Discussion Auteur:Blanche Lee Childe

• Acte de décès : [1] page 17 : Blanche Eugénie Cécile Sophie Triquet de Triqueti, agée de quarante sept ans,..., née à Paris,... décédée en son domicile... le 28 février dernier...
• Fiche de l'état civil reconstitué pour l'acte de naissance, page 4: [2] : Blanche Cécile Eugénie Triquet de Triqueti, 29 9bre 1837 arrondissement ancien 1er année 1837
• acte de décès de son premier mari : paris 16e, page 19 [3]

L'an 1868 , le 21 janvier... ont comparu Frederic Henri Bartholdi (baron) âgé de ... beau-frère du défunt et Georges Boy de la Tour... cousin du défunt... est décédé en son domicile à Paris rue Raynouard, 21, François Benjamin Marie Delessert, agé de 50 ans, propriétaire,... né à paris marié à Blanche Cécile Eugénie Sophie de Triqueti son épouse âgée de 30 ans, propriétaire, meme domicile, fils de …

• Bulletin - Société d'émulation de l'arrondissement de Montargis [4]

Henry James est l'ami des Childe et est très lié à leur fils Edward qui a épousé Blanche de Triqueti, fille du sculpteur. Les Edward Lee Childe sont installés au château de Varennes à Amilly qu'Henri de Triqueti (1804- 1874) a fini de restaurer en 1868 pour la mariage de sa fille.

• Bulletin - Société d'émulation de l'arrondissement de Montargis : précision sur les châteaux, mariage en 1868 : [5]
• remariage de son 2e mari : Edward Lee Childe [6]

page 213 L'an 1888, et le 7 avril ... maire de la commune de Cannes (Alpes maritimes)... Edward Lee Childe veuf de Blanche Eugénie Cécile Sophie Triqueti, décédée ... 1886 à Paris (huitième arrondissement), âgé de 50 ans né à Philadelphia (Etats Unis d'amérique) le 6 du mois de juillet 1837 profession de propriétaire domicilié .... et Marie Elisabeth de Sartiges âgée de 33 ans…

• Lettres de Mmes Edward Lee Childe, l’une née Blanche de Triqueti, l’autre Marie de Sartiges [7]
• [8] -> Blanche Lee Childe, née de Triqueti épousa l’américain Edward Lee Childe -

Source - "Faire-part de décès de Madame Lee Childe née Blanche de Triqueti, de la part de Monsieur Lee Childe son mari" 28 02 1886

• Pierre Loti, À la mémoire de madame Lee Childe née Blanche de Triqueti [9]
• Chronique mortuaire du figaro 01/03/1886 [10]

Une des femmes les plus remarquables de Paris, Mme Lee Childe, née Blanche de Triqueti, est morte dans la nuit de samedi à dimanche, après une cruelle maladie de seize mois. C’est en son domicile, 1, rue François Ier qu’elle a rendu le dernier soupir, entourée de la vigilante tendresse de son mari et de ses amies.

Mme Lee Childe était un écrivain fort distingué elle avait publié à la Revue des Deux-Mondes deux volumes qui furent très remarqués : Un hiver au Caire et Souvenirs de Tunisie.

Les obsèques se feront demain mardi, à deux heures très précises, à l’église du Saint-Esprit, 5, rue Roquépine.

• [11] : Une secrète américaine de Paris Mrs Lee Childe -> morte en juin 1856 (fille Mary et fils Edouard)... belle-mère de l’auteur

Si Edward, son fils, a donné quelque souci à ses parents pour une vocation lente à se définir, du moins fit-il un mariage qui enracinait ce rameau d’une famille américaine dans un terroir français excellent : il épouse Blanche de Triqueti, la fille de l’artiste, un peu dédaigné aujourd’hui, qui a décoré la Madelaine. Dès lors les voyages qui semblent avoir été de bonne heure la passion de ce jeune Lee pouvaient continuer matrimonialement : voyages aux Etats-Unis dont une famille étendue était le normal objet, voyages en Allemagne qui (singulière coïncidence) fait séjourner le couple à Ems au moment de la dépêche fameuse, voyages dans le Levant pour lesquels s’ingénient les amis de sa mère : car rien n’est plus touchant que la sollicitude de Circourt, Mérimée et les autres survivants d’un groupe excellent, pour le fils de la disparue qu’ils avaient chérie sans peut-être la bien connaître.

C’est à Blanche Lee Childe que sera dédié l’un des livres les plus « exotiques » d’un homme qui jamais n’éprouva pour l’Amérique du Nord que répugnance et défiance : Pierre Loti. Et ainsi, par une sorte de justice immanente, sont associés des noms qui jamais n’auraient figuré sur la même page de garde sans une conjonction assez rare de destinées — l’étoile principale étant bien ce « feu qui brûle sans flamme » de la fille du général Lee, l’ami de George Washington.

• w:Henry de Triqueti : ..."la fille de Henri de Triqueti, qui épouse l’américain M. Lee-Childe, hérite d’une partie de la collection de son père. Après la mort de son épouse, M. Lee-Childe offre à l’école des beaux-arts de Paris trois mille dessins de son beau-père. "
• Société d'Emulation de l'Arrondissement de Montargis, Revue d'histoire du Gâtinais : n°148janvier 2011 « Blanche de Triqueti (1837-1886) et la vie de Château »