à la), les Grecs se mirent en tête qu’ils devaient avoir trois empereurs, 306.

Triomphe. Son origine : combien il influe sur l’accroissement des grandeurs romaines, 116. A quel titre il s’accordait, 121. L’usage du triomphe aboli sous Auguste : par quelle raison, 225.

Triumvirat. Premier, 203 ; second, 216.

TULLIUS (SERVIUS). Comparé à Henri VII, roi d’Angleterre, 118. Cimente l’union des villes latines avec Rome, 123. Divise le peuple romain par centuries, 186.

Turcs. Leur empire à peu près aussi faible à présent qu’était celui des Grecs, 320. De quelle manière ils conquirent la Perse, 321. Repoussés jusqu’à l’Euphrate par les empereurs grecs, 322. Comment ils faisaient la guerre aux Grecs, et par quels motifs, 324. Éteignent l’empire d’Orient, 326.

Tyrans (meurtre des). Passait pour une action vertueuse dans les publiques de Grèce et d’Italie, 210. Quel était leur sort à Rome, 255.

Tyrannie. La plus cruelle est celle qui s’exerce à l’ombre des lois, 230.

U

Union d’un corps politique : en quoi elle consiste, 192.

V

Vaisseaux rhodiens. Autrefois les plus estimés, 132.

Vaisseaux. Autrefois ne faisaient que côtoyer les terres, 144. Depuis l’invention de la boussole, ils voguent en pleine mer, 145.

VALENS (l’empereur). Ouvre le Danube : suite de cet événement, 267. Reçoit les Goths dans l’empire, 269. Victime de son imprudente facilité, ibid.

VALENTINIEN. Fortifie les bords du Rhin, 267. Essuie une guerre de la part des Allemands, 271.

VALÉRIEN (l’empereur). Pris par les Perses, 259.

VARRON (TERENTIUS). Sa fuite honteuse, 147.

Véies (siège de), 124.

Vélites. Ce que c’était que cette sorte de troupe, 131.

Verds et bleus. Factions qui divisaient l’empire d’Orient, 293. Justinien se déclare contre les verds, 294.

VESPASIEN (l’empereur). Travaille, pendant son règne, à rétablir l’empire, 243.

VITELLIUS. Ne tient l’empire que peu de temps, ibid.

Volsques. Peuple belliqueux, 123.

Z

Zama (bataille de). Gagnée par les Romains contre les Carthaginois, 144.

ZÉNON (l’empereur). Persuade Théodoric d’attaquer l’Italie, 284.


FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES

CONTENUES DANS LES CONSIDÉRATIONS SUR LES ROMAINS.
____________