Correspondance de Voltaire/1738/Lettre 989

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Correspondance de Voltaire/1738
Correspondance : année 1738GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 73-74).
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989. — À M. THIERIOT[1].
À Cirey, 18 décembre.

Mon cher ami, je n’ai ni le temps ni la force de vous écrire ; à peine ai-je celle de cacheter ces deux paquets, que je vous supplie de dépêcher, l’un à Remusberg, l’autre à la Grange-Batelière[2], deux asiles des arts et de la vertu, et à côté desquels je ne peux mettre que la maison aimable que vous habitez. Nous attendons de vos nouvelles, et sommes bien fâchés de donner succinctement des nôtres.

  1. Éditeurs, Bavoux et François.
  2. C’est-à-dire l’un à Frédéric et l’autre à d’Argental.