Correspondance de Voltaire/1763/Lettre 5135
5135. — À M. COLINI.
Ferney, 11 janvier.
Voici enfin Olympie telle que j’ai pu la faire après bien des soins ; elle n’était encore digne ni de Son Altesse électorale ni de l’impression, quand je vous l’envoyai. Je souhaite, mon cher Colini, que l’édition par vous projetée vous procure quelque avantage[1]. Les remarques à la fin de l’ouvrage sont assez curieuses.
Je vous embrasse, et vous prie de me mettre aux pieds de Leurs Altesses électorales. V.
- ↑ Colini eu donna une édition ; voyez tome VI, page 94.