Discussion:Poésies (Mallarmé, 1914, 8e éd.)/Angoisse

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Source : Le Parnasse contemporain (I) ; p. 163 ; avec le titre « À celle qui est tranquille »

Variantes[modifier]

Poésies (Stéphane Mallarmé) (1887) / Poésies (Deman)

  • 1 :
    • Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête,
    • Je ne viens pas ce soir vaincre ton corps, ô bête
  • 4 :
    • Sous l’incurable ennui que verse mon baiser.
    • Sous l’incurable ennui que verse mon baiser :
  • 8 :
    • Toi qui sur le néant en sais plus que les morts.
    • Toi qui sur le néant en sais plus que les morts :
  • 9 :
    • Car le vice, rongeant ma native noblesse,
    • Car le Vice, rongeant ma native noblesse,
  • 13 :
    • Je fuis, pâle ; défait, hanté par mon linceul,
    • Je fuis, pâle, défait, hanté par mon linceul,