Ennéades (trad. Bouillet)/Table générale des matières

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Traduction par M. N. Bouillet.
Hachette (p. 657-692).

TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES
PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE.

Le chiffre romain désigne le tome, et le chiffre arabe la page.

(E) désigne les extraits d’Énée de Gaza.
(J), les fragments et les extraits de Jamblique.
(P), les fragments et les extraits de Porphyre.
R. signifie Rapprochement.
Voy. indique un renvoi à un autre article de la table.


A.

ABSOLU, αὔταρϰες (autarkes). L’un est l’absolu dans une souveraine indépendance de toutes choses, III, 61-62, 64. — (P), III, 623.

ABSTRACTION, ἀφαίρεσις (aphairesis), I, 122.

ACADÉMICIENS, cités par Porphyre, I, lxxxix ; par S. Augustin, II, 557.

ACCIDENT, συμϐεϐηϰός (sumbebêkos), I, 236. Il n’a d’existence que dans le sujet et par participation, III, 258.

ACHAMOTH (des Gnostiques), d’après saint Irénée, I, 511-514. Voy. Sophia inférieure.

ACTE, ἐνέργεια (energeia). Être en acte, τὸ ἐνεργείᾳ εἶναι (to energeia einai), est opposé à être en puissance, I, 223. — Ce qui est en acte est le composé de la matière et de la forme, I, 228. L’acte est la forme substantielle, I, 228. — Tous les intelligibles sont en acte et sont des actes, I, 231 ; II, 247.

Actes de l’âme humaine, II, 120. — Diverses espèces d’actes des âmes, (J), II, 641-646.

Les actes ne sont pas tous des actions, III, 101.

ACTION, ποίησις (poiêsis) ; agir, ποιεῖν (poiein) ; actif, ποιοῦν (poioun), 111, 170, 182. — Action est opposé à Passion, Agir à Pâtir, III, 184-187. Différence de l’Action et de la Passion, d’Agir et de Pâtir, III, 184-188, 233.

ADELPHIUS, gnostique, (P), I, 17.

ADJECTIFS Résumé de la théorie de Plotin et jugement de Steinhart III, 596-597.

ADRASTE d’Aphrodisie, commentateur d’Aristote, (P), I, 15.

ADRASTÉE, déesse, personnifie la Justice divine et l’Ordre de l’univers, II, 52-53. ADVERBES. Résumé de la théorie de Plotin et jugement de Steinhart, III, 598.

AFFECTION. Voy. Passion. αἰών (aiôn), éternité : étymologie, II, 179.

ALBINUS le platonicien, cité par Jamblique, II, 645.

ALCINOÜS. R., III, 584,586.

1. ALEXANDRE d’Aphrodisie, commentateur d’Aristote, cité par Porphyre, I, 15 ; par Simplicius, III, 630. — Rapprochements, I, 173, 244, 357, 489.

2. ALEXANDRE de Libye, gnostique, (P), I, 17.

ALEXANDRIE, berceau de l’École néoplatonicienne, (P), I, 4.

ALLOGÈNE, gnostique, (P), I, 17.

ALTÉRATION, ἀλλοίωσις (alloiôsis), II, 129 ; III, 293-296.

ALTÉRITÉ, ἑτερότης (heterotês), IIΙ, 296.

AMANT. Méthode pour l’élever au monde intelligible, I, 65, 405-406 ; 111, 133.

1. ÂME UNIVERSELLE, troisième hypostase divine. Résumé général, IIΙ, 573-575.

2. ÂMES DES ASTRES. Elles contemplent l’Intelligence divine, I, 169, 180. Elles exercent une influence physique sur les autres êtres, I, 168, 184, 379-397. Résumé, I, 446-472.

3. ÂME HUMAINE. Importance de la connaissance de soi-même, II, 261-262. — Résumé général de la Psychologie de Plotin : Essence de l’âme, II, 567. Parties de l’âme ; rapport de l’âme avec le corps ; indivisibilité et impassibilité de l’âme ; unité de l’âme, II, 567-569. Facultés de l’âme : vie végétative, vie sensitive, vie rationnelle, vie intellectuelle, II, 569-576. Rapports de l’âme humaine avec les trois hypostases divines, II, 576. L’âme avant la vie terrestre ; descente de l’âme dans le corps, II, 577. L’âme pendant la vie terrestre ; purification, II, 578. L’âme après la vie terrestre ; retour de l’âme à Dieu, II, 579-981.

Voy. Ammonius Saccas, Énée de Gaza, Jamblique, Porphyre, Priscien de Lydie, Proctus, Simplicius.

Diverses espèces d’âmes : âmes universelles, divines, démoniques, héroïques, humaines, (J), II, 642, 646, note 1.

4. ÂMES DES BÊTES : résumé, I, 377-380. — (J), II, 642, 646.

AMÉLIUS ou GENTILIANUS, disciple de Plotin, (P), I, 3, 5, 7, 9, 10, 13 ; ses ouvrages, (P), I, 5, 17, 19, 20, 23.

Lettre d’Amélius à Porphyre, 1,18.

Fragment d’Amélius, I, 530.

Amélius jugé par Longin, I, 23-24 ; cité par Énée de Gaza, II, 677 ; par Jamblique, II, 629-630, 642, 646, 648 ; par Proclus, II, 629.

1. AMMONIUS le péripatéticien, jugé par Longin, I, 22.

2. AMMONIUS SACCAS, maître de Plotin, (P), I, 4-5, 15, 22. — Témoignage d’Hiéroclès sur la nature de l’enseignement d’Ammonium I, xciv-xcv. — Idées qu’Ammonius dut emprunter à l’Orient, I, 497.

Fragments d’Ammonius traduits par M. Eug. Lévêque : Immatérialité de l’âme, I, xciv ; Union de l’âme et du corps, I, xcv-xcviii. — Rapprochements, II, 302, 439, 451, 463.

AMMIEN MARCELLIN cite Plotin, II, 532.

1. AMOUR, dieu, fils de Vénus-Uranie, II, 105-109. Voy. Éros. — Amour et Psyché, III, 559.

2. AMOUR, démon, file de Poros et de Penia ; explication du mythe de sa naissance, II, 112-122. — Jugements de MM.  Jahn et Steinhart sur l’explication de Plotin, II, 537-540.

3. AMOUR, passion de l’âme humaine. Résumé, II, 575-576. — Amour physique ; résumé, II, 570.

AMPHICLÉE, femme d’Ariston, (P), I, 11.

ἀναγωγή ἐφ’ ἕν (anagôgê eph’ hen), retour à l’Un, II, 233. C’est le mouvement opposé à la procession, πρόοδος (proodos), III, [illisible], note 4.

ANALOGIE. Sa définition, II, 84-85.

ANALYSE platonicienne, 1, 66, 408-410.

ANAXAGORE, cité par Plotin, I, 203-204, III, 20} par Énée de Gaza, II, 687.

ANAXIMANDRE, I, 204.

ANCIENS. Voy. Antique (Sagesse).

ANDRONICUS, éditeur d’Aristote et de Théophraste, (P), I, 28.

1. ANGES (des Chrétiens), II, 248, 299, 531, note 2.

2. ANGES (des Gnostiques), I, 535.

1. ANIMAL. Distinction de l’animal et de l’homme, Ι, 35-50, 179. L’animal est l’âme irraisonnable présente au corps organisé, I, 43-47, 363-367 ; III, 419. C’est cette âme qui est la cause de nos erreurs et de nos vices, I, 46, 48-49. — (J), II, 639-640.

2. ANIMAL MÊME, αὐτόζωον (autozôon). Voy. Monde intelligible.

3. ANIMAL UNIVERSEL. Voy. Monde sensible.

ANIMATION DU CORPS, ἐμψυχία (empsuchia), (Ρ) II, 622.

ANNIUS, stoïcien, mentionné par Longin, I, 22.

ἂνοδος (anodos), ascension et retour de l’âme au monde intelligible, II, 290.

ANSELME (saint). R., II, 139.

ANTIMAQUE, (P), I, 9.

ANTIPATHIE. La Haine règne dans l’univers avec l’Amitié, II, 397.

ANTIQUE (SAGESSE), d’après Platon et Aristote, I, 498, note.

Sous le nom de Sagesse antique des Grecs, Plotin désigne : 1° les vérités enseignées par les théologiens, II, 105, 287 ; 2° les dogmes transmis dans les allégories des mythes, ou révélés par les symboles des mystères, II, 120-121, 169-170, III, 17, 563-565 ; 3° les doctrines des anciens sages, ces hommes divins dont il aspire à être l’interprète, c’est-à-dire, d’Anaxagore, d’Empédocle, d’Héraclite, de Parménide, de Pythagore et de Platon, I, 271-274, II, 477-479, III, 18-20, 22.

ANTONIUS de Rhodes, ami de Porphyre, (P), I, 5.

APHRODITE (Vénus), Ἀφροδίτη (Aphroditê) : étymologie, II, 119.

APOLLODORE d’Athènes, éditeur du poëte Épicharme, (P), I, 28.

APOLLON, nom symbolique de l’Un ; son étymologie, III, 81.

ἀπολείψις τοῦ ὄντος (apoleipsis tou ontos), éclipse de l’être, II, 141.

ἀπόστασις (apostasis), éloignement de Dieu, III, 4. — Apostare a Deo, II, 547.

APPÉTITS, ἐπιθυμίαι (epithumiai), I, 131, 139, 336 ; II, 359, 373, 376. Résumé, II, 570. Voy. Colère, Concupiscence.

APULÉE, cité par S. Augustin, II, 557 ; III, 611.

AQUILINUS, gnostique, (P), I, 17.

ARBRE (Vie du monde comparée à celle d’un), II, 86, 231, 346, 384-399, etc.

ARCHYTAS, cité par Simplicius, III, 631. — Rapprochement, I, 78.

ARISTANDER, cité par Proclus, II, 627.

ARISTIDE QUINTILIEN. Rapprochement, II, 399.

ARISTIPPE. Rapprochement, I, 71.

1. ARISTON le péripatéticien, cité par Porphyre, I, lxxxvii-lxxxviii.

2. ARISTON le stoïcien. Rapprochement, II, 59.

ARISTOTE. Les Néoplatoniciens se sont proposé de concilier les doctrines de Platon et d’Aristote dans ce qu’elles ont d’essentiel. Témoignage de S. Augustin à ce sujet, II, 611. — Témoignage d’Hiéroclès sur Ammonius Saccas, I, xciv-xcv. — Plotin a condensé dans les Ennéades la Métaphysique d’Aristote tout entière, I, 15. Les livres de Plotin sur les Genres de l’être ont servi de point de départ aux commentateurs néoplatoniciens des Catégories, IIΙ, 631. — Son exemple a été suivi par Porphyre (Traité sur la conciliation des doctrines de Platon et d’Aristote, Commentaires sur les Catégories d’Aristote, Isagoge, etc.), I, xcv, et III, 632 ; par Jamblique (Traité de l’Âme, Commentaire du Traité d’Aristote sur l’Âme, Commentaires des Catégories), II, 613, et III, 632-633 ; par Plutarque d’Athènes, II, 614 ; par Simplicius, comme il l’atteste lui-même, II, 611, 613, et III, 631-633 ; par Priscien de Lydie, I, 388 ; par Boëce, I, xcv, etc.

Aristote cité par Plotin, I, 40, 145, 148, 230 ; III, 21.

Comparaison de la doctrine d’Aristote avec celle de Plotin : Méthode, I, 411. Morale : vertus, I, 399-401 ; bonheur, I, 412-417, 419-420 ; volonté et liberté, III, 401-503. Psychologie, (résumé), II, 583. Métaphysique : matière, I, 195-196, 202-206, 211-213, 219-221 ; forme substantielle, III, 410-412, 416-420 ; puissance et acte, I, 223-233 ; essence et qualité, I, 236, 238-240 ; genres de l’être (Voy. ci-après, dans les rapprochements, Catégories) ; Nature et contemplation, II, 212, 214, 216, 223, 234 ; Intelligence et Bien, III, 447-450, 458, 470-481, 486, 525, 527. Voy. encore ci-après les rapprochements.

Rapprochements entre Plotin et les écrits suivants d’Aristote :

Traité de l’Âme, I, 227-228, 331-332, 334-346, 353, 356-357, 304, 366, 369-371, 444, 449, 452 ; II, 223, 306-307, 408-409, 418-419, 425-426, 446, 451, 460, 463-465, 475, 573 ; III, 416, 419, 497-498.

Traité du Ciel, I, 145-146, 230 ; II, 179-180, 283.

Catégories : Substance, III, 151-155, 254, 256 ; Quantité, III, 158-160, 268-272, 275 ; Relation, III, 163-164, 292 ; Qualité, I, 237, III, 167-173, 280, 284-290 ; Mouvement, III, 187 (Résumé et appréciation de Steinhart, III, 589-591).

Traité de la Génération des animaux, III, 104-105.

Traité de la Génération et de la Corruption, I, 243 ; II, 145-147, 383 ; III, 140, 292-293, 299.

Logique, I, 67, 411.

De la Mémoire et de la Réminiscence, II, 208, 313, 323-326, 431-432.

Métaphysique, I, 195-196, 202-206, 208, 211-213, 216, 219, 221, 223-233, 236, 238-240, 417, 450-451, 475-476, 409 ; II, 459-460, 512, 550-551 ; III, 10, 21, 150, 152, 154, 156-157, 169, 179, 214, 220-221, 227, 253-255, 257-260, 262-265, 267, 272-273, 281-282, 288, 294, 297, 370-371, 374, 385-388, 390-393, 410-412, 416, 450, 458, 477-481, 486, 525, 527.

Météorologie, I, 148.

Grande Morale, III, 468, 496-497.

Morale à Eudème, III, 493, 405-406.

Morale à Nicomaque, I, 70, 399-401, 412-416, 419-420 ; II, 216, 234 ; III, 232, 492-496, 499-500, 502-503, 525.

Physique, II, 191-194, 212, 214, 318.

De la Sensation et des choses sensibles, II, 367-368, 428.

Topiques, I, 243.

Psychologie d’Aristote citée par Énée de Gaza, II, 675 ; par Jamblique, II, 625, 628, 631, 633-634, 636, 638-641, 645, 647, 662, 665 ; par Porphyre, I, lxvii (note 4), xc-xci, II, 615 ; par Simplicius, II, 631-632.

Réfutation de la théorie de l’entéléchie par Porphyre, II, 622.

Explication de la théorie de l’intellect en puissance et de l’intellect en acte par Énée de Gaza, II, 675 ; par Jamblique, II, 638, 666-668 ; par Jean Philopon, III, 587 ; par Némésius, II, 630 ; par Plutarque d’Athènes, II, 667 ; par Simplicius, II, 668-660.

Histoire des Commentaires sur les Catégories d’Aristote, par Simplicius, IIΙ, 630-632.

ARNOBE. R., I, 494.

ARTS (BEAUX-). Ils donnent aux objets qu’ils façonnent la beauté de la forme ; ils ne se bornent pas à imiter, mais ils s’élèvent À l’idéal, III, 107-108, 135, 139. — Ils sont contenus dans le monde intelligible, en tant qu’ils se trouvent impliqués dans la raison humaine, III, 144-145, 148.

ASPASIUS, commentateur d’Aristote, nommé par Porphyre, I, 15.

ASSENTIMENT, συγϰαταθετικὴ δύναμις (sugkatathetikê), faculté de l’âme humaine, (P), I, LXXXIX.

ASSOCIATION DES IDÉES, II, 432.

ASTRES. Réfutation de l’Astrologie, I, 16, 165-194 ; II, 7, 10-14. — Les astres indiquent les événements futurs en vertu de l’ordre général de l’univers, I, 174-178 ; II, 13-14. Résumé, I, 464-466. — Les astres n’exercent qu’une influence physique par leur corps, ou sympathique par leur âme irraisonnable, I, 167-168, 172, 184 ; II, 370, 379-397. Résumé, I, 466-472.

ATARAXIE, I, 71.

ATHANASE (saint). Rapprochements, II, 231 ; III, 354.

ATHÉISME, contraire à la croyance générale, III, 341.

ATHÉNÉE le stoïcien, jugé par Longin, I, 22.

ATLANTIDE (poëme de l’), (P), I, 9.

ATOMES (Doctrine des), citée par Plotin, I, 205, II, 4-6, 8-9, 438.

ATROPOS, une des Parques, I, 187.

ATTICUS le platonicien, cité par Porphyre, I, 15 ; par Jamblique, II, 644, 651.

AUGUSTIN (saint) a connu plusieurs livres de Plotin et de Porphyre par une traduction de Victorinus. Indication de ces livres, II, 555-561. (Nous complétons ici cette indication.)

S. Augustin fait l’éloge de Plotin, I, xxx, 493.

Il cite Plotin textuellement : (Enn. I, liv. VI, § 8) I, 422 ; III, 611, note 2 ; (Enn. III, liv. II, § 13) II, 54, note 1 ; (Enn. III, liv. iv), 534 ; (Enn. IV, liv. iii, § 12) II, 290, note 2 ; (Enn. V, liv. I) I, 322 ; (Enn. V, liv. vi, § 5), IIΙ, 98, note 1, et 584, note 1.

Il cite encore Plotin avec Porphyre en les désignant par les expressions : acutissimi viri, quidam docti, non mediocriter docti homines, doctissimi homines, philosophi, (Enn. I, liv. II) II, 546, note 6 ; (Enn. II, liv. III) I, 166, note 1 ; (Enn. III, liv. v) II, 541 ; (Enn. IV, liv. II) II, 588, note 7 ; (Enn. IV, liv. III, § 20) II, 305.

S. Augustin dit qu’il désigne sous le nom de platoniciens Plotin, Porphyre et Jamblique (il ne cite nulle part ce dernier), II, 557. — Éloge des Platoniciens, I, xxxi, note 1, 274, 305, 330, 498 ; II, VIII, note 8, 611 ; III, 612. — Critique des Platoniciens, I, 265, 301, 436, 445-447, 521.

S.-Augustin cite Porphyre seul, I, 300, 434, note 4 ; III, 624, note 5. Il distingue sa doctrine de celle de Plotin, I, 323 ; II, 534, 608. Il reproduit, sans nommer Porphyre, un passage des Principes de la théorie des intelligibles, II, 545, note 3.

Comparaison de la doctrine de saint Augustin avec celle de Plotin :

Psychologie, (résumé) II, 588-598 ; purification de l’âme, II, 544-547. Providence et origine du mal, I, 434-438 ; (résumé) II, 523-525. Théorie des Idées et des Nombres, II, 352-358, 589-590 ; III, 601. Matière, II, 143, 146, 153, 160, 163, 165, 548. Espace, II, 161. Éternité et Temps, II, 172, 175, 177, 183, 186187, 191, 201, 203, 207-208, Ubiquité de Dieu, II, 552, 553, 591592 ; III, 305-309, 311, 316, 828, 334-335, 345. De l’Un absolu, III, 601-602. Du Bien absolu, III, 607-608. Vision de Dieu, III, 579-600, 610-611.

Rapprochements entre Plotin et les écrits suivants de saint Augustin :

Contre les Académiciens, I, 498 ; II, VIII, 611.

De l’Âme et de son origine, II, 451, 458.

De la Cité de Dieu, I, 166, 255, 257-258, 265, 267, 274, 278, 285, 204, 300-301, 303-307, 330, 434-437, 445-447, 521 ; II, 244, 248, 292, 299-300, 348, 525 (note 2), 548 (note sur le sens du mot species dans ce passage), 608 ; III, 331-338, 340, 611-612.

Commentaire de l’Évangile de saint Jean, II, 34 ; III, 341, 352.

Confessions, I, 328-329, 424-495, 543 ; II, 24, 27, 37, 50, 143, 160, 162, 165, 171, 177-178, 183, 187, 191, 201, 203-204, 207-208, 227-223, 234, 324, 332, 346, 353, 523-524 ; III, 6, 354, 579-580.

De l’Immortalité de l’âme, II, 125, 146, 255, 257, 440, 461-463, 467, 469, 472.

De la Genèse, contre les Manichéens, II, 153.

Lettres, I, 493 ; II, 541. — Lettre sur l’Origine de l’âme de l’homme, II, 257, 444, 450. — Lettre sur la Présence de Dieu, II, 559-553, 501, 592 ; III, 305-309, 311, 316, 328, 334-335, 345. — Lettre sur la Vision de Dieu, III, 610-611.

Du Libre arbitre, II, 17, 23, 18, 33, 38, 44, 46-48, 57, 73-74, 589599 ; III, 344, 356, 601.

Du Maître, I, 351-352 ; II, 337, 352.

De la Musique, I, 405 ; II, 125, 129, 132-133, 136, 138, 172, 316, 524, 545-547 ; III, 4.

De l’Ordre, II, 39-40, 50, 56, 64, 68, 81 ; II, 233, 269, 314, 328, 594.

De la Quantité de l’Âme, II, 127, 137, 236, 262, 281, 299, 305, 357, 360, 416, 426, 443, 447, 455, 588, 591-592 ; III, 420.

Questions diverses, II, 279-280, 289, 296-297, 314, 352-353.

De la vraie Religion, II, 137, 186 ; III, 601-602.

De la nature du Bien, II, 139.

De la Trinité, II, 175, 427-432, 434, 452, 618 ; III, 48-49, 305, 310, 334, 349, 513-514, 572, 607-608.

Il est indispensable, pour bien comprendre S. Augustin, de connaître la langue et la doctrine de Plotin, II, 548 (note 1), 590-592.

αὐτοζῶον (autozôon), l’Animal même, II, 554 III, 404.

AVICÉBRON, nom corrompu d’Ibn-Gébirol.

AVOIR, une des catégories d’Aristote, III, 101-193, 233.

B.

BACCHUS (Miroir de), II, 289.

Bacchus, chef des Titans, (P), II, 594-597.

BACH, II, 506-597.

BARTHÉLEMY SAINT-HILAIRE, I, 113, 344, 397, 404, 421, 490, 491 ; II, 507, 551, 556, 566 ; III, 569, 581, 582, 583, 588, 599, 602, 604, 606. Voy. Aristote.

BARTHIUS, I, 419.

BASILE, Βασιλεύς (Basileus), traduction de Malchus, nom phénicien de Porphyre, (P), I, 17, 18.

1. BASILE (saint). Rapprochements, I, liii, lv ; III, 474, 572.

Extraits de S. Basile traduits par M.  Eug. Lévêque :

Homélie sur l’Esprit saint, III, 638 ;

Traité de l’esprit saint, (extrait) III, 644 ;

Lettre sur la Vie monastique, (extrait) III, 651 ;

Hexaméron (extraits) : 1° De la Beauté de la Lumière, III, 654 ; 2° Pourquoi les objets vus de loin paraissent-ils plus petits ? III, 655-656.

BEAU. La beauté consiste dans la forme ou l’idée, I, 101-102 ; III, 133.

La beauté physique est la forme que le corps reçoit de l’âme par la raison séminale, I, 101-103, 108 ; III, 109-111, 133. La beauté morale est la forme que l’âme reçoit de l’Intelligence par la science et la vertu, I, 104-108, 110-112 ; III, 111. La beauté intellectuelle est la forme que l’Intelligence reçoit du Bien par les idées ou formes intelligibles dont elle est le lieu, I, 113 ; III, 122-124, 126. — Le principe de toute beauté est le Bien absolu quI, ayant donné la forme à l’Intelligence et n’ayant pas de forme lui-même, est la Beauté transcendante, τὸ ὑπέρϰαλον, III, 452-454, 471-472.

L’âme connaît le beau par une faculté spéciale. Elle compare les objets à l’idée du Beau qu’elle a en elle-même, I, 102 ; III, 110-111. — Voy. Arts.

BERGER, cité I, 484 ; II, 543.

BIAS, (P), I, 615.

1. BIEN. Le bien d’un être est dans la forme qu’il reçoit du principe immédiatement supérieur : le bien de la matière est l’ordre et la beauté que lui donne la forme ; le bien du corps est la vie que lui donne l’âme ; le bien de l’âme est la vertu que lui donne l’intelligence ; le bien de l’intelligence est la sagesse et le bonheur que lui donne le Bien absolu, III, 458-461. Quand l’être est sensible, il jouit de la présence du bien, III, 459-460.

2. BIEN ABSOLU, première hypostase. Détermination de sa nature, III, 440-400. Résumé, III, 577-578.

Définition du Bien par Porphyre, III, 623-624.

BOÈCE. Rapprochements avec Plotin : Providence, II, 525-539 ; Sensation, II, 600-601 ; Temps, II, 181, 185, 189.

1. BOÉTHUS le péripatéticien, cité par Simplicius, III, 630.

2. BOÉTHUS le stoïcien, combattu par Porphyre, II, 619.

BONHEUR. Le bonheur consiste dans la vie parfaite de l’intelligence, I, 75-77, 97 ; il est indépendant des choses extérieures, I, 78-91. — Critique de la théorie d’Aristote, I, 70, 77-84 ; d’Épicure, I, 70-71, 87, 93 ; des Stoïciens, I, 70-71.

Le bonheur ne peut pas s’accroître avec le temps, I, 93-97.

BOSSUET. Rapprochements avec Plotin : 1° Âme humaine, I, 371, 377-379 ; II, 379, 616 ; III, 420. Entendement, I, 327, 330, 341-343, 345-350, 355, 363. Imagination, I, 338, 340 ; II, 118. Passions, I, 336-337. Sens, I, 332-334, 364-366. Bonheur, I, 416, 418. 2° Dieu, II, 180, 201-202, 561-502. Providence, origine du mal, I, 433, 437-438 ; II, 31. — Ces rapprochements s’expliquent par l’étude que Bossuet avait faite de Denys l’Aréopagite, de saint Augustin et de saint Thomas. Voy. ces noms.

BRAHMES, mentionnés par Numénius, I, xcix.

BYTHOS (des Gnostiques), I, 499-500, 520-521.

C.

CAHEN (Isid.), I, cxxi, cxxiv.

CALYPSO (Pouvoir magique de), I, 111.

CAMPANIE, séjour de Plotin, (P), I, 2, 14.

CAPACITÉ. Les choses sensibles participent de l’Être intelligible par les puissances qu’elles reçoivent de lui chacune selon sa capacité, III, 311, 326-327, 334.

CARTÉRIUS, peintre, fait le portrait de Plotin, (P), I, 1.

CASSIODORE a connu la psychologie de Plotin par S. Augustin, II, 592-593. — R. II, 496, 593.

CASTRICIUS FIRMUS, ami de Plotin, (P), I, 2, 10.

CATÉGORIES. Voy. Aristote et Genres de l’être.

CAUSE. Rien n’arrive sans cause, II, 4. — La cause générale est la Nature, II, 5. L’Âme universelle et l’âme humaine sont des causes premières, II, 15-16.

CÉRÈS, Δημήτηρ (Dêmêtêr), puissance végétative de la terre, II, 373.

CERTITUDE (La) est propre à l’intelligence, III, 41.

CHALCIDIUS. R., II, 410.

CHALDÉENS, cités par Énée de Gaza, II, 676, 686. — R., I, 462.

CHANGEMENT, μεταβολή (metabolê) III, 292.

CHAUVET, I, xxiii, 352, 361.

CHILON, (Ρ), II, 615.

CHIONÈ, amie de Plotin, (P), I, 13.

1. CHŒUR de danse (Le monde comparé à un), II, 387-397.

2. CHŒUR des vertus, III, 563.

3. CHŒUR des bienheureux, (P), I, 26.

CHRYSIPPE. Rapprochements ; II, 50, 123, 131, 518-519.

CHUTE de l’âme, I, 138, 266 ; II, 479.

CIEL (Le) est immortel parce qu’il est composé de feu et animé par l’Âme universelle, I, 143-153.

Il est mû par elle circulairement, I, 158-164.

CIRCÉ (Pouvoir magique de), I, 111.

CITÉ (Le monde comparé à une), II, 396.

CLÉANTHE. Rapprochements, II, 53, 123, 131, 449.

CLÉARQUE, (P), II, 615.

CLÉMENT d’Alexandrie. Rapprochements, I, 308, 495, 513-514, 536, 539 ; II, 29, 87 ; III, 608.

CLÉODAME, ami de Longin, (P), I, 18.

CLOTHO, une des Parques, I, 187.

CŒLUS. Voy. Uranos.

COLÈRE ou APPÉTIT IRASCIBLE, τὸ θυμοειδές (to thumoeides), II, 130, 373-377. Résumé, II, 570.

COLORBASUS, gnostique, I, 503-504.

COMPOSITION, DÉCOMPOSITION (Mouvement de), III, 298-300.

CONCUPISCENCE ou APPÉTIT CONCUPISCIBLE, τὸ ἐπιθυμητιϰόν (to epithumêtikon), I, 336 ; II, 130, 311, 359-361, 373-374. Résumé, II, 570.

CONNAIS-TOI TOI-MÊME, II, 262. — Traité de Porphyre sur ce précepte, II, 615-618. Emprunts que lui ont faits Jamblique et Proclus, II, 615-617.

CONSCIENCE, συναίσθησις, παραϰολούθησις (sunaisthêsis, parakolouthêsis), II, 319, 368 ; III, 56. Résumé et examen de la théorie de Plotin sur cette faculté, I, 352-355.

CONTEMPLATION, θεωρία (theoria). Tous les êtres aspirent à la contemplation, II, 210, 221, 224. — La contemplation est le but de l’action, II, 219. — Contemplation propre à l’âme, II, 217-222. — Contemplation propre à l’intelligence, II, 223-228 ; III, 38-40.

CONTENIR, ϰατέχειν (katechein). L’âme contient le corps, I, 358.

CONTINGENCE. Il n’y a rien de contingent en Dieu, III, 528-530.

CONTRAIRES, I, 126-127.

CONVERSION. Conv. de l’âme vers elle-même, I, 86 ; vers l’Intelligence, I, 57 ; II, 484, 486, 492 ; III, 46, 127. — Conv. de l’intelligence vers elle-même, III, 42 ; vers l’Un, III, 16, 26, 445.

CORNUTUS, cité par Jamblique, II, 655.

CORPORÉITÉ, σωματότης (sômatotês), I, 215, 248.

CORPS. Le corps est la matière avec toutes les qualités, I, 248-249. Corps de l’homme : sa nature, etc., II, 566-567 ; sa génération, I, 474-478 ; III, 423-424.

COURAGE, une des quatre vertus, I, 52, 55, 56, 60.

COUSIN, I, vi ; III, 613. Voy. Olympiodore, Platon, Proclus.

CRAINTE, II, 131, 133-134.

CRÉATION. Le monde n’a pas eu de commencement selon les Néoplatoniciens, I, 264-265. Création du monde d’après les Gnostiques, I, 506-507, 514-516.

CREUZER, I, viii, xiii-xiv, xvii-xviii, xxxvi, xlviii-xlix, lvi, 421, 639, 488 ; II, 531-532, 542, 551, 602-606 ; III, 583, 584-585, 587.

CRONIUS, commentateur de Platon, cité par Porphyre, I, 15, 23 ; par Jamblique, 645, 647, 651.

CRONOS (Saturne) représente l’Intelligence divine, II, 106-107 ; III, 9, 17, 130.

CUDWORTH explique un passage de Plotin, III, 20. — R., 656-657.

CYRILLE (saint) cite Plotin, III, 5-6, 8, 14-16, 19-20 ; cite Porphyre, III, 623-626. — Son jugement sur la différence de la Trinité chrétienne et de la Trinité néoplatonicienne, III, 626, note.

D.

DAMASCIUS cite Plotin, I, 262, II, 509 ; III, 16. — R., III, 68, 122 ;

DANTE. R. I, 450, 455, 476.

DAVID l’Arménien cite Plotin, I, 443 ; cite les Commentaires de Proclus sur Plotin, III, 614-615.

DEGÉRANDO, I, vii-viii ; III, 583.

1. DÉMIURGE. 1° Intelligence divine, II, 344 ; III, 135 ; 2° Âme universelle, II, 479.

2. DÉMIURGE (des Gnostiques), I, 515-516, 533-534.

1. DÉMOCRITE d’Abdère, cité par Jamblique, II, 623, 626, 647, 654, 655. — R., I, 205 ; II, 86, 488.

2. DÉMOCRITE le platonicien, jugé par Longin, I, 21-23 ; cité par Jamblique, II, 636.

1. DÉMONS qui sont des puissances de l’Âme humaine, II, 92-101. Résumé, II, 530-532.

2. DÉMONS qui sont des puissances de l’Âme universelle, I, 158 ; II, 112, 306, 402. Résumé, II, 532-533. — Différence des Démons et des Dieux, II, 112, 114, 116.

3. DÉMONS des Gnostiques. Rapprochements, I, 206, 536.

DÉMOSTRATE, gnostique, (P), I, 17.

DENYS l’Aréopagite. Rapprochements avec Plotin, I, 438 ; II, 182, 225, 228-229, 250, 521-522. — Sa définition de Dieu, I, 500.

DÉPLACEMENT (Mouvement de), III, 297-300.

DESCARTES. Rapprochements, I, 347, 359 ; II, 131-132, 146-147, 245.

DESCENTE de l’âme humaine dans le corps : résumé, II, 577 ; III, 337. — (E), II, 673-676 ; (J), II, 644-645, 648-651 ; (P) I, lxv.

DÉSIR, ἔφεσις (ephesis), principe de l’amour, II, 121-122.

DESTIN. Réfutation des fausses doctrines sur le Destin, II, 4-15. Le Destin est l’action que l’Âme universelle exerce comme Puissance naturelle, I, 182, 188, 191, 472 ; II, 5, 16-18, 76, 80, 101, 211-218, 279, 284-288, 344-354. Résumé, II, 507-510.

(J), II, 16-17, 506, 670-672.

DESTINÉE de l’âme humaine : résumé, II, 577-581.

DEXIPPE, cité par Simplicius pour avoir réfuté les critiques adressées par Plotin aux Catégories d’Aristote, III, 631. διάδεσις (diadesis), transmission de la sensation de proche en proche, II, 258, 303.

DIALECTIQUE (platonicienne). Sa définition, I, 66. — Elle élève l’âme au monde intelligible, I, 62-69. διανοητιϰόν, διανοία (dianoêtikon, dianoia) Voy. Raison discursive.

DICÉARQUE, cité par Jamblique, II, 633, 641, 655.

DIEU. Plotin désigne sous ce nom l’Âme universelle, III, 18 ; l’Intelligence divine, III, 7, 74 ; et surtout l’Un, I, 44 ; III, 19, 75, 846, etc. — (P), III, 624, 626.

DIEUX, Ce sont les intelligibles, III, 17, 75, 116 ; ou bien les astres, III, 113, etc.

DIFFÉRENCE, un des genres de l’être intelligible, III, 219.

DIODORE de Sicile, R., III, 608.

DIONÉ, mère de Vénus, populaire, II, 106.

DIOPHANE, rhéteur, (P), 1, 16.

DISCURSIVE (PENSÉE), διανοία (dianoia), Voy. Raison discursive.

DISPOSITION, διάθεσις (diathesis), espèce de qualité, I, 237, 242.

DIVINATION, Ses différentes espèces sont fondées sur l’étude des lois de l’analogie, II, 84.

δόξα (doxa) (Opinion) : étymologie, III, 73.

DOULEUR, une des passions de l’âme, II, 131.

DRAME (L’ordre du monde comparé à un) II, 61-67.

DYADE, dualité de l’intelligence et de l’Intelligible. — De la Dyade indéfinie et de l’Un sont nés les nombres et les idées, III, 11-18, 66,

Sens du mot dyade dans la doctrine des Pythagoriciens, (P), III, 628.

E

ÉDIFIÉ, ἐνιδρυθεὶς (enidrutheis). Le corps est édifié sur l’âme, I, 360 ; II, 441. Les êtres sont édifiés sur Dieu, III, 854.

ἡγεμονοῦν (hêgemonoun), le Principe dirigeant, II, 258, 447.

ÉGYPTIEN (Un prêtre) évoque le démon de Plotin, (P), I, 19. Allusion que Proclus fait à ce passage, II, 98.

ÉGYPTIENS (Les sages), cités par Plotin au sujet des hiéroglyphes, III, 117-118 ; mentionnés par Énée de Gaza, II, 676-677, et par Numénius, I, xcix,

εἶδος (eidos). Voy, Forme, Idée.

εἴδωλον (eidôlon), âme irraisonnable, image de l’âme raisonnable, I, 38, 48-50.

εἷναι ψυχῇ (einai psuchê), essence de l’âme I, 36.

ἐϰεῖ (ekei), là-haut, I, 199 ; II, 177.

ÉLÉMENTS, I, 151-157, Ce sont les corps engendrés par la Nature, II, 350 ; III, 135, 433-434.

EMPÉDOCLE, cité par Plotin, I, 203 ; II, 470, 478, 479, 487 ; III, 20, 439 ; par Énée de Gaza, 674-676 ; par Jamblique, II, 644, 652 ; par Porphyre, I, lxxxvi, II, 479.

ÉNÉE de Gaza, Son Théophraste, dialogue sur l’âme, analysé et traduit par M.  Eug. Lévêque :

Opinions professées par les philosophes anciens sur la descente de l’âme dans le corps, II, 673. Les Néoplatoniciens expliquent chacun d’une manière différente les passages dans lesquels Platon dit que l’âme humaine passe dans des corps de bêtes, 676. Réfutation de la doctrine de la préexistence de l’âme, 679. Il n’est point nécessaire d’admettre la métempsycose pour justifier la Providence, 680. La vie actuelle suffit pour servir d’épreuve à l’âme humaine, 681. Origine de l’âme, 683. Pourquoi Dieu n’a pas créé toutes les âmes dès l’origine, 682. Immortalité de l’âme, 683. Quoique Dieu crée continuellement de nouvelles âmes, le nombre n’en est pas infini, 683. De la Résurrection, 687.

Le fond de cet ouvrage d’Énée de Gaza est tiré de Plotin et de S. Grégoire de Nysse, II, 614, 687.

ἐνέργεια συμφυής (energeia sumphuês) activité naturelle de l’âme, I, 37.

ENFERS. Sens de l’expression : L’âme est aux enfers, III, 339-340. — (P), I, lxv.

ENGELHARDT, I, xli, xliv, 319.

ἐνόπτρισις πᾶσα (enoptrisis pasa), l’image formée par le reflet universel des êtres intelligibles, II, 164.

ENTÉLÉCHIE d’Aristote, ἐντελέχεια (entelecheia), I, 40, 357. — (J), II, 639. — Opinion de Steinhart, I, cxxviii.

L’âme n’est pas l’entéléchie du corps, II, 463-465. — (P), II, 623.

ENTHOUSIASME (ravissement de l’âme), III, 562-563.

Sa définition par Jamblique, II, 640 ; par Porphyre, II, 622 ; par Proclus, II, 640-641.

ÉONS (des Gnostiques), d’après Plotin, I, 522 ; d’après saint Irénée, I, 500-510.

ÉPICHARME, poëte, (P), I, 28.

ÉPICTÈTE. Rapprochements, II, 42, 59, 67.

ÉPICURE, cité par Plotin, II, 348 ; par Jamblique, II, 623, 647, 652, 655, 663.

Rapprochements, I, 87, 92 ; II, 8, 19-20, 438.

ÉPIMÉTHÉE (Mythe d’), II, 294.

ÉPIPHANE (saint). Extrait sur les Gnostiques, I, 503.

ÉRATOSTHÈNE, le platonicien, cité par Jamblique, II, 649.

ἑρμηνευτιϰή (hermêneutikê). L’Âme universelle est l’interprète de l’Intelligence, II, 288.

ÉROS, Ἔρως (Amour) : étymologie, II, 108.

ESPRIT, πνεῦμα. Esprit qui entoure l’âme humaine, I, 163. — Doctrine de Jamblique, II, 643 ; de Porphyre, I, lxv-lxvi, II, 633 ; de Proclus et de Synésius, II, 656.

Esprit qui constitue la puissance végétative de la Terre, II, 371.

ESSENCE. Elle est l’être avec toutes les propriétés, la forme avec les actes et les puissances, I, 235, 240-242. — Complément de l’essence, I, 236, 239, 240.

ESSENCE DE L’ÂME, d’après Plotin, II, 567 ; d’après Jamblique, II, 643 ; d’après Porphyre, I, lxiii, II, 619 ; d’après Proclus, II, 630, III, 617-618 ; d’après Simplicius, II, 631, 632.

ÉTENDUE (ou GRANDEUR). Elle a pour principe la raison ou forme substantielle, II, 161-162. — L’étendue sensible est née de l’étendue intelligible par la procession de l’imagination, II, 163-168. — (J), II, 627.

ÉTERNITÉ. C’est le mode d’existence propre à l’Intelligence divine, II, 174-181. Elle a l’Un pour principe, II, 181-182.

(P), I, lxxii ; III, 625.

ÊTRE INTELLIGIBLE. Il est incorporel, impassible, immuable, éternel, II, 139, 175-181 ; III, 215. Il est un, identique, partout présent tout entier, III, 306-313, 359-362.

(P), I, LXXVI-LXXXVI.

ÊTRE SENSIBLE. C’est le non-être, II, 139-140.

ÉTYMOLOGIES de Plotin : jugement de Steinhart, III, 593.

EUBULUS, commentateur de Platon, (P), I, 1. — Ses ouvrages mentionnés par Longin, I, 22.

EUCLIDE, commentateur de Platon, nommé par Longin, I, 21.

EULOGE, père de l’Église grecque. Rapprochement, II, 246.

EUNAPE. Sa notice sur Plotin, I, 316 ; III, 613.

EURIPIDE. R., II, 405.

EUSÈBE cite Plotin, II, 603 ; III, 9, 13. — Il nous en a conservé un morceau important, II, 463-465, 603-606.

EUSTOCHIUS, un des amis de Plotin, I, 2-3, 9. — Édition qu’il a donnée de ses livres, I, xxxvi. Différences que présente cette édition avec celle de Porphyre, II, 379, 604.

EXISTENCE (L’), τὸ εἶναι (to einai). Elle a pour formes la Pensée et la Vie, III, 87, 100.

EXTASE, ἔϰστασις (ekstasis), III, 563. — Voy. Enthousiasme et Vision de Dieu.

F.

FACULTÉS de l’âme humaine : résumé, II, 569-576. — Voy. Jamblique, Porphyre, Simplicius.

FATALISME (Réfutation du), II, 4-15, 515-518.

FÉNÉLON. Rapprochements avec Plotin : Dieu, I, 350 ; II, 266 ; III, 307, 321, 362, 429, 552-554. Providence, II, 25-26, 49, 51, 54. Raison, I, 352 ; III, 356-357. Temps, II, 175-179, 181-184, 198-199. Individualité de l’âme, II, 280-281. — Ces rapprochements s’expliquent par l’étude que Fénélon avait faite de S. Augustin, II, 54, 337-338, 529, 593 ; de Denys l’Aréopagite, etc.

FEU, I, 147, 155, 160 ; III, 433.

FICIN. Sa traduction, I, xvi, xl. — Ses arguments, I, xvii, 169, 173, 390-396, 477 ; II, 76-79, 84, 87, 97-98, 117, 240, 242, 244-247, 273, 371372 ; III, 186, 245, 330, 333, 338-340, 367, 380, 382-383, 393-395, 398, 402, 421, 425, 436-437, 484.

FIGURES INTELLIGIBLES, σϰήματα πρῶτα (skêmata prôta), III, 401-403.

FIRMICUS (Julius). R., 1, 167.

FORME SUBSTANTIELLE, εἶδος, μορφή, λόγος (eidos, morphê, logos). Elle contient à la fois l’essence, οὐσία, λόγος (ousia, logos), ou quiddité, τὸ τί ἦν εἶναι (to ti ên einai), et le pourquoi ou la raison d’être, διότι, τῆς ὑποστάσεως αἰτία (dioti, tês hupostaseôs aitia), III, 410-415.

Il y a trois espèces de formes, lesquelles procèdent l’une de l’autre : 1° la forme intellectuelle, idée ou intelligence ; 2° la forme rationnelle, raison ou âme ; 3° la forme sensitive ou raison séminale. À ces trois espèces de formes correspondent l’homme intellectuel, l’homme rationnel et l’homme sensitif, III, 410-425.

Dans le végétal, la forme est la puissance végétative ou nature, III, 431-432. Dans le corps inorganique, c’est l’habitude, la corporéité ; cette forme est divisible comme le corps lui-même, II, 254-255, 260.

Les pierres doivent leur forme à la puissance végétative de la Terre, III, 431-432 ; les éléments la doivent à la puissance naturelle de l’Âme, II, 350 ; III, 135, 433.

FORME DU MONDE (des Gnostiques), I, 529-530.

FRANCK (Adolphe), I, xxiii. Voy. Kabbale.

FROID (Le) est l’absence de la chaleur, II, 147.

G.

GAIUS, commentateur de Platon, (P). I. 15.

GALIEN. Plotin suit sa physiologie, II, 309, 311. —

R., II, 626-627.

GÉMINA, une des femmes disciples de Plotin, (P), I, 11.

GÉMISTE PLÉTHON (George) cite Plotin, I, 401.

GÉNÉRAL (Le) est l’objet de nos conceptions, II, 118.

GÉNÉRATION. 1° Production d’un être, III, 292-293. Elle est un acte de contemplation, II, 221-222,

2° Substance sensible (corps), I, 123, 138 ; III, 248, 343, etc.

3° Génération de l’homme, (résumé) I, 474-478 ; III, 104.- (J), II, 652.

4° Génération des trois hypostases, III, 13, 443. — (P), I, LXVIII-LXIX.

GÉNERATIVE (PUISSANCE) : résumé, II, 569-570. Elle est identique à la raison séminale. III, 140.

GENÈSE. Rapprochement, III, 5.

GENNADE (George Scholarius). Son ouvrage inédit sur Plotin, I. 416. — Ses emprunts à Plotin, II, 35-36, 43, 522-523.

GENRE. Rapport du Genre avec les Espèces, III, 237-239.

GENRES DE L'ÊTRE INTELLIGIBLE, III, 215-219. Voy. Être, Mouvement, Stabilité, Identité, Différence.

GENRES DE L'ÊTRE SENSIBLE, III, 211-212, 247-304. Voy. Substances, Quantité, Qualité, Mouvement, Relation.

Jugement de Steinhart sur cette théorie de Plotin et sur sa critique des Catégories d’Aristote, III, 589-591.

GERLACH, I, xliv.

GLAUCUS, dieu marin, I, 49.

GNOSTIQUES. Noms et ouvrages des Gnostiques réfutés par Plotin, (P). I. 17, 491-605.

Réfutation des Gnostiques par Plotin : Bythos, I, 258, 520-521 ; Noûs et Logos, I, 520-521, 272, 521-522 ; Éons, I, 272-274. 522 ; Jésus ou Paradigme du monde, etc., I, 523-532 ; Sophia, I, 387, 532 ; Achamoth, I, 287-292, 532 ; Démiurge, I, 288-290, 514-516, 533-534. Anges, I, 535 ; Démons, I. 296, 536 ; Magie, I, 295, 537 ; Jugement des âmes : Métempsycose, I, 271-272, 537-539, Politique des Gnostiques contre les philosophes grecs, I, 273, 539-540. Autres critiques adressées aux Gnostiques, III, 122, 130.

Gnostiques cités par Jamblique, II. 645.

Exposition du système des Gnostiques d’après S. Irénée et extraits (nouvellement traduits) de son Traité contre les hérésies ; Écrits apocryphes des Gnostiques, I. 492. Orgueil des Gnostiques, I, 283 ; leur initiation, I, 283 ; leur rédemption opérée par la Gnose, I, 285 286. Bythos, I, 499 ; Éons, Plerôme et Cérôme, I, 500-505 ; Création du monde, Sophia, Achamoth, Jean, Démiurge, Satan, I, 506-516. Nature et destinée de l’homme ; distinction des hyliques, des psychiques et des pneumatiques, I, 297-299, 516-620. Magie, I, 295.

Manuscrit Gnostique, I, cxxxiv.

GEOFFROY S.-HILAIRE (Isid.), I, 332, 357, 363-364. 371-373.

GŒTHE a traduit un chapitre de Plotin, III, 586.

GRAMMAIRE. Résumé et jugement de Steinhart (Plotinus grammaticus), III, 585.

GRANDEUR. Voy. Étendue.

GRECS (Certains) accusaient Plotin de s’être approprié les opinions de Numénius, (P), I, 17.

Plotin entend par les Grecs Pythagore et Platon, I, 271, 273. – Les Grecs sont injustement attaqués par les Gnostiques, I, 273 ; (résumé), I, 539-540.

GRÉGOIRE (saint) de Nysse. R., II, 82-83, 360, 585-586.

GRIMM, II, xxvii.

GROTIUS, II, 505.

GUIGNIAUT, III, 609-610.

H.

HABITUDE, principe d’unité des êtres inorganiques, I, 101, 221-222 ; III, 138. — Espèce de qualité, I, 237, 242 ; III, 164-166, 286-287, 303. — Puissance qui produit l’acte, I, 229.

1. HARMONIE DE L’ÂME, (J), II, 628-629.

2. HARMONIE DU CORPS (L’âme n’est pas), II, 460-463. — (J), II, 628.

3. HARMONIE DE L’UNIVERS, I, 173, II, 67, 290, 399.

4. HARMONIE MUSICALE, I, 64, 103 ; II, 399.

HARPOCRATION, cité par Énée de Gaza, II, 677 ; par Jamblique, II, 645, 651.

HASARD. II, 19.

HEIGL, I, xliv, 493-494.

HÉLÈNE, II, 82 ; III, 109.

HÉRACLITE, cité par Plotin. I, 145 ; II, 476, 487 ; III, 7, 20, 269. — Rapprochements, II, 6, 9-10, 29, 439.

Héraclite cité par Énée de Gaza, II, 673, 675-676 ; par Jamblique, II, 645, 649 ; par Porphyre, I, lxvi. — Il a été mal interprété par Ritter, II, 613.

HERCULE, libérateur de Prométhée, II, 294. - L’âme d’Hercule est parmi les dieux, tandis que son image (εἴδωλον (eidôlon)) est aux enfers, I, 50 ; II, 320, 329.

HÉLIODORE d’Alexandrie, péripatéticien, cité par Longin, I, 22.

HÉRENNIUS, condisciple de Plotin, (P), I, 4.

HÉRILLUS, cité par Jamblique, II, 654.

HERMÈS ithyphallique, symbole de la forme intelligible, II, 169.

HERMIAS, commentateur de Platon, cite Plotin, II, 300 ; III, 617.

1. HERMINUS le stoïcien, cité par Longin, I, 22.

2. HERMINUS le péripatéticien, cité par Simplicius, III, 630.

HÉRODOTE, R., I, 81 ; II, 169.

HIÉROCLÈS le platonicien, I, xciv-xcv ; II, 520.

HIÉROGLYPHES, expressions synthétiques des idées, III, 117-118.

HIÉRONYME, cité par Jamblique, II, 654.

HIPPASUS, cité par Jamblique, II, 628 ; III, 691.

HIPPOCRATE, cité par Jamblique, II, 651.

HISTOIRE. Preuves qu’elle fournit de l’immortalité de l’âme, II, 475. — (P), II, 624.

HOLSTENIUS, I, xlvii-xlviii, LVI, LXIV, LXXX, LXXXVI.

HOMÈRE, cité par Plotin, I, 16, 50, 111 ; II, 260 ; ΙII, 6, 336, 349, 363, 553 ; par Porphyre, II, 617.

Allusion de Porphyre à l’Odyssée, I, 25-26.

HOMME. Différence entre l’Homme et l’Animal, I, 35-50. — Nous renfermons en nous trois hommes : l’homme intellectuel ou l’intelligence, l’homme rationnel ou l’âme, l’homme sensitif ou la sensibilité, ΙII, 415-425. — L’homme est proprement l’âme raisonnable (en y joignant l’âme irraisonnable qui en procède), I, 44, 47 ; III, 419.

HOMONYMES (Définition des), ΙII, 151.

HONTE, passion de l’âme, II, 131.

HOSTILIANUS HÉSYCHIUS d’Apamée, fils adoptif d’Amélius, (P), I, 5.

HYLIQUES des Gnostiques d’après S. Irénée, I, 297-298, 516-517. HYPOSTASE. Sens de ce mot, III, 570-573. — Résumé de la théorie des trois hypostases divines, III, 573-579.

Fragments de Porphyre sur les trois hypostases conservés par S. Cyrille, III, 623-626.

I.

IBN-GÉBIROL (ou Avicébron) cite Plotin, III, 605-606. — Il a connu par des intermédiaires sa psychologie, II, 597-598, ΙII, 47-48 ; et sa métaphysique, I, cxxvii, II, 28, 141, 161, ΙII, 59-60, 68, 310, 351, 603.

IDÉAL (dans l’Art), III, 108.

IDÉES (Théorie des). Résumé, III, 575-576. — Différence entre Platon et Plotin, I, 321.

IDENTITÉ, genre de l’être intelligible, II, 175 ; III, 218.

IMAGES, IMPRESSIONS, τύποι, τυπώσεις (tupoi, tupôseis), II, 124, 317, III, 71.

1. IMAGINATION INTELLECTUELLE. Résumé, II, 573. — Théories de Jamblique, II, 664-666, et de Plutarque d’Athènes, II, 665.

2. IMAGINATION SENSIBLE, Résumé, II, 572. — Théories de Jamblique, II, 664, et de Porphyre, I, lxvii-lxviii, lxxiii, LXXXVIII.

IMMATÉRIALITÉ de l’âme, II, 435-467. — Voy. encore Impassibilité de l’âme.

IMMORTALITÉ de l’âme, II, 467-476. — Appréciation de la démonstration de Plotin par Olympiodore, III, 635-637.

Voy. en outre Énée de Gaza, Jamblique, Porphyre.

IMPASSIBILITÉ. 1° Imp. de l’âme, II, 122-138 ; résumé, II, 568-569. — Il faut rendre l’âme impassible par la philosophie, II, 135-136. — (P), I, LIX-LX.

Imp. de l'intelligence, II, 128-129.

Imp. de l’être intelligible, II, 139.

Imp. de la matière et de la forme séparées l’une de l’autre, II, 142-170. — (P), lx-lxi.

INCORPOREL : ses diverses espèces, (P), I, LIX, LXXV-LXXVI.

INDÉTERMINATION (de la matière), ἄμορφον, ἀόριστον (amorphon, aoriston), I, 132, 196, etc.

INDIENS. Plotin veut étudier leur sagesse, (P), I, 4.

INDIVIDUALITÉ. Chaque être intelligible possède l’existence formelle, II, 279-280. Les intelligences particulières sont distinctes les unes des autres au sein de l’Intelligence divine, comme les âmes particulières au sein de l’Âme universelle, II, 268-74, 483, 498, 501. — (P), I, lxxx-lxxxi.

INDIVIDUS, τὰ ϰαθ’ ἕϰαστα (ta kath’ hekasta), III, 146. — Il y a des idées des individus, III, 102-106. La forme individuelle, εἶδος ἄτομον (eidos atomon), est contenue dans l’universel comme l’espèce l’est dans le genre, III, 439. — (P), I, lxxiv.

INDIVISIBILITÉ de l’âme, II, 568.

INFINI (ἄπειρον (apeiron)). 1° Infini dans l’Un, Ι, 220-221 ; III, 80, 346. 2° Infini dans l’Intelligence, II, 227 ; III, 347-348, 439. 3° Infini dans l’Âme universelle, III, 332. 4° Infini dans la matière, I, 121, 132, 219-221 ; II, 143 ; III, 366-368. 5° Infini dans les nombres, III, 365, 399-401, 403-404.

INTELLECT. Voy. Intelligence.

INTELLECT EN PUISSANCE, INTELLECT EN ACTE d’Aristote, d’après Jamblique, Plutarque d’Athènes et Simplicius, II, 666-669. — ὁ νοῦς χωριστὸς ϰαὶ θύραθεν ϰαλούμενος (ô nous chôristos kai thurathen kaloumenos), d’après Énée de Gaza, II, 675 ; d’après Jamblique, II, 638 ; d’après Némésius, II, 639.

INTELLECTIONS (vraies, fausses), II, 117.

INTELLECTUELLE (Facultés de la vie), II, 574-576. — (J), II, 638.

1. INTELLIGENCE divine : résumé, III, 575-576.

Théorie de Porphyre sur l’Intellig. div., I, lxxiii-lxxiv ; III, 624-625.

2. INTELLIGENCE HUMAINE. Elle a pour fonction la pensée intuitive. Elle est la puissance qui pense les intelligibles en se pensant elle-même, II, 244-245 ; III, 34-36, 71-74. Elle se connaît par un retour sur elle-même, III, 38-42. Résumé, II, 568, 574-575. — (J), II, 630, 638. — (P), I, LXX-LXXI, LXXXVII-LXXXVIII.

INTUITION INTELLECTUELLE, νοῦ ὅψις (nou hopsis), I, 57 ; II, 128-129, 227, 234 ; III, 82.

IONIENS (Philosophes), II, 437.

IRÉNÉE (saint). Réfutation de la fausse Gnose ou Contre les Hérésies, extraits nouvellement traduits (Voy. t. I, p. 499, note 4), I, 283, 285-286, 295, 297-299, 302, 309, 492, 499-520. — Pour l’analyse de ces extraits, Voy. Gnostiques.

ISIS (chapelle d’) servant à l’évocation d’un démon, (P), I, 12.

J.

JAHN (Alb.), II, 537-539 ; III, 621.

JAMBLIQUE, jugé par Eunape et par Simplicius, II, 612.

Auteurs qui ont cité Jamblique : Damascius, II, 640, III, 623 ; Énée de Gaza, II, 678 ; Némésius, II, 646 ; Olympiodore, III, 602, 637 ; Priscien de Lydie, I, 318, II, 631, 662-668 ; Porphyre, II, 615 ; Proclus, II, 630 ; Michel Psellus, II, 648, 652 ; Simplicius, II, 613, 627, 630-632, 664, 665, 668-669.

Jamblique cite Plotin, II, 630, 636, 642, 644, 645, 647, 648, 650, 652, 655, 657-658, 660.

Rapprochements entre Jamblique et Plotin, II, 16, 384-385, 506, 628-632, 637-640, 651, 659, 661, 663-667, 670, 671 ; III, 601, 614, 615.

Emprunts que Jamblique a faits à Porphyre, II, 613, 615, 635-636, 638 ; III, 631.

Fragments de Jamblique traduits par M.  Eug. Lévèque :

Traité de l’Âme : Avertissement, II, 612-613 ; Questions que soulève l’étude de l’âme, 625 ; Essence de l’âme, 626 ; Facultés de l’âme, 633 ; Nombre des facultés, 635 ; Facultés qui constituent l’essence de l’âme, 636 ; Opérations de l’âme, 639 ; Actes de l’âme, 641 ; Nombre des âmes, 646 ; Descente des âmes, 648 ; Différence qui existe dans la descente des âmes, 650 ; Vie de l’âme dans le corps, 651 ; Mort, 654 ; Purification de l’âme, 657 ; Récompense de l’âme, 660-661.

Commentaire du traité d’Aristote sur l’Âme : Avertissement, II, 613-614 ; Sensation, 662 ; Vue, 662 ; Sens interne, 664 ; Imagination, 664 ; Intelligence en puissance, 666 ; Intelligence en acte, 668-669.

Commentaire des Catégories d’Aristote, II, 637 (Jugement de Simplicius sur cet écrit, IIΙ, 631).

Lettre à Macédonius sur le Destin, II, 670-672.

JARDINS de Jupiter : ils figurent les raisons des choses, II, 120.

1. JEAN (saint), cité par Amélius, I, 530.

2. JEAN PHILOPON cite Plotin, I, 448, 452 ; II, 245, 607 ; III, 137, 283, 410, 481, 583, 587, 614, 615-616.

Rapprochement, III, 37.

Extraits de Jean Philopon traduite par M.  Eug. Lévêque :

Commentaire du traité d’Aristote sur l’Âme : Imagination, II, 665 ; Intelligence en puissance, 666-667 ; Diverses espèces d’intelligence, 667.

3. JEAN de Salisbury cite Plotin, I, 443, 480.

JÉRÔME (saint). R., I, 494.

JÉSUS des Gnostiques, I, 510, 528-532.

JOIE, passion, II, 131, 133.

JOSÈPHE. R., I, cxxi.

JOURDAIN (Ch.), II, 494.

JUGEMENT et châtiment des âmes, II, 488. — (J), II, 658-659.

JUIFS, mentionnés par Numénius, I, xcix.

JUNON (ÉTOILE DE), synonyme d’Étoile de Vénus, II, 119.

JUPITER personnifie : 1° l’Intellect divin, II, 118-119 ; 2° l’Âme universelle, II, 290, 343-344, III, 75, 115, 124, 126, 129-130.

JUSTICE, une des quatre vertus, I, 52, 56, 60, 61. — Beauté de la justice, I, 104.

La Justice divine fait régner l’Ordre dans l’univers : II, 508. — Elle siége à côté de Jupiter, III, 115.

K.

KABBALE. Rapprochements avec Plotin ou avec les Gnostiques, I, 193, 256, 264, 295-296, 360, 361, 374-377, 465-466, 497, 501, 505, 507, 509-510, 527, 535, 538-539 ; III, 582.

ϰάθοδος (kathodos), descente de l’âme, II, 290.

ϰανόνες (kanones), règles logiques, I, 67.

KIRCHHOFF. Son édition de Plotin, I, xv, xxxix ; elle est la seule qui donne le texte complet du livre vii de l’Ennéade IV, II, 603-604.

KIRCHNER. Extrait de sa Philosophie de Plotin, II, 535-537.

ϰοιλιαϰός (koilakos), maladie d’estomac à laquelle Plotin était sujet, (P), I, 2.

ϰοινόν (τὸ) (koinon (to)), la partie commune à l’âme et au corps, I, 38, 47.

ϰοινωνία λόγου (koinônia logou), participation des corps à la raison (ou à la forme), I, 102.

ϰόσμος (kosmos) : divers sens de ce mot, I, 199 ; II, 293.

L.

LACHÉSIS, une des Parques, I, 107.

LACTANCE. Rapprochements, II, 20, 159 ; III, 605.

LAIDEUR (La) a pour cause le défaut de forme, I, 102, III, 104.

Laideur physique, I, 102, 132.

Laideur morale, I, 106.

LA FONTAINE. R., II, 43, 657 (erreur de M.  Walckenaër).

LEIBNITZ cite Plotin et Proclus, III, 616.

Rapprochements avec Plotin : Nature de l’âme, II, 127 ; III, 420. Union de l’âme avec le corps, I, 455-456. Raison, I, 347, Providence, ordre de l’univers et origine du mal, I, 175-176, 294, 432, 472-473 ; II, 4, 21, 39, 45, 55, 60, 66-68, 85, 529 ; III, 57, 105, 113-134. Espace, II, 164. Temps, II, 200, 205.

LÉTHÉ (Le fleuve du) est le corps, II, 319.

LIBERTÉ de l’âme humaine, III, 490-505. Résumé, II, 573-574.

Liberté ou indépendance du Bien, III, 506-535.

λογιϰαὶ ἕξεις (logikai hexeis), vertus rationnelles, I, 68.

LOGIQUE péripatéticienne, I, 67.

λόγος (logos) signifie 1° raison (Voy. ce mot) ; 2° verbe, III, 15, — λόγος ἐν προφορᾷ (logos en prophora) I, 56, 229.

LONGIN. Jugement de Plotin sur Longin, (P), I, 15-16. — Lettre de Longin à Porphyre sur Plotin, I, 19-20. — Début du traité de Longin Sur la Fin : éloges donnés à Plotin et à Porphyre, I, 21-23.

Fragment de Longin sur l’immatérialité de l’âme cité par Eusèbe, II, 623. — Longin cité par Porphyre, I, lxxxix.

LUCIUS, adversaire d’Aristote, cité par Simplicius, III, 630.

LUCRÈCE. R., III, 432.

1. LUMIÈRE (Théorie de la), II, 422. — Théorie de Jamblique et de Priscien de Lydie, II, 663.

2. LUMIÈRE INTELLIGIBLE. Elle a sa source dans l’Un, III, 82.

3. LUMIÈRE DE LUMIÈRE, φώς ἐϰ φωτός, II, 297.

LYCOPOLIS (Syouth), patrie de Plotin, (P), I, 17.

LYDUS, gnostique, (P), I, 17,

LYNCÉE, symbole de la vie céleste, III, 114.

LYSIMAQUE, stoïcien, cité par Longin, I, 22.

M.
MACROBE cite Plotin, I, 387-388, 401-403, 440-443, 451, 462.

Rapprochements avec Plotin, I, 333, 363, 368, 384-387, 405, 447, 454-455, 450-463, 478-480 ; II, 330, 630, 633 ; III, 308-309, 401.

MAGES, cités par Numénius, I, xcix.

MAGIE. Elle est fondée sur l’harmonie de l’univers ; elle agit au moyen de forces qui sont liées les unes aux autres par la sympathie, II, 370, 307-404. Elle ne peut rien sur l’âme du sage, I, 13 ; II, 401-404.

Magie des Gnostiques, I, 305, 537.

MAÏMONIDE cite Plotin, II, 170. — Rapprochements avec Plotin, III, 45, 80-81, 91-92.

MAL. 1° Mal métaphysique : résumé, I, 431-433 ; II, 508-509. 2° Mal physique : résumé, I, 433-434 ; II, 500. 3° Mal moral : résumé, I, 434-438 ; II, 500. — Causes du mal moral selon Jamblique, II, 645. Le mal se connaît par abstraction, I, 117-118, 133.

MANICHÉENS (Doctrine des). Rapprochements, II, 268.

MARC-AURÈLE. Rapprochements, II, 45-46, 63, 65, 70.

MARCELLUS ORONTIUS, auditeur de Plotin, (P), I, 10, 20.

MARCUS, gnostique, I, 520.

MARIAGE SACRÉ (livre de Porphyre sur le), I, 16.

MARTIN (H.), I, xxiii, 373, 430, 470 ; II, 627. Voy. Platon (Timée).

MATHÉMATIQUES : Leur étude prépare à celle de la philosophie, I, 65-66. — Leur rôle dans l’enseignement de Pythagore, d’après Porphyre, III, 627.

MATIÈRE. 1° M. intelligible, I, 196-201, 222, 230.

M. sensible : elle est la substance, le sujet, le réceptacle des formes, I, 105, 201-203. Elle n’a pas de qualité (ἄποιος (apoios)), I, 133, 205-207, 215-216. Elle n’a point de quantité, I, 207, 211-214, II, 160-168. Elle est impassible, II, 142-170. Elle est indéterminée, I, 121, 132, 219-221 ; II, 143. Elle est une disposition à devenir les autres choses, I, 217-219, 232-234. — Elle reçoit une série de formes qui s’ajoutent les unes aux autres III, 119, 135. Voy. Participation. — L’âme connaît la matière par un raisonnement bâtard en recevant l’impression de l’informe, I, 208-210, 215. — (P), I, lviii.

MATTER, I, 544.

MAURY (Α.), cité, III, 610.

1. MAXIME de Tyr, II, 305. Voy. l’Errata, III, 695.

2. MAXIME, disciple de Jamblique, cité par Simplicius, III, 630.

MÉDECIN. Il agit d’après le même principe que le magicien, II, 400.

MÉDIUS le stoïcien, cité par Longin, I, 22.

1. MÉMOIRE INTELLECTUELLE. Résumé, II, 573.

2. MÉMOIRE SENSIBLE. Résumé, II, 572. — (P), I, lxvii-lxviii. μέσον (meson), la partie moyenne de notre être, I, 48 ; le centre de l’univers, I, 162.

MÉSUS, gnostique, (P), I, 17.

MÉTAPHYSIQUE de Plotin. Voy. Absolu, Acte, Âme, Astres, Beau, Bien, Capacité, Cause, Contemplation, Destin, Essence, Étendue, Éternité, Être, Forme, Génération, Genres de l’être, Harmonie, Hypostases, Idées, Individus, Infini, Intelligence, Mal, Matière, Monde, Mouvement, Nature, Nombres, Ordre de l’univers, Pensée, Prescience, Procession, Providence, Puissance, Qualité, Quantité, Raison, Relation, Retour à l’Un, Substance, Sympathie, Temps, Un, Unité, Vie, Vision de Dieu.

MÉTEMPSYCOSE : résumé, I, 385-387, 538, II, 534. — (E), II, 673-687.

MÉTENSOMATOSE, μετενσωμάτωσις (metensômatôsis), II, 282 ; résumé, II, 578-579. — (E), 676-679.

MÉTHODE platonicienne, I, 66.

MIXTE. Selon les Stoïciens, l’âme forme un mixte avec le corps, I, 39. — (J), II, 633.

MIXTION où il y a pénétration totale, I, 242-248. — Application de cette théorie par S. Augustin, II, 685.

MODÉRATUS de Gadès, cité par Jamblique, II, 628-629 ; par Longin, I, 23 ; par Porphyre, III, 628.

MOÏSE, cité par Numénius, I, 542.

MOÏSE CORDUERO. R., III, 582.

1. MONDE INTELLIGIBLE. Il est l’ensemble des idées (essences et puissances intelligibles), III, 113-115, 123, 435-440. Il est l’Animal premier, identique à l’Intelligence et à l’Être, II, 239 ; III, 240, 404-406, 434-435. Il est le modèle du monde sensible, III, 121, 434.

2. MONDE SENSIBLE. Il est l’image du monde intelligible, I, 193 ; III, 244. Il forme un Animal un et sympathique à lui-même, qui contient tous les animaux et où tout est coordonné, I, 173-176 ; II, 384 ; III, 244, 345-346, 384-399, etc. Il ressemble à un drame, II, 61-67 ; à un arbre, II, 86, 231, 846 ; à un chœur de danse, II, 387-393 ; à une cité, II, 396. Il est éternel, I, 149.

MONTAIGNE. R., II, 41.

MORALE. Sa définition, I, 68-69. Voy. Bonheur, Purification. Séparation de l’âme d’avec le corps, Vertu, Vice.

MORT. Elle n’est pas un mal, I, 80, 81, 116.

Causes et conséquences de la mort, (J), II, 654-657.

1. MOUVEMENT DE L’INTELLIGENCE, genre de l’être intelligible, III, 215-216, 231-232.

2. MOUVEMENTS DE L’ÂME HUMAINE, I, 50 ; II, 126, 131-132. (J), 11, 639.

3. MOUVEMENT CORPOREL, genre de l’être sensible, III, 179-191, 290-300. — Le mouvement est le passage de la puissance à l’acte de ce dont elle est la puissance, III, 294 ; il rend une chose autre qu’elle n’était, III, 296. — Diverses espèces de mouvements, III, 300.

4. MOUVEMENT CIRCULAIRE DU CIEL, I, 158-164 ; II, 354.

MUNK, Voy. Ibn-Gébirol, Maïmonide.

MUSES, II, 196.

MUSIQUE. Elle sert à élever l’âme au monde intelligible, I, 64. — Elle possède un pouvoir magique, II, 398.

MUSONIUS, cité par Longin, I, 22.

MYSTÈRES : Enseignement et rites, III, 562-565 (texte et notes).

MYTHES (Rôle des), II, 120. Résumé des mythes qui se trouvent dans Plotin, II, 535-537. Voy. Adrastée, Amour, Apollon, Bacchus, Calypso, Cérès, Circé, Cronos, Démons, Dieux, Divination, Enfers, Épiméthée, Glaucus, Hercule, Hermès, Hiéroglyphes, Jardins, Junon, Jupiter, Léthé, Lyncée, Magie, Muses, Narcisse, Nécessité, Nectar, Oracles, Pandore, Penia, Poros, Prométhée, Psyché, Rhéa, Statues, Ulysse, Uranos, Vénus, Vesta.

N.

NARCISSE (Fable de) expliquée, I, 110 ; II, 110.

1. NATURE, synonyme d’essence. Voy. ce mot.

2. NATURE, puissance génératrice de l’Âme universelle. Elle produit à la fois la matière et les raisons séminales qui, en donnant la forme à la matière et en la façonnant, constituent tous les êtres vivants, I, 188-193 ; II, 211-218, 259, 286-287, 291, 298, 345-350. Voy. Destin.

3. NATURE (ou raison séminale), puissance générative de l’âme, forme engagée dans la matière, II, 212-213, 292, 356 ; III, 140.

NÉCESSITÉ (Fuseau de la), II, 100-101. Voy. Justice divine.

NECTAR qui enivre Poros, II, 120. Il figure la beauté du monde intelligible, III, 126.

NÉMÉSIUS. Rapprochements avec Plotin, II, 32, 34-35, 47, 51, 54-55, 79, 268-269, 307, 309, 455, 457, 586, 639, 646. — Son traité De la Nature de l’homme faussement attribué à S. Grégoire de Nysse, II, 687.

1. NICÉPHORE BLEMMIDAS cite Plotin, I, 452, note 1.

1. NICÉPHORE CHUMNUS (Nathanaël) a composé un traité contre Plotin, II, 585-586.

2. NICÉPHORE GRÉGORAS cite Plotin, III, 133, 481, 549. Son Commentaire du Traité de Synésius sur les rêves, II, 587-588.

NICOLAS de Damas, cité par Porphyre, I, xcii-xciii.

NICOSTRATE, cité par Simplicius, III, 630.

NICOTHÉE, gnostique, (P), I, 17.

NOMBRES (Théorie des) :

Nombres essentiels et intelligibles, III, 379-382, 392-399 ; ils sont infinis, III, 400-401, 404. Résumé, III, 576. — L’Un est le principe de tout nombre, III, 381. — L’Intelligence est un nombre, III, 11, 379. — L’âme humaine est un nombre, II, 125 ; III, 11, 353, 398. — (J), II, 628.

Nombres sensibles, III, 395-396.

Nombres composés d’unités : ils sont engendrés par l’âme qui nombre, III, 370, 379, 396-398. De l’infini dans ces nombres, III, 399-400, 403.

Doctrine des Pythagoriciens sur les nombres, exposée par Porphyre d’après Modératus de Gadès, III, 627-629.

NOMS SUBSTANTIFS (Théorie des). Résumé et jugement de Steinhart, III, 595-596.

NOUS (la personne humaine), I, 43-44, 47, 179 ; II, 357. C’est nous qui nous connaissons nous-mêmes, I, 50.

NUMÉNIUS, cité par Énée de Gaza, II, 677 ; par Jamblique, II, 630, 644-643, 660 ; par Némésius, I, xciv ; par Origène le chrétien, I, xcix ; par Porphyre, Ι, lxxxix-xc, cviii, 5, 15, 17, 19, 23, 542, note 5 ; par Proclus, II, 627.

Traité du Bien : Fragments traduits par M.  E. Lévêque, I, xcviii-civ.

NUTRITIVE (Puissance) : résumé, II, 569-570.

O.

OLYMPIODORE cite Plotin, I, 388, 443 ; II, xxxv-xxxvii, xlii, 607 ; III, 633, 635-637. — Rapprochements, II, 287, 293-294, 618-619 ; III, 31-36, 332, 338, 379, 602, 605, 608-609.

Extraits de son Commentaire sur le Phédon traduits par M.  E. Lévêque : 1° Des Vertus, III, 633-635 ; 2° De l’immortalité de l’âme, III, 635-637.

οἶστρος (oistros) II, 115.

OLYMPIUS, ennemi de Plotin, (P), I, 22.

OPÉRATIONS de l’âme, (J), II, 639-640.

OPINION, δόξα (doxa) (faculté de l’âme) : étymologie de δόξα (doxa), III, 73. L’opinion produit les notions, ἐπιστήμαι (épistêmai), III, 141. Théorie de l’Opinion, II, 572. — (P), I, lxxxviii.

OPTIMISME. Le monde est aussi parfait que possible, II, 26-29. Voy. Mal.

ORACLES (Les) fournissent des preuves historiques de l’Immortalité de l’âme, II, 475. — (P), II, 624.

Oracle sur Plotin, (P), I, 25.

Usage qu’on doit faire des oracles, d’après Simplicius, II, 624.

ORDRE de l’univers, II, 294-295, 405. Il est l’action de l’Âme attachée à la contemplation d’une Sagesse immuable, II, 344-350. Résumé, II, 509.

ORELLI, II, 505.

ORGANES des diverses puissances de l’âme humaine, II, 308-311.

ORGANISATION, définie par Isid. Geoffroy S.-Hilaire, I, 357. Ὀργάνον (Organon) (Organon d’Aristote), I, 67.

1. ORIGÈNE le chrétien. R., I, xcix, 166, 483-484 ; II, 120.

2. ORIGÈNE le païen, condisciple de Plotin, (Ρ), I, 4, 16. Ses ouvrages (P), I, 4, 22.

ORPHÉE, cité par Jamblique, II, 632-633.

ORPHIQUES, cités par Jamblique, II, 646, 656 (note 2).

OÙ, ποῦ (pou), catégorie d’Aristote, III, 177-179, 233.

OUÏE (Théorie de l’), I, 251 ; II, 417-419, 427.

Οὐρανός (Ouranos), I, 143, 444.

οὐσία. Divers sens de ce mot, I, 201, note 2.

OZANAM cité, I, 476-477.

P.

PANDORE (Mythe de), II, 158, 293.

PANTHÉISME. Polémique de Plotin contre le Panthéisme des Stoïciens, II, 515-517.

PARADIGME DU MONDE (des Gnostiques), I, 524-529.

PARMÉNIDE, cité par Plotin, III, 19, 138, 314, 403, 405.

PARQUES, I, 178.

PARTICIPATION de la matière aux idées, II, 149-170 ; III, 350-352.

Théorie de Proclus, II, 543.

PARTIES. 1° Parties de l’âme humaine, II, 567-568. — (J), II, 635-636. — (P), I, lxxxix-xciii.

2° En quel sens les âmes individuelles sont des parties de l’Âme universelle, II, 265-282, 494-502. — (J), II, 646-647. — (P), I, lxxx-lxxxi.

3° Les êtres qui ne participent qu’à la Puissance naturelle et végétative de l’Âme universelle sont des parties de l’univers, II, 384.

PARTIES DU DISCOURS (Théorie des) : résumé et jugement de Steinhart, III, 594-595.

PASCAL. R., II, 41.

PASSION (La), πάθος (pathos), est opposée à l’action, comme pâtir l’est à agir, III, 184-187. Pâtir, c’est éprouver, sans y contribuer en rien, une modification qui ne concoure pas à l’essence, III, 189. Différence de l’Action et de la Passion, d’Agir et de Pâtir, III, 184-190.

Passions de l’âme, I, 35-36 ; II, 126-135, 357. Leur rapport avec l’Opinion et avec l’Imagination, II, 135-136.

Passions du corps, II, 131-135 ; IΙI, 154. — (P), I, lxi-lxii.

PASSIVITÉ de l’âme (Sensibilité externe) : ἕξις παθητιϰή (hexis pathêtikê), Ι, 178 ; τὸ παθητιϰόν (to pathêtikon), 124, 132. Résumé, II, 570.

PAUL (saint). R., III, 557-558.

PAULIN, auditeur de Plotin, (P), 1, 9.

PENIA (la Pauvreté) personnifie l’Indigence et la Matière, I, 137, 220 ; II, 114-122, 158.

PENSÉE INTUITIVE, νοήσις (noêsis), conception de l’intelligible :

1° Pensée dans l’intelligence humaine : résumé, II, 574. Voy. Intelligence humaine ;

2° Pensée dans l’Intelligence divine : résumé, ΙII, 575-576.

Identité de la Pensée et de la Vie : leurs divers degrés, II, 224 ; III, 100. — (P), I, lxii.

PÈRE, nom donné : 1° à l’Un, première hypostase, I, 111 ; III, 15, 75 ; 2° à l’Intellect divin, III, 129-130.

περίλαμψις (perilampsis), rayonnement de l’Un, III, 57.

PÉRIODES de la vie de l’univers, II, 290 ; III, 103, 106.

PÉRIPATÉTICIENS. Critique de leur psychologie, (J), II, 626, 633, 634, 635, 638, 643, 647, 654-655, 664. — (P), II, 622.

PERSES. Plotin se rend chez eux pour étudier leur philosophie, (P), I, 4. Rapprochement entre la philosophie des Perses et celle de Plotin, I, 123-124.

PERSONNALITÉ. Voy. Nous.

PHALARIS (Taureau de), I, 87.

PHÉBION jugé par Longin, I, 22.

PHÉRÉCYDE, cité par Plotin, III, 22.

φησί (phêsi), dit Platon, I, 40.

PHIDIAS, nommé par Plotin, III, 108.

PHILOCOMUS, gnostique, (P), I, 17.

PHILOLAUS. R., II, 628.

PHILON. Rapprochements avec Plotin : I, 129, 256, 259, 262, 279, 505-506, 531 ; II, 142, 231-232, 284, 511, 624 ; III, 345.

Philon jugé par Numénius, I, xcix.

PHILOSOPHE. (Le) s’élève facilement au monde intelligible, I, 65.

PHILOSOPHIE. Sa définition, I, 67. Ses parties : Dialectique, I, 66 ; Physique, I, 68 ; Morale, I, 68-69.

PHYSICIENS, cités par Jamblique, II, 632, 641.

PHYSIQUE : Sa définition, I, 68. — Voy. Métaphysique,

PIERRES (Vertus des), II, 302. — Les pierres sont produites par la puissance végétative de la Terre, III, 431-432.

PINDARE. R., III, 565-566.

PLANTES (Vertus des), II, 392.

PLATON. Fête de Platon célébrée par Plotin, (P), I, 3, 16.

Plotin défend Platon contre les Gnostiques, I, 17, 274-275, 305. Résumé, I, 539-542.

Plotin dit qu’il n’aspire qu’à être l’interprète de Platon et des premiers sages, III, 19. Il commente dans les Ennéades un certain nombre de passages tirés des écrits du maître, et il donne ainsi l’exemple à Porphyre, Jamblique, Proclus, etc.

Plotin essaie de concilier Platon avec Aristote. Voy. ci-dessus Aristote.

Comparaison de la doctrine de Plotin avec celle de Platon :

Dialectique, I, 404-410 ;

Morale, I, 381-383 ; 397-398, 439-40 ;

Psychologie, II, 581-582 ;

Métaphysique ; Voy. les citations et les rapprochements qui suivent.

Platon cité par Plotin :

Alcibiade, I, 122 ; II, 402 ; III ; 22, 420 ;

Banquet, I, 137, 181 ; II, 105, 111-112, 114, 158 ; III, 278 ;

Cratyle, I, 145 ; II, 478 ;

Lettre 2, III, 18, 490 ;

Phèdre, I, 63, 136, 183 ; II, 89, 118, 219, 264, 277, 479-480, 486 ; III, 23, 115, 124-127, 439 ;

Parménide, III, 370 ;

Phédon, I, 40, 55, 107, 305 ; II, 98-99, 127, 478, 486, 504 ;

Philèbe, II, 118, 263-204 ; III, 243, 247, 457, 465-466 ;

Politique, I, 66 ;

République, I, 49, 136, 145, 178-179, 186-187, 271 ; II, 93, 96, 100, 278-279, 396, 479, 486 ; III, 440, 477, 484, 489, 503, 531, 543 ;

Sophiste, I, 67 ;

Théétète, I, 51, 55, 90, 125-126 ;

Timée, I, 44, 128, 149-151, 154, 163, 178-179, 209, 272, 306 ; II, 79, 95, 97, 149-156, 173, 181, 185, 201-202, 205-206, 238, 242, 260 (sens d’un passage du Timée), 264, 301, 307, 351, 362, 369, 479, 481, 486-487 ; III, 23, 121, 143, 242, 398, 403, 429, 430, 433, 525 (explication du sens d’un passage du Timée), 531.

Rapprochements entre Platon et Plotin :

Banquet, I, 135, 222, 422-424 ; II, 62, 103, 115, 474 ; III, 354, 451, 460, 467-468, 470, 473, 477-478 ;

Cratyle, II, 106, 108, 170 ; III, 17, 78, 139, 529 ;

Épinomis, I, 153 ;

Gorgias, III, 145, 461 ;

Lettre 2, I, 119, 292 ;

Lettre 7, I, 487 ;

Lois, I, 118, 294, 430-431 ; II, 379-380 ; III, 16, 527 ;

Phèdre, I, 59, 66, 99, 109, 112, 177, 310, 406, 408 ; II, 466 ; III, 112-113, 343-344, 452, 470, 554 ;

Phédon, I, 204, 381-383, 439-440 ; II, 91-92, 460, 467, 472, 510 ; III, 103, 134 ;

Philèbe, I, 118, 127, 213, 498 ; II, 19, 59, 315-316, 343, 357, 510-511 ; III, 134, 367-368 ;

Politique, I, 429 ;

République, I, 112, 328, 397-398, 404, 406-408 ; II, 91, 290-291 ; III, 82, 145, 442, 460, 464-465, 482, 487-488, 507 ;

Sophiste, I, 67, 408-409 ; II, 140 ;

Théétète, I, 334, 339, 427-428 ; II, 164, 269-270 ;

Timée, I, 112, 158, 163, 200, 206, 209, 231, 301, 306, 325, 360-361, 367-368, 428-429, 433, 465, 469-470 ; II, 85, 01-92, 172, 176, 276, 310-311, 333, 375-376, 410-411, 474-475, 511 ; III, 367, 360 370, 402, 407, 414, 431, 462, 532.

Platon, cité par Énée de Gaza, II, 673, 677-686 ; par Jamblique, II, 628-632, 636-640, 642, 644-445, 647, 648, 650-652, 655, 657-661, 663-667, 670, 671 ; par Numénius, I, xcviii-xcix, ciii-civ ; par Olympiodore, III, 602, 634-635 ; par Porphyre, I, lvii, xc-xci, II, 616-621, III, 629.

Vie de Platon par Porphyre : fragments traduits par M.  E. Lévêque, III, 623-626.

PLATONICIENS, cités par Énée de Gaza, II, 676, 682, 686 ; par Jamblique, II, 627, 620, 638, 643-644, 647, 640-651, 656-662.

Sens du nom de Platoniciens dans S. Augustin. Voy. ce nom.

PLATONOPOLIS, ville que voulait fonder Plotin, (P), I, 14.

PLÉRÔME (des Gnostiques), I, 283, 501-507.

PLOTIN. Sa vie écrite par Porphyre, I, 1-4, 315, III, 613 ; par Eunape, I, 316, III, 6J3. Notice erronée de Suidas, I, 317. — Tableau chronologique de la vie de Plotin, I, 318.

Enseignement de Plotin, I, 5, 14, 16, 10. — Ses disciples, I, 9-12. — Sa réputation, I, 12-14. — Sa sagesse célébrée dans un oracle d’Apollon, I, 25-28.

Manière de composer de Plotin, I, 10-11. — Jugement de Porphyre sur son style, I, 9, 14-15 ; Jugement de Longin, I, 10-24. Ordre chronologique dans lequel ont été écrits les livres de Plotin, I, 5-8.

Édition de Porphyre : division en six Ennéades, I, 28-32 ; Arguments, Sommaires, et corrections, I, 32. — Édition d’Eustochios, I, xxxvi ; II, 379, 604. — Commentaires de Proclus, II, 32-33 ; III, 614.

Éditions typographiques, complètes ou partielles, I, xxxvii-xxxix. — Texte du livre vii de l’Ennéade IV, II, 602-606. — Traductions, I, xl-xli. — Travaux relatifs à Plotin, I, xlii-xliv, III, 694.

Plotin fut accusé par des Grecs de s’être approprié les opinions de Numénius, I, 17-18. Il fut défendu par Amélius, I, 18. — Il portait dans ses recherches l’esprit d’Ammonius Saccas (Voy. ce nom), I, 15, 497-698. Il a mélangé dans ses écrits les doctrines de Platon, d’Aristote et des Stoïciens, I, 15 (Voy. ces noms). Plotin dit qu’il n’aspire qu’à être l’interprète des premiers sages, III, 10 (Voy. Antique). — Plotin essaya de connaître la sagesse des Indiens et celle des Perses, I, 4. Il loue celle des Égyptiens, III, 117-118. — Idées qu’il a empruntées à l’Orient, I, 123 (note 3), 497-498. — Idées chrétiennes, II, 288, 297. — Plotin préférait la philosophie à la théologie, d’après Porphyre, I, 13, et d’après Olympiodore, III, 610. — Importance de l’étude de ses écrits, I, vii, viii, xxii, xxxi-xxxiv. Voy. S. Augustin.

Résumés de la doctrine de Plotin :

Dialectique, I, 66. — Rapprochements avec Platon, Aristote et Proclus, I, 404-411 ;

Morale, I, 68-69. (Voy. Bonheur, Purification, Séparation de l’âme d’avec le corps, Vertus, Vices). — Rapprochements avec Platon, Aristote et les Stoïciens, I, 381-383, 397-401, 412-420.

Psychologie, II, 566-580. — Rapprochements entre Plotin et les auteurs qui l’ont précédé ou suivi, II, 581-597.

Métaphysique : Théorie des trois hypostases divines, III, 570-579 ; — Providence et origine du mal, II, 507-509. — Rapprochements entre Plotin et les auteurs qui l’ont précédé ou suivi, II, 510-529. — Voy. en outre l’article Métaphysique.

Mystères, III, 563-560. — Mythes, II, 535-537.

Auteurs cités par Plotin : Voy. Anaxagore, Aristote, Empédocle, Épicure, Gnostiques, Héraclite, Homère, Parménide, Phérécyde, Platon, Pythagore, Stoïciens.

Auteurs qui ont cité ou Commenté Plotin : Voy. Ammien Marcellin, S. Augustin, S. Cyrille, Damascius, David l’Arménien, Dexippe, Énée de Gaza, Eunape, Eusèbe, Ficin, Gémiste Ρléthon, Gennade, Hermias, Ibn-Gébirol, Jamblique, Jean Philopon, Jean de Salisbury, Leibnitz, Longin, Macrobe, Maïmonide, Nicéphore Blemmidas, Nicéphore Chumnus, Nicéphore Grégoras, Olympiodore, Porphyre, Priscien de Lydie, Proclus, Michel Psellus, Servius, Simplicius, Synésius, Syrianus, Théodore Métochita, Théodoret, Thomassin, Victorinus.

Auteurs qui, tout en n’ayant pas nommé Plotin, donnent lieu à des rapprochements : Voy. S. Basile, Boëce, Bossuet, Chalcidius, Clément d’Alexandrie, Denys l’Aréopagite, Descartes, Fénelon, S. Grégoire de Nysse, Némésius, Thémistius, S. Thomas.

1. PLUTARQUE d’Athènes, cité par Priscien, II, 668.

Fragment sur l’Intelligence, II, 667.

2. PLUTARQUE de Chéronée, cité par Jamblique, II, 644, 660.

Rapprochements, II, 283, 317.

μνεῦμα (pneuma), I, 163 ; II, 271. Voy. Esprit.

PNEUMATIQUES (des Gnostiques), I, 269, 271, 282, 283, 285-287, 291, 297-299, 302, 308, 311, 517-520.

POLÉMON, auditeur de Plotin, (P), I, 11, 13.

POPE. R., II, 74.

POROS (l’Abondance), Raison des choses, II, 118-121, 158.

PORPHYRE. Sa Vie, I, 3, 5-8, 10, 12-14. Ses divers noms, I, 17-18. Ses ouvrages, I, 16, 17, 19 ; sa Vie de Plotin, I, 1-32, 316 ; son édition des Ennéades, I, 28-32. — Jugement de Longin sur Porphyre, I, 24.

Auteurs qui ont cité Porphyre : S. Augustin, I, 322-323, 434, II, 608, III, 624 ; S. Cyrille, III, 623-626 ; Damascius, III, 623 ; Énée de Gaza, II, 678, 679, 684, 086 ; Jamblique, II, 629-630, 642, 644-645, 648, 631, 656, 660, 661 (emprunts que Jamblique a faits à Porphyre, II, 613, 615, 635-636, 638, III, 631) ; Olympiodore, III, 602 ; Priscien de Lydie, I, 388 ; Proclus, II, 629 ; Simplicius, III, 630-632 ; Thémistius, II, 622 ; Zacharie le Scholastique, II, 685.

Fragments de Porphyre traduits par M.  E. Lévêque :

Traité des Facultés de l’Âme : But du traité, I, lxxxvii ; Différence de la Sensibilité et de l’Intelligence, lxxxvii ; De l’Assentiment, lxxxix ; Parties de l’âme, lxxxix ; Différence des Parties et des Facultés de l’âme, xci-xciii ; De la Mémoire, lxvii, note 2 ;

Traité de l’Âme : L’âme est immortelle parce qu’elle ressemble à Dieu, II, 619 ; Réfutation des Péripatéticiens, 622 ; Réfutation des Stoïciens, 622 ; Appréciation des diverses preuves de l’immortalité de l’âme, 624 ;

Traité sur le précepte : Connais-toi toi-même, II, 615-616 ;

Mélanges : Union de l’âme et du corps, I, lxxvii, note 1 ;

Philosophie des oracles : Invocation à Dieu, III, 626-627 ;

Principes de ta théorie des intelligibles, distribués dans l’ordre des Ennéades : Avertissement, I, xlvi-l ; Des Vertus, li ; De la Séparation de l’âme d’avec le corps, lvii ; De la conception de la Matière, lviii ; De l’Incorporel, lix ; De l’Impassibilité de l’âme, lix ; De l’Impassibilité de la matière, lx (Voy. t. II, p. 144, note 1) ; De la Passivité du corps, lxi ; De la Pensée, lxii ; De la Vie, lxii ; De l’Un, lxii ; De l’Essence de l’âme, lxiii ; De l’Union de l’âme et du corps, lxiv ; De la Descente de l’âme dans le corps et de l’Esprit, lxv ; De la Sensation, lxvi ; De la Mémoire, lxvii ; De la Procession des êtres, lxviii ; Du Retour des êtres au Premier, lxix ; L’Intelligence se connaît par un retour sur elle-même, lxx ; L’acte de l’Intelligence est éternel et indivisible, lxxi ; L’Intelligence est multiple, lxxiii ; De l’Incorporel, lxxv ; Rapport de l’incorporel et du corporel, lxxvi ; L’incorporel n’a pas d’étendue, lxxviii ; Rapport des âmes particulières avec l’Âme universelle, lxxx ; L’être incorporel est tout entier en tout, lxxxi ; Différence de l’être intelligible et de l’être sensible, lxxxii ; Dieu est partout et nulle part, lxxxiii ; L’âme humaine est unie par son essence à l’Être universel, lxxxiv-lxxxvi ;

Traité de la Sensation, I, lxvii, notes ;

Vie de Platon, Théorie des trois hypostases, III, 623-627.

Vie de Pythagore (extrait) : Doctrine de Pythagore sur les nombres, III, 627-629.

Rapprochements :

De l’Abstinence des viandes, I, lv, 140 ; III, 624 ;

De l’Antre des Nymphes, I, lxvi, cviii, 542 ; II, 479, 633, 669, 674 ;

Introduction aux Catégories, III, 150, 153 ;

Lettre à Marcella, I, lii ; II, 96 ;

Du Retour de l’âme à Dieu, I, lxx ;

Du Styx, I, lxvii.

POSIDONIUS. R., I, 358.

PRESCIENCE de l’Âme universelle, II, 347-348. — Prescience et Prévision de l’Intelligence divine, III, 607-410.

PRÉSENCE (Divers modes de), III, 327-330.

PRIAM (Infortunes de), I, 77.

PRIÈRES (Vertu des), II, 398, 600.

PRINCIPES, ἀρχαί (archai). Ce sont les trois hypostases divines, I, 322 ; III, 570.

PRISCIEN de Lydie cite Plotin, I, 388-390.

Solutiones eorum de quitus dubitavit Chosroes Persarum rex (extraits et rapprochements), I, 388-390 ;

Commentaire du traité de Théophraste sur l’Imagination et l’Intelligence (extraits traduits par M.  E. Lévêque) : Essence de l’âme, II, 631 ; Imagination, 664-666 ; Intelligence, 667-668 ;

Commentaire du traité de Théophraste sur la Sensation (extraits traduits par M.  E. Lévêque) : Sensation, II, 662 ; Vue et Lumière, 663.

PRIVATION, στέρησις (sterêsis), I, 133, 216-218.

PROBUS, cité par Porphyre, I, 13.

PROCESSION, πρόοδος (proodos), II, 158, 163, 217, 284-285, 474, 489-491 ; III, 27-29, 59. — (P), I, lxviii.

PROCLINUS, platonicien nommé par Longin, I, 21.

PROCLUS cite Plotin, I, 220, 425, 447 ; II, 92-93, 98, 120, 135, 181, 312, 320, 373, 490, 550, 556, 598-599 ; III, 9, 36, 61, 378, 380.

Commentaires sur Plotin, II, 32-33 ; III, 614.

Rapprochements, I, 16, 409-410, 438, 452, 454, 484-485 ; II, 18, 21, 66, 90, 543, 613, 615 ; III, 6, 12, 124-125.

Extraits traduits :

Commentaire de l’Alcibiade, II, 92-93, 98 (sens du mot : l’Égyptien), 468-470, 542, 617, 640-641 (enthousiasme) ;

Commentaire du Timée, II, 490, 554, 598-599, 616, 627, 629-630, 642 ; III, 9 ;

Commentaire d’Euclide, III, 399-401 (sur l’infini).

Proclus cité par David l’Arménien, III, 614 ; par Énée de Gaza, II, 679 ; par Olympiodore, III, 636 ; par Priscien de Lydie, I, 388.

PROMÉTHÉE (Explication du mythe de), II, 293-294.

πρόνοια (pronoia) (Providence) : étymologie, II, 21.

PRONOMS. Résumé de la théorie de Plotin, et jugement de Steinhart, III, 597.

PROVIDENCE. Elle consiste en ce que l’Intelligence divine est l’archétype du monde et la cause de sa vie continue, II, 21-28. — Résumé de la doctrine de Plotin sur la Providence et le Destin, II, 507-510.

PRUDENCE, une des quatre vertus, I, 52, 55, 60, 61.

PSELLUS (Michel) a compilé les écrits des Néoplatoniciens dans son traité De omnifaria doctrina ; erreur d’Heeren à ce sujet, II, 612-613.

Psellus cite Plotin, II, xxiii ; III, 603-606. Il lui fait des emprunts sans le nommer, II, xxiii.

Rapprochements, II, 534, 640, 652.

PSYCHÉ (Fable de l’Amour et de), III, 559.

PSYCHIQUES (des Gnostiques), I, 269, 291, 297-299, 517, 519.

PSYCHOLOGIE. Voy. Âme.

1. PTOLÉMÉE le gnostique, I, 501, 503.

2. PTOLÉMÉE le péripatéticien, jugé par Longin, I, 22.

3. PTOLÉMÉE le platonicien, cité par Jamblique, II, 649.

PUISSANCE. Être en puissance, τὸ δυνάμει εἶναι (to dunamei einai), opposé à être en acte, I, 223-225. La chose qui est en puissance est le sujet des modifications passives et des formes, I, 225.

La matière est toutes choses en puissance, I, 231-234.

L’âme peut être à la fois en puissance et en acte, I, 226-228. — Elle est une puissance active, I, 230.

L’Un est la puissance de toutes choses, en ce sens qu’il les produit, III, 59, 65, 68, 87.

Les puissances inférieures procèdent des puissances supérieures, III, 323-325.

PURIFICATION de l’âme, I, 55-59 ; II, 136-137, 470, etc. : résumé, II, 578-579. — (J), II, 657-660.

PYRRHONIENS, cités par Porphyre, II, 624.

PYTHAGORE, cité par Plotin, II, 478 ; III, 22.

Pythagore cité par Énée de Gaza, II, 676 ; par Jamblique, II, 634, 644 ; par Numénius, I, xcviii ; par Porphyre, II, 620, 649.

Exposition de sa méthode d’enseignement, par Porphyre, III, 627.

PYTHAGORICIENS, nommés par Plotin, III, 81, 371, 379, 399 ; cités par Jamblique, II, 628-629, 635, 638, 658-659. — Leur doctrine sur les nombres exposée par Porphyre, III, 628-629.

Q.

QUALITÉ (ποιότης, τοιόνδε, οἶον, ὁποῖον (poiotês, toionde, oion, hopoion), III, 277), genre de l’être sensible, III, 167-176, 230, 277-290. — Deux espèces de qualités : Qualités de l’âme (passions incorporelles), III, 278-280 ; Qualités du corps (passions proprement dites), distinguées les unes des autres par les sens, III, 280. — Les habitudes seules sont des qualités, III, 286-287.

Dans le monde intelligible, les qualités sont les différences essentielles de l’être, I, 236. Dans le monde sensible, il faut distinguer les qualités essentielles, I, 236-242, et les simples qualités, qui sont des dispositions accidentelles ou originelles, I, 236-242.

QUAND, πότε (pote), catégorie d’Aristote, III, 176-177, 232.

QUANTITÉ, genre de l’être sensible, III, 155-160, 228-230, 267-277. — Deux espèces de Quantité ; Étendue ou Quantité continue, III, 156, 272-275 ; Nombre ou Quantité discrète, III, 157, 271. — La Quantité a pour double origine la progression du point et la progression de l’unité, III, 270. Voy. Étendue et Nombres.

QUIDDITÉ, τὸ τί (to ti), Ι, 238, III, 154, 277, 243 ; ὅτι (hoti), III, 410, 412 ; τὸ τί ἦν εἶναι (to ti ên einai), III, 412, 415, 414. — Voy. encore Essence et Raison.

QUINTE-ESSENCE d’Aristote, I, 145.

R.

RAISON, λόγος (logos). Divers sens de ce mot, I, 240, note 1.

1. RAISON, forme substantielle (exprimée par la définition), II, 159-162, 212, 213, 224. Elle est à la fois essence et puissance, III, 323.

Les raisons résident dans l’âme, comme les idées dans l’intelligence, I, 214 ; II, 354.

L’âme humaine est une raison, et ses facultés sont des raisons, III, 418. Ses conceptions rationnelles sont des raisons, II, 351 (note 3), 354. - (J), III, 637.

L’âme humaine est la raison de toutes choses en ce sens qu’elle en contient les raisons, II, 429.

2. RAISON, puissance intellectuelle propre à l’Âme universelle. L’Âme administre l’univers par la Raison, I, 182, 184 ; II, 60-75, 213, 387, 390. Elle ressemble au législateur d’une cité, II, 396 ; et à un médecin, II, 407.

3. RAISON DISCURSIVE, ἡ διανοία, τὸ διανοητιϰόν, τὸ λογιζόμενον (hê dianoia, to dianoêtikon, to logizomenon), faculté propre à l’âme humaine dont elle constitue l’essence, I, 44. Ses fonctions, I, 44, 46 ; III, 32-38.

Elle est : 1o la Raison pure, λόγος (logos), en tant qu’elle reçoit les impressions et les conceptions de l’intelligence, I, 44 ; II, 299, 325 ; III, 32-37, 42 ; 2o le Raisonnement, λογισμός (logismos) en tant qu’elle s’exerce sur les images fournies par la sensation, I, 38, 44, 118 ; II, 299 ; III, 32-33.

Résumé général de la Raison discursive, II, 572-573. — (P), I, lxxxviii.

4. RAISON SÉMINALE (puissance, générative ou nature), λόγος σπερματιϰὸς ἣ γεννητιϰός (logos spermatikos hê gennêtikos). C’est la forme substantielle qui, engagée dans la matière, lui donne ses qualités et organise le corps, I, 101, 130, 182, 184, 186, 188-190 ; II, 24, 286, 346 352, 378 ; III, 44, 47, 105, 140, 418. Elle ne contient pas les défauts, III, 143.

5. RAISON DU MONDE (des Gnostiques), I, 524.

RAISONNABLE (ÂME) : résumé, II, 568.

RATIONNELLE (Facultés de la Vie) ; II, 572-574.

RAVAISSON, cité, I, xxii, xlvii, cxxx, 241-245, 521, 333, 334, 356-358, 411, 481-483 ; II, 513-515, 551-552 ; III, xi.

RÉCOMPENSE des âmes, (J), II, 660-661.

RÉFLEXION (conscience), I, 84-85, 352-355.

RELATION, πρός τι (pros ti), genre de l’être sensible. C’est une manière d’être d’une chose à l’égard d’une autre, III, 160-167, 272. Diverses espèces de relatifs, III, 303.

REPOS de l’être intelligible. Voy. Stabilité.

REPOS de l’être sensible. C’est la négation du mouvement, III, 301-302.

1. RETOUR de toutes choses à l’Un, II, 233. — (P), I, lxix-lxx.

2. RETOUR de l’âme à Dieu : résumé, II, 570-581.

(J), II, 660-661.

RHÉA (Cybèle) personnifie la matière, II, 169 ; III, 17.

ROGATIANUS, auditeur de Plotin, (Ρ), I, 10

ROUSSEAU (J.-J.). R., II, 32.

S.

SABINILLUS, auditeur de Plotin, (P), I, 10.

1. SAGESSE ANTIQUE. Voy. Antique.

2. SAGESSE DIVINE, identique » l’Intelligence divine, III, 116.

SAISSET, I, 351 ; II, 548. Voy. S. Augustin (Cité de Dieu).

1. SALLUSTE l’historien. R., II, 41-42, 44.

2. SALLUSTE le philosophe. R., I, 452 ; III, 455.

SALONINE, impératrice, protège Plotin, (P), 1, 13.

SATURNE. Voy. Cronos.

SCIENCE (absolue), compagne de l’Intelligence, III, 115.

SEMBLABLE. Comment l’âme devient semblable à Dieu, I, 51-54, 61-62.

SÉNÈQUE. R., I, 82, 156, 175, 177, 182, 188-190, 372 ; II, 35, 70, 642.

SENS INTIME, ἡ αἰσθητιϰὴ ἡ ἔνδον δύναμις (hê aisthêtikê hê endon dunamis), II, 492.

SENSATION (Puissance sensitive on Sensibilité interne) : résumé, II, 571-572. — (J), II, 662, 664. — (P), I, lxvi, lxxiii, lxxxviii, LXXXIX.

SENSIBILITÉ EXTERNE. Voy. Passivité.

SENSITIVE (Facultés de la Vie), II, 571-572.

SÉPARATION de l’âme d’avec le Corps, ὁ χωρισμὸς ὁ ἀπὸ τοῦ σώματος (ho chôrismos ho apo tou sômatos), I, 58, 88, 137, 187 ; II, 136 ; III, 23.

SÉRAPION, auditeur de Plotin, (P), I, 10.

SERPENT (Le) fascine les autres animaux, II, 398.

SERVIUS cite Plotin, II, 532.

SÉVÉRUS, cité par Porphyre, I, 15 ; par Jamblique et par Proclus, II, 627.

SIGNES. Toutes choses sont indiquées par des signes, I, 174-178 ; II, 12-14, 290, 395-396.

SIMON (Jules), II, vi. Ses Études sur la Théodicée de Platon et d’Aristote citées, II, 512-513.

SIMPLICIUS cite Plotin, I, 146, 196, 403, 447-448, 452 ; II, 198, 204-205, 209, 632 ; III, 152-153, 156, 158, 160, 167, 169, 171-173, 176-178, 180-186, 188-190, 192-194, 203, 268, 269, 280, 289-291, 301, 302, 631.

Rapprochements, II, 520, 550, 628.

Extraits de Simplicius traduits par M.  Eug. Lévêque :

Commentaire du traité d’Aristote sur l’Âme, II, 613 : Essence et Facultés de l’âme, 631-632 ; Sensation, 662, 664 ; Imagination, 665 ; Intelligence, 668-669 ;

Commentaire des Catégories d’Aristote, II, 611 : Des commentaires composés sur les Catégories d’Aristote, III, 630-632 ;

Commentaire du Manuel d’Épictète : Des oracles, II, 624 ; Nature animale et facultés irrationnelles de l’homme, II, 637 ; L’âme est attachée à Dieu comme à sa racine, II, xx.

SITUATION, catégorie d’Aristote, III, 193, 233.

SOCRATE, (P), I, 3.

SOLEIL (Le) possède une âme naturelle qui est puissante, II, 391.

1. SOPHIA INFÉRIEURE ou ACHAMOTH des Gnostiques, I, 511-514, 532-533.

2. SOPHIA SUPÉRIEURE des Gnostiques, I, 507-510, 532.

SOPHOCLE. R., III, 115.

SPEUSIPPE cité par Jamblique, II, 627 (interprétations diverses de MM.  Ravaisson et H. Martin) ; mentionné par Porphyre, III, 629.

SPHÉRICITÉ de la terre, III, 120.

STABILITÉ, στάσις (stasis), genre de l’être intelligible, III, 216-218.

STARKE, II, xxii.

STATUES. Elles servent à rendre les dieux présents, II, 287.

Les intelligibles comparés à des statues, III, 72, 115, 117, 475.

STEINHART, I, xliv. Ses Meletemata plotiniana cités : 1° Plotinus Platonis interpres, I, cxii-cxiii, II, 211, 237, 239-240, 531, 539-540, III, 489 ;

Plotinus Aristotelis et interpres et adversarius, I, cx, cxxvi-cxxvii, cxxviii-cxxix ; II, 223 ; III, 491, 493, 499, 589-591 ;

Plotinus grammaticus, III, 591.

STOBÉE. Extraits traduits par M.  Eug. Lévêque, I, li-lvii, lix, lx, lxiii, lxv, lxvi, lxvii-lxviii, xlix, lxxiii, lxxx, lxxxii, lxxxvii-xciii ; II, 615-618, 625-661, 670-672. Voy. Jamblique et Porphyre. — Erreur commise par Heeren, éditeur de Stobée, II, 612-613.

STOÏCIENS. Comparaison de leur Psychologie avec celle de Plotin, I, 371 ; II, 583-584.

Rapprochements entre les Stoïciens et Plotin : Bonheur, I, 418 ; Monde, I, 173, II, 396 ; Providence, II, 513-515 ; Raison séminale, I, 189-190, II, 513 (note 6).

Plotin réfute le matérialisme des Stoïciens, I, 39, II, 258-259, 317-318, 441, 445-459 ; leur doctrine sur la sensation et les passions, II, 123-131, 411, 425-428 ; leur fatalisme et leur panthéisme, II, 515-519 ; leur théorie sur les genres de l’être, III, 195-204 (Substance, 194-201 ; Qualité, 201-203 ; Modes, 203 ; Relations, 204) ; leur doctrine sur la mixtion, I, 245-247, 488 ; leur doctrine sur le Beau, I, 99, et sur le Temps, II, 187.

Réfutation du matérialisme des Stoïciens par Boëce, II, 600-601 ; par Longin, II, 623 ; par Porphyre, I, lxxv-lxxvi, II, 623-624.

Stoïciens cités par Énée de Gaza, II, 684 ; par Jamblique, II, 633-635, 638, 641, 643, 645 ; par Porphyre, I, lxxxix.

STRABON. R., III, 608

STRATON. R., II, 191.

SUBSTANCE SENSIBLE (essence sensible ou génération), genre de l’Être sensible, III, 150-155, 248-263. — La Substance est ce qui n’est pas dans un sujet, III, 255-256. — Matière et Forme, Composé, III, 253, 260. — La Substance sensible est la réunion de la matière et des qualités, I, 215, 248 ; III, 263. Ses espèces sont les diverses classes de corps, III, 263-267. Voy. Sujet.

SUICIDE (Opinion de Plotin sur le), I, 13, 82, 91, 140-141 ; II, xlii.

— Résumé de Porphyre, I, lvii.

SUIDAS. Erreurs contenues dans sa notice sur Plotin, I, 317.

SUJET, ὑποϰείμενον (hupokeimenon), I, 195 ; III, 254. Voy. Substance.

SYMPATHIE. Elle unit les organes du corps, II, 257-259. Elle lie toutes les choses contenues dans l’univers, I, 173 ; III, 385-401. Elle y règne sous le nom d’Amitié, avec la Haine, son contraire, II, 397.

σύμπνοῖα μία (sumpnoia mia), tout dans l’univers conspire & un but unique, I, 176.

συναίσθησις (sunaisthêsis), conscience, II, 319, 368. Étymologie de ce mot, III, 56.

συναμφότερον, σύνθετον (sunamphoteron, suntheton), le composé de l’âme et du corps, I, 38, 41.

SYNÉSIUS cite Plotin, II, 579, note 2.

Extraits de Synésius :

Hymnes, II, 230 ; L’Égyptien ou De la Providence, II, 521 ;

Traité des Songes, II, 586-588, 656.

SYNONYMES (Définition des), III, 151.

σύνταξις μία (suntaxis mia), tout est coordonné dans l’univers, I, 175.

SYNTHÈSE, συναίρεσις (sunairesis), II, 121.

SYRIANUS, cité par Énée de Gaza, II, 679. — Il cite Plotin, I, 241, 425 ; 111, 137, 584-587.

T.

TAURUS (CALVISIUS), commentateur de Platon, cité par Jamblique, II, 650.

TAYLOR, I, xvi, xli-xlii, 397, 404, 413, 421, 427, 481, 491 ; II, xlii, 507, 542, 548, 551, 565 ; III, 569, 581, 583, 586, 599, 606.

TEMPÉRANCE, une des quatre vertus, I, 53, 55, 60, 61.

TEMPS. C’est le mode d’existence propre à la vie mobile de l’Âme universelle, II, 196-209 ; III, 359-360. — Il est aussi en nous, II, 209. — Critique des fausses définitions du Temps, II, 186-195.

(P), I, lxxii ; III, 625.

1. TERRE (La) possède la puissance végétative, personnifiée par Cérès et par Vesta, II, 362-863, 372-373 ; III, 431-432. Elle possède aussi la puissance sensitive, II, 370.

2. TERRE ÉTRANGÈRE (des Gnostiques), I, 530-532.

3. TERRE NOUVELLE (des Gnostiques), I, 524.

TERTULLIEN. R., I, 500, 540.

THALÈS, (P), II, 615.

THÉMISTIUS, cité par Priscien de Lydie, I, 888 ; par Simplicius, III, 630. — Il critique une théorie de Plotin, II, 498. — Il cite Porphyre, II, 622.

Rapprochements, III, 609-610.

THÉMISTOCLE le stoïcien, mentionné par Longin, I, 22.

1. THÉODORE d’Asiné, cité par Proclus, II, 630 ; III, 624.

2. THÉODORE MÉTOCHITA cite Plotin, II, 608.

THÉODORET cite Plotin, II, 522. — Rapprochements, I, 257, 515, 517-519.

THÉODOSE, ami d’Ammonius, (P), I, 10.

THÉODOTE, mentionné par Longin, I, 22 ; par Priscien, I, 388.

THÉOGNIS. R., II, 33.

THÉOGNOSTE, cité par S. Athanase, III, 580.

THÉOLOGIEN, (ou Orphiques), II, 105, 119.

THÉOPHRASTE, cité par Jamblique, II, 633 ; par Porphyre, I, 28.

Priscien de Lydie explique les opinions de Théophraste dans son Commentaire du Traité de Théophraste sur l’imagination et l’Intelligence, II, 666-668.

THÉRIAQUE, médicament, (P), I, 2.

THOMAS (saint). Comparaison de sa psychologie avec celle de Plotin, II, 271, 274, 307, 379, 593-597. Saint Thomas a connu les Éléments de Théologie de Proclus, II, xii.

THOMASSIN (Le Père) cite et commente Plotin : 1° Dieu, II, 246, 249-250, III, 55, 69, 79-80, 307, 312, 326, 355-356, 453, 518, 523 ; Un, II, 182, III, 473, 584-585, 547, 559-560 ; Bien, II, 235, III, 99, 342, 358, 451-452 ; Beau, II, 104, 541, III, 355, 470 ; Idées, III, 74-75 ; Éternité, II, 186, 550 ; Providence, II, 405-406 ; Vision de Dieu, III, 83-84, 87, 362, 477, 551-552, 555-556 ; 2° Âme humaine ; sa condition, II, 252, 429-430, 471, 482, 485, 544 ; son immatérialité, II, 444-445, III, 315 ; Intelligence, II, 221-222, 493, III, 23, 36-38, 50 ; État de l’âme bienheureuse, II, 331, 470.

THRASYLLUS, cité par Longin, I, 28.

τόδε (tode), forme déterminée, hæcceitas, II, 279 ; III, 154.

τόλμα (tolma), audace, terme pythagoricien, II, 3, 545.

TRINITÉ néoplatonicienne comparée à la Trinité chrétienne par S. Augustin, I, 322-323, III, 572 ; par S. Cyrille, III, 5-19, 626 ; par Eusèbe, III, 9, 13 ; par Théodoret, I, 257.

TRYPHON le platonicien, (P), I, 17.

τύποι, τυπώσεις (tupoi, tupôseis) images, impressions, II, 124, 317 ; III, 71.

U.

UBIQUITÉ de l’Être un et identique, III, 304-363. — Ubiquité de l’Un, III, 523.

(P), I, LXXXI-LXXXVI.

ULYSSE (Voyage d’), symbole de la vie mortelle, d’après Plotin, I, 111 ; d’après Numénius, I, cviii ; d’après Porphyre, I, 25-26.

UN, première hypostase : résumé, III, 577-578. — L’Un n’est pas un genre, III, 220-228.

Définition de l’Un par Porphyre, III, 263.

1. UNITÉ (L’) est la condition de l’existence de tout être, III, 536.

2. UNITÉ DE L’ÂME, II, 569.

UNIVERS. Voy. Monde.

UNIVERSAUX, τὰ ϰαθ’ ὅλου (ta kath’ holou), III, 146.

ὑπεράγαθον (huperagathon), Bien transcendant, III, 550.

ὑπέρϰαλον (huperkalon), Beauté transcendante, III, 471.

ὑπερνόησις (hupernoêsis), supra-intellection de l’Un, III, 525.

URANOS (Cœlus) représente la première hypostase (l’Un et le Bien), II, 106-107 ; III, 130.

V.

VACHEROT, I, vii.

VALENTIN, gnostique, I, 499, 500-502, 507-520.

VÉGÉTATIVE (Facultés de la Vie), II, 569-570. — Puissance végétative de la Terre, II, 372.

1. VÉNUS POPULAIRE (Âme du monde), fille de Jupiter et de Dioné, II, 106, 109-110, 119 ; III, 131.

2. VÉNUS-URANIE (Âme céleste), II, 106-109.

VERBES (Théorie des), III, 183. Résumé et jugement de Steinhart, III, 597-598.

VERTUS. Voy. Courage, Justice, Prudence, Tempérance.

Division platonicienne. Quatre degrés : 1° Vertus civiles, I, 52, 54, 55 ; 2° Vertus purificatives, I, 55-59 ; 3° Vertus de l’âme purifiée, I, 60 ; 4° Vertus exemplaires, I, 61. — La vertu est une harmonie, II, 127. — Commentaire de cette théorie par Porphyre, I, li-lvii, et par S. Augustin, II, 546-547. — Olympiodore distingue sept classes de vertus, III, 634-635.

Division péripatéticienne : Vertus naturelles, I, 69 ; Vertus morales, I, 47, 69 ; Vertus intellectuelles ou rationnelles, I, 47, 68. — Vertu active et Vertu contemplative, I, 50.

VESTA personnifie la puissance végétative de la Terre, II, 373.

VICE. Il a pour causes : l’inclination de l’âme vers la matière et la domination des appétits de l’âme irraisonnable, I, 122 ; le défaut d’harmonie entre les parties de l’âme, II, 127. — Il se connaît par une sorte d’abstraction, I, 131-132.

VICTORINUS avait traduit les livres de Plotin et de Porphyre que cite saint Augustin, II, 555-560. Indication de ces livres, II, 561. — Victorinus a développé dans son Traité contre Arius des idées empruntées à Plotin, II, 555, 562-564. — Rapprochements, III, 12-13, 330.

VIE. Vie de l’Intelligence : elle est identique à la Sagesse, III, 404-405.

Vie de l’Âme universelle. Elle est multiple, mobile, infinie ; son mode d’existence constitue le Temps, II, 196-209 ; III, 300. — L’Âme universelle est le monde de la vie, III, 332.

Vie de l’âme humaine ; ses diverses espèces : Vie végétative, II, 569-570 ; Vie sensitive, II, 571-572 ; Vie rationnelle, II, 572-574 ; Vie intellectuelle, II, 574-576.

Identité de la Pensée et de la Vie, II, 224 ; III, 100 ; leurs divers degrés, I, 224. - (P), I, lxx.

Vie, définie par H. Martin, I, 373.

Vie mortelle de l’homme, comparée au voyage d’Ulysse, I, cvii, 25-26, 111.

VILLEMAIN, I, xxviii ; III, xi, 565-566.

VILLOISON, II, xxvii.

VINCENT de Beauvais cite Plotin d’après Macrobe, I, 403.

VIRGILE. R., II, 633.

VISION DE DIEU. Elle implique une sorte de contact intellectuel, III, 62, 477. Elle ressemble à l’intuition de la lumière, I, 111-112 ; III, 83, 472-479. Dieu apparaît comme le Soleil à son lever, III, 83 ; comme le grand Roi avec son cortége, III, 75 ; comme le maître d’un palais orné de statues, III, 475 ; comme la statue cachée dans le sanctuaire, III, 563. — (P), I, lxii.

VOLONTÉ, faculté de l’âme humaine : sa définition, III, 493-494. Résumé, II, 573-574.

VUE (Théorie de la), I, 250-253 ; II, 408-417, 425-427. — Critique d’Aristote, I, 252, II, 408-409 ; d’Épicure, I, 250, II, 412 ; des Stoïciens, I, 250, 411.

Théorie de Jamblique sur la vue, II, 663.

X.-Z.

XÉNOCRATE, cité par Jamblique, II, 628 ; par Porphyre, III, 629.

ZACHARIE le scholastique cite Porphyre, II, 685. — Son dialogue intitulé Ammonius, II, 683.

ZÉNON le stoïcien, cité par Jamblique, II, 634-635.

ZÉTHUS, ami de Plotin, (P), I, 2, 9-10.

ζῶον (zôon), animal : sens propre de ce mot, I, 363-364. — Voy. Animal et Homme.

ZOROASTRE, Oracles magiques, I, 140. — Livres apocryphes, (P), I, 17, 495.

ZOSTRIEN, gnostique, (P), I, 17.

ZOTICUS, poète, ami de Plotin, (Ρ), Ι, 9.

FIN DR LA TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.