Discussion:Le Joujou des Demoiselles

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Informations sur l’édition de Le Joujou des Demoiselles

Édition : Le Joujou des Demoiselles, Jouffreau de Lagerie, Abbé (17..-....)


Source : BnF BnF Gallica


Contributeur(s) : Ernest-Mtl,--Cunegonde1 (d) 1 novembre 2019 à 12:00 (UTC)[répondre]


Niveau d’avancement : Relu et corrigé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 1 novembre 2019 à 12:00 (UTC)[répondre]



Informations sur cette édition[modifier]

La présente édition est un exemplaire de la Bibliothèque de l’Arsenal d’une édition présente dans l’Enfer de la Bibliothèque nationale cote Enfer-683.

1. Voir la note dans la Bibliographie des ouvrages relatifs à l’amour par le C. d’I*** (J. Gay), Bécour, 1897, T. 2, col. 730 : « Joujou (le) des demoiselles. Nouveau choix de poésies à l’usage du beau sexe libertin, par l’abbé Jouffreau de Lazerie. S.l.n.d., in-8 de 58 ff., texte gravé, frontispice gravé par Lemire, d’après Eisen, 30 figures à mi-page. »

2. Voir la note dans L’Enfer de la Bibliothèque nationale à la cote Enfer-683 : « Le Joujou des Demoiselles. 1 volume in-8 s. l. n. d. (xviiie siècle). Entièrement gravé. 2 frontispices d’Eisen et une vignette en haut de page à chaque feuillet, le verso blanc ; 57 ff. n. chif. (un des derniers en double, mais pas le texte) ; beaucoup de paysages parmi les scènes. Reliure veau marbré, dos orné, tranches rouges. Admirables gravures d’Eisen, signées et non libres, en tête de page. Texte et figures gravés. La gravure de frontispice et celle du titre tiennent chacune une page entière. Le texte (contes en vers) est attribué à l’abbé Jouffreau de Lazarie. »

3. Voir la note dans le Dictionnaire des œuvres érotiques, Mercure de France, 1971 : « : « JOUJOU DES DEMOISELLES (Le) Recueil d’épigrammes attribuées à l’abbé Jouffreau de Lazarie (XVIIIe siècle). Première édition publiée s. l. N. D. Deuxième édition en 1752. — À quoi rêvent les dévotes ? À quitter le chapelet pour le godemichet, à se camper à la renverse, toutes jupes retroussées, devant un bel abbé : mieux vaut jouir debout que languir à genoux. Les femmes sont d’ailleurs toujours prêtes au plaisir, il leur suffit de bâiller un peu de la cuisse ; indécises et volages, changeant d’avis comme de vits, elles voudraient, dans le même lit, mari par derrière et amant par devant, se piquant de réconcilier ainsi le cœur et l’esprit. Jean-Paul Ponthus. »