Discussion:Les Stations de l’Amour

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Informations sur l’édition de Les Stations de l’Amour

Édition : Les Stations de l’amour ; lettres de l’Inde et de Paris ; Belot


Source : BnF BnF Gallica


Contributeur(s) : --Cunegonde1 (d) 21 octobre 2021 à 12:52 (UTC)[répondre]


Niveau d’avancement : Texte validé


Remarques :


Relu et corrigé par : --Cunegonde1 (d) 21 octobre 2021 à 12:52 (UTC)[répondre]



Qui est l’auteur des Stations de l’Amour ?[modifier]

La notice de la Bibliothèque Nationale de France indique clairement que l’auteur des Stations de l’Amour est Adolphe Belot. Cependant la paternité de cet ouvrage est attribuée à E. D. par les auteurs de l’enfer de la Bibliothèque nationale dans leur notice sur Odor di Femina. Toutefois on peut lire sur le site scissors-and-paste.net une argumentation tendant à démontrer que les stations de l’amour devraient plutôt être attribué à Adolphe Belot : « La force de l'attribution [à E. D.] est quelque peu affaiblie par le fait que deux des livres cités, L'Education d'une demi-vierge et Les Stations de l'amour, sont d'un tout autre auteur, très probablement Adolphe Belot. Néanmoins, le nom de Dumoulin [un des pseudos de E. D.] est mentionné spécifiquement, et je crois que la source d'information est Charles Hirsch, un libraire et éditeur français qui avait un magasin à Londres dans les dernières années du 19e siècle. En tant que marchand en érotisme, on peut raisonnablement supposer qu'il connaissait Henry Spencer Ashbee, le grand collectionneur anglais, et comme nous le verrons, Ashbee connaissait la vérité de l'attribution dans le cas d'un livre au moins. »

  • Un dernier indice à verser à la controverse : p. 71 des Stations de l’amour, on peut lire « …/… Maître Jacques, qui n’avait pas faibli, entra plus facilement, car tout était lubréfié, élargi…/… », et p. 55 « …/… puis, sur mon indication elle continua à lubréfier les bords de l’étroit abîme…/… ». Le verbe lubréfier de même que le substantif byou sont utilisés par E. D. dans Odor di Femina, on les trouve également dans le volume comprenant les Vacances au château et le Fétichisme en amour, ce dernier étant anonyme. S’agit-il de marques caractéristiques de l’auteur ou bien de l’éditeur ?
  • Un nouvel élément non cité jusqu’à présent sème le trouble : À la fin de L’Armée de volupté de Le Nismois, pseudonyme d’Alphonse Momas, figure une liste d’ouvrages du même auteur parmi lesquels figurent les Stations de l’amour ! S’agit-il du même ouvrage ?
    • salut, j'apporte mon grain de sel. (FR-BNF 356691165) mentionne à propos de l'édition (numérisée Gallica), mais ça doit fonctionner pour toutes les éditions (vivement la Frbrisation du catalogue de la Bnf) "Faussement attribué à Adolphe Belot d'après Pascal Pia."
      • Effectivement Pascal Pia dans les livres de L'Enfer, col. 1367, note à propos de la seconde édition des Stations de l'Amour : « Nous avons remarqué que les éditeurs clandestins.../... ont couramment attribué n'importe quel ouvrage à n'importe quel auteur.../..., alors qu'ils étaient parfaitement fixés sur la provenance réelle des textes qu'ils achetaient à d'intarissables pisseurs de copie tels que E.D. ou Le Nismois. Et à la colonne 1368, il indique à propos d'une autre édition du même ouvrage que les Stations de l'amour se présente comme un roman autobiographique, alors qu'Adolphe Belot, né aux Antilles n'est jamais allé en Inde ».--Cunegonde1 (d) 24 novembre 2019 à 07:04 (UTC)[répondre]
    • par ailleurs, il existe un autre ouvrage portant le titre "Les stations de l'amour" (FR-BNF 31149426g) - une comparaison rapide des scans sur Gallica indique 2 ouvrages différents... alors, peut-être ne s'agit-il pas du même livre pour Le Nismois ? --Hélène (dite ''le bot de service'') (d) 6 février 2019 à 16:08 (UTC)[répondre]