Histoire socialiste/Table analytique/C

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Jules Rouff (p. 28-50).


C


Cabanis. Ses travaux, V, 217 ; VI, 18 ; son discours sur les finances, 26 ; nommé sénateur, 51.

Cabarrus (La), IV, 1804 ; femme de Tallien, attaquée par Babeuf, V, 68.

Cabarrus, commerçant du premier Empire, VI, 281.

Cabet (Cf. Icariens). Ses erreurs sur la question de la guerre dans la Révolution, II, 909 et sq ; V, 544 ; 590 ; ses origines, VIII, 174 ; publie le Populaire, condamné, chassé de Belgique, 248 ; 372 ; sa lutte contre les fortifications et les rédacteurs du National, 418 ; ses démarches près des démocrates pour le Populaire quotidien. 450 ; hostilité des démocrates contre lui, 451 ; sa propagande contre les idées de violence, 451 ; le Voyage en Icarie, 451 et sq ; son œuvre jugée par Leroux, 456 ; sa propagande en province, 456 ; sa tristesse à l’occasion du procès de Tours, 540 ; l’idée de la colonie en Amérique, 552 ; poursuivi comme escroc, 561 ; fonde la communauté icarienne en Amérique, 561 : IX, 2 ; 17 ; 22 ; 24 ; 25 ; 33 ; 35 ; 38 ; 39 ; 48 : 5i ; 83 ; 133 ; 230 ; son activité en 1848, 231 et sq ; 239 ; 240 et sq ; sa conception de l’État ; l’expérience de Nauvoo, 242 ; l’organisation de Nauvoo, 243 ; accusé d’escroquerie ; ses mésaventures à Paris en 1851, 244 ; nouveau départ pour l’Amérique, 244 ; jugement sur son effort, 244 ; 245 ; 246 ; 271 ; X, 162.

Cabut, ouvrier occupé aux assignats, emprisonné, V, 302.

Cacault, représentant de la France à Rome en 1796, V, 352 et sq ; son rôle dans les négociations du Concordat, VI, 79 et sq.

Cadastre perpétuel. Œuvre de Babeuf, V, 11, 14.

Cadix (V.). Pris en 1823, VII, 194.

Cadoudal (Georges), V, 298 ; chef royaliste, 419 ; 537 et sq ; VI, 137 et sq ; 151 ; son rôle dans l’attentat de la rue Saint-Nicaise, 152 ; 155 ; son intrigue de 1804, 187 et sq ; arrêté, 190 ; jugé avec Moreau, 194.

Cadoux (Gaston). Les Finances de Paris, V, 164.

Cadroy, député à la Convention, V, 99 ; 101 ; son rôle daps les massacres de républicains à Marseille, 102.

Caen (V.). Son Tiers-État demande le partage des communaux, I, 203 ; I, 751 ; IV, 1630 ; son école de médecine, V, 2O3 ; X, 295.

Café des bains chinois. Café des Babouvistes, V, 290.

Café Cauvin, V. 290 ; 294.

Café de Chartres, V. 70.

Café Chrétien, V. 290 ; 294.

Café Madelin, V, 290.

Caffarel (Cf. Wilson), XII, 250.

Caffarelli. général, II, 1309 ; sa mort, ses tendances sociales, 1474.

Caffé, chevalier de la liberté, VII, 1775 condamné à mort, 178.

Cagniard, délégué du Laonnais, II, 1301.

Cahaigne, vénérable de la Loge Les Amis de la Vérité, VIII, 23.

Cahen (G.), IX, 270.

Cahier de Gerville. Elu le 5 août 1789, représentant de la Commune de Paris, I, 311 ; ministre de l’Intérieur, II, 874 ; constate la prospérité économique de la France en 1792, 1030.

Cahiers des États-Généraux. Comment ils sont élaborés par le Tiers dans les Assemblées des villes et des villages, 1, 15I ; puis dans les Assemblées générales des bailliages, 152 ; leur caractère spontané, 153 ; leur puissance d’action, 154 ; leur plénitude et leur solidité, 155 ; leur unité réaliste, 155 ; leurs revendications principales, 156 et sq ; toute la Révolution, moyen et but, est contenue en eux, 160 ; ceux du Clergé et de la Noblesse révèlent leurs divisions internes, 174 ; par qui furent rédigés les cahiers de villages, 223.

Cahiers de la Quinzaine, VIII, 398.

Cahors (V.), II, 763.

Cailhasson, député à la Législative, 11, 1037.

Caillaud, membre du comité de Salut Public de Nantes, 1, 416.

Caillaux. ministre des Travaux publics, XII, 174.

Caillaux, ministre des Finances, XII, 271.

Cain (Georges), I, vii.

Ça Ira, I, 552.

Caisse d’amortissement. La discussion de 1817, VII, 119.

Caisses d’Epargne. Institution de la Restauration, VII, 92 ; l’aventure de février 1848, IV, 312 ; les remboursements, la loi du 30 juin 1851, 312.

Caisse des comptes courants, V, 233.

Caisse d’escompte. Créée en 1776 ; besoin auquel elle répond, I, 44 ; comment Necker veut utiliser son crédit, 436 ; la Constituante donne un cours forcé à ses billets et les garantit par 170 millions d’assignats, 458 ; son discrédit atteint les assignats, 462 ; II, 1039.

Caisse d’escompte du commerce, V, 233.

Caisse fédérative des Cinq Centimes, X, 352 ; 379.

Caisse patriotique, II, 1039.

Caisse de prêts pour les chefs d’atelier tisseurs, VIII, 264.

Caisse nationale des retraites. La loi du 18 juin 1850, IX, 311.

Caisse de secours, II, 1039 ; une panique, 1040.

Calais (V.). Affaire des naufragés de Calais, V, 409 ; sa situation industrielle sous la république de 1848, IX, 327.

Calendrier révolutionnaire, IV, i685 et sq ; mesures d’application sous le Directoire, V, 183.

Californie. Le nouvel Eldorado ; répercussion de la découverte de l’or, IX, 350.

Callaud, socialiste chrétien, IX, 231.

Calon, général, II, 1281.

Calonne. Son rapport aux notables en 1787 note l’accroissement du revenu des terres, 1, 182 ; agent des émigrés, voudrait que Louis XVI restât aux Tuileries, 677.

Calou. III, 388.

Calvados (Dép.), 1, 751 ; IV, 955 ; i630 ; V, 541 ; sa situation industrielle en 1811, 525.

Calvignac, maire de Carmaux, XII, 262.

Calvinhac, XII, 296.

Cambacérès. Son rôle au procès du roi, IV, 923 et sq ; 1642 : caractère du manifeste de la Convention dont il rédige le projet en octobre 1794, V, 36 ; 531 ; 566 et sq ; valeur de ses Eclaircissements, 584 ; ministre de la Justice sous le Consulat provisoire, VI, 20 ; Consul, pourquoi Bonaparte le choisit, 41 ; 42 ; 166 : 169 ; 198 ; 391 ; 444 ; 459.

Cambon, II, 847 ; 992 ; propose d’assigner des délais aux créanciers de la Révolution, pour la vérification des titres, 1022 ; 1034 ; 1206 ; 1292 ; i306 ; III, 34 ; proteste contre la Commune de Paris, 83 ; 178 ; propose de supprimer le budget des cultes, 230 : son examen de la situation financière en octobre 1792, 255 et sq ; 272 ; 299 ; 305 ; 309 ; 419 ; son discours du 15 décembre 1792 sur la guerre révolutionnaire, 558 et sq ; IV, 976 ; s’effraie du mouvement contre la propriété en février 1793, 1072 ; 1110 ; 1113 ; i36o ; 1546 ; 1619 ; mesures qu’il propose, en août 1793, pour restreindre l’émission d’assignats, 1665 ; il désirait en lui-même l’établissement du maximum, 1671 ; 1704 ; 1742 ; 1816 ; V, 27 ; 88.

Cambon, XI, 280.

Cambrai (V.). Le 2 décembre 1851, X, 18.

Cambronne. Renvoyé devant un conseil de guerre, VII, 78 ; acquitté, 112.

Camelinat. monteur en bronze, X, 225 ; 243 ; 244 ; membre de l’Internationale dès le début, 295, 296 ; 304 ; le premier procès de l’Internationale, 316 ; son rôle dans les réunions publiques, 328 ; directeur de la Monnaie sous la Commune, XI, 396 ; 401 ; élu en 1885, XI, 247.

Camescasse. préfet de police, XII, 243.

Camille, ciseleur ; un des soixante, X, 225.

Camp (Maxime du), X, 55.

Campan (Mme). Son pensionnat, V, 199.

Campe. Son système d’éducation reflète l’esprit d’émancipation du XVIIIe siècle mais il ne pressent pas l’Allemagne nouvelle, 111, 495 et sq ; 497 ; en quoi il risque d’être conservateur, 498 ; il a une conscience aiguë de tous les maux sociaux, 499 ; mais ne conçoit aucune organisation de justice qui protège les faibles, 507.

Campion, entrepreneur parisien en 1791, 1, 612.

Campis, policier, V, 330.

Campmas, député à la Convention, III, 111.

Campo-Formio (V.). Le traité entre la France et l’Autriche, V, 398.

Camus, I, 542 ; 543 ; livré aux Autrichiens par Dumouriez, IV, 1170 ; 1178 ; ses interventions contre les spéculateurs, V, 446 ; son opposition à la Constitution de l’an VIII, VI, 46.

Canard raisonnable et bavard (le). Plaisante les républicains, VIII, 274.

Canaux. Négligés sous le second Empire, X, 60.

Canclaux (Général). Ses opérations contre les Vendéens, V, 65.

Candidature ouvrière. En 1863, X, 210 et sq ; elle n’a pas encore le sens d’une candidature de classe, 211 ; comment elle fut accueillie, 212 ; le Manifeste des soixante, 216 et sq ; le Manifeste des quatre-vingts, 226 ; la candidature et la campagne de Tolain, 227 et sq ; les candidatures ouvrières en 1809, 343 et sq ; leurs faibles chances de succès, 343.

Candide. Journal de Blanqui, X, 288, 289.

Canet (L.), V, 193 ; 196.

Canning. VI, 1007.

Canons. La question des canons en février-mars 1871, XI, 274 et sq.

Canrobert, maréchal, IX, 216 ; son rôle au Coup d’État, X, 15 : sa mission de clémence en 1852, 3t ; XI, 7 ; 424 ; XII, 128 ; membre du conseil supérieur de la guerre, 239.

Cantagrel, fouriériste, VIII, 446 ; IX, 230 ; X, 162 ; 213 ; 324.

Cantin, membre du comité de salut public de Nantes, I, 416 ; conseiller municipal de Nantes, 430.

Canuel, général, VII, 112 ; ses provocations à Lyon, 120.

Canuts (Cf. Lyon).

Capelle (Marie). Héroïne de l’affaire Lafarge, VIII, 427.

La Capelle-Biron (V.), II, 772.

Capestang (V.). Comment il accueille le Coup d’État de 1851, X, 18.

Capet, ajusteur, X, 225.

Capitalisme. Son développement aurait pu être autre, depuis la Révolution, 1, 592 ; son développement en Allemagne au XVIIIe siècle, III, 452 et sq.

Capitalisme agricole. Beffroy, à la Convention reprend la lutte contre lui, 353 ; son développement en Angleterre, 673 et sq.

Cappy. Arrêté en août 1792, III, 10.

Caprara. Chargé de négocier avec Bonaparte l’application du Concordat, VI, 92.

Capucines (boulevard des). La fusillade de février 1848, VIII, 568.

Caquet (Jacques), juré de la Haute-Cour de Vendôme, V, 327.

Carabots. Aventuriers recrutés par les Girondins, IV, i630.

Caradec, colonel, envoyé de Louis-Philippe, près de Charles X, VIII, 11.

Caraman (Vicomte de), III, 20 ; 183.

Carayon-Latour (de), XII, 156.

Carbon. Un des auteurs de l’attentat de la rue Saint-Nicaise, VI, 151 et sq ; exécuté, 155.

Carbonel (de). Son rôle à Toulouse en 1871, XI, 370.

Carbonarisme. Son introduction en France, VII, 171 ; son impuissance en 1823, lors de la guerre d’Espagne, 192 ; sa renaissance en 1850, IX, 211.

Carbonneau, écrivain public, victime de la police sous la Restauration, VII, 111.

Carcassonne (V.), VI, 516 ; VII, 113 ; VIII, 67 ; sa situation industrielle sous la République de 1848, IX. 328 ; XI, 370.

Cardinaux, patriote, V, 292 ; 294.

Carhaix (Mines de). La mine mise en régie, IV, 1707.

Caricature (La), journal de 1871, IX, 270.

Carin, membre du Directoire secret des Fédérés de 1792, II, 1264.

Carletti, représentant de la Toscane à Paris, V, 126 ; 296.

Carlier, IX, 195 ; 212.

Carlisme. Son action en Espagne en 1836, VIII, 289 et sq.

Carlsruhe (V.). VIII, 396.

Carmaux (V.), V, 251 ; 254 ; la grève de 1891, XII, 262.

Carnand, député, XII, 295.

Carnot, II, 1279 ; sa thèse des frontières naturelles, IV, 972 ; 1619 ; organise les armées, 1682 ; 1684 ; 1690 ; 1814 ; ses travaux scientifiques, V, 214 ; directeur, 282 ; 316 ; 318 ; Mémoires, 354 ; 363 ; 371 ; son attitude révolutionnaire au milieu de 1797, 411 ; 417 et sq ; s’enfuit le 18 fructidor, 420 ; rappelé par Bonaparte, VI, 46 ; nommé au Tribunal, 161 ; proteste contre l’Empire, 196 ; ses travaux scientifiques, 299 ; son rôle en 1815, VII, 50 ; proscrit en 1815, 78.

Carnot (Hippolyte), saint-simonien, mais lutte sur les barricades, VIII, 2 ; 84 ; 186 ; 192 ; 193 ; député républicain en 1842, 4S2 ; ministre de l’Instruction publique, attaqué pour ses circulaires en 1848, IX, 46 ; attaqué par la rue de Poitiers après juin 1848, 95 ; son projet de loi sur l’enseignement, 167 ; ses réformes, 170 et sq ;| 175 ; 176 ; 179 ; 180 ; 184 ; élu à Paris en mars 1850, 194 ; 222 ; 230 ; son rôle dans les journées du coup d’État, X, 8 et sq ; élu en 1852, refuse le serment, 39 ; 88 ; élu en 1857, refuse le serment, 104 ; 158 ; 210 ; 228 ; la session de 1866, 260 ; 284 ; 343 ; XI, 288 ; 97.

Carnot (Sadi), XII, 227 ; 242 ; ministre des Finances, 247 ; élu président de la République, 251 ; tué par Caserio, 265.

Caroline, reine de Naples, IV, 964.

Caron (Ex-colonel), conspirateur, VII, 174 ; condamné à mort, 175.

Caron (Pierre), IX, 327 ; X, 192.

Carpentier (Marie). IX, 167. Carra. Propose à l’assemblée des életeurs de former une vraie municipalité, I, 261 ; membre du directoire secret des fédérés de 1792, II, 1264 ; 1278 ; 1287 ; III, 44 ; 58 ; fausseté des accusations de Robespierre contre lui, 63 et sq ; élu à la Convention, 98 ; sa critique de Momoro, 140 ; 184 ; sa réserve sur la question du budget des cultes, 234 ; refuse de s’associer à la campagne de Buzot contre Paris, 395 ; se dégage de la Gironde, 423 ; IV, 1019 ; demande une chambre de justice contre les financiers, io5i ; 1296 ; sa mort, 1682.

Carrat, tailleur, X, 209 ; 224.

Carré. Poursuivi pour coalition, puis acquitté, VIII, 19.

Carrel (Armand). Son rôle en juillet 1830, VII, 240 et sq ; VIII, 27 ; influencé par le saint-simonisme, 85 ; ses articles chauvins de 1830-31, 111 ; son caractère, 169 ; 25g ; 263 ; 268 ; 272 ; sa mort, 284 ; IX, 374.

Carret, membre de la municipalité de Lyon et 1789, 1, 420.

Carrier, I, 419 ; IV, 1118 ; son rôle à Nantes, 1717 ; il est adopté par l’hébertisme, 1720 ; rappelé de Nantes, 1727 ; 1746 ; sa diatribe contre les indulgents, 1755 ; 1804 ; 1812 ; mis en accusation et exécuté, V, 35.

Carrier, républicain, son attitude au procès d’avril, VIII, 276 ; condamné, 278.

Cartoux, républicain de Marseille en 1871, XI, 372.

Caselli, envoyé du Pape à Bonaparte, VI, 78 et sq.

Caserio, anarchiste, tue Carnot, XII, 265.

Casier judiciaire, XII, 301.

Cassagnac (Granier de), V, 284 ; 335 ; VIII, 545 ; député en 1852, X, 40 ; XI, 36 ; 41.

Cassagnac (P. de), XII, 198 ; 231.

Casse (Germain), créole révolutionnaire, X, 152 ; 286, 288 ; son rôle dans les réunions publiques, 328.

Casse (du), VI, 111.

Cassini. Elu à l’Assemblée des représentants de la Commune de Paris, le 31 août 1789, I, 311.

Castelbon, maire de Toulouse en 1871, XI, 369 et sq.

Castellidurdo (V.). Bataille, X, 122.

Castellane (Vicomte de). S’oppose à ce que la noblesse se constitue en ordre distinct, I, 235.

Castellane (Comte de), IX, 12, t5 ; 54 ; 57 ; 83 ; 112 ; 139 ; 153 ; 159 ; 212 ; 213 ; 214 ; 216 : 226 ; 334.

Castellane (Maréchal de). Le rôle d’un gouverneur militaire en 1850, IX, 212 ; X, 187.

Castellane (de), XII, 160.

Castelnau (Maréchal), X, 276.

Castiglione (Bataille de), V, 350.

Castille (Hippolyte), IX, 22, 147, 222 ; XII, 109 ; 143.

Castlereagh (Lord), représentant anglais : son rôle au Congrès de Vienne, VII, 41 et sq,

Castres (V.), IV, 1211 ; 1302 ; 1705.

Catéchisme. Le catéchisme napoléonien, VI, 371.

Catéchisme républicain (Le), IX, 26.

Cathelineau, vendéen, IV, 1150 ; 1633.

Catherine II. Parle haut, mais agit peu pour les affaires de France en 1791, II, 806 ; ses desseins égoïstes, 808 ; sa politique en 1795, V, 114 et sq.

Catholiques. Leur triomphe aux élections de 1848, VIII, 556 ; leur campagne électorale d’avril 1848, IX, 44 ; leurs listes ne sont pas exclusives, 44 ; leurs alliances, 44 ; quelles classes sociales ils rallient, 45 ; impérialistes et opposants, Veuillot et Montalembert, X, 5i et sq ; influence qu’ils ont exercée dans la politique extérieure du second Empire, 74 et sq ; c’est la suite de leur Gesta dei per Francos, l’Appel à la France, 76 ; ils s’émeuvent de la guerre italienne. 119 ; leur mécontentement à la fin de 1859, 122 ; ils s’unissent contre Napoléon III, 123 ; leur opposition de 1860 à 1863, 137 et sq ; leur effort pour se grouper sur le terrain purement religieux en 1872, XII, 92 ; leur agitation pendant la période de l’ordre moral, 112 et sq.

Cauchois-Lemaire, VII, 174 ; VIII, 27 ; 248.

Caulaincourt. Son rôle diplomatique en Russie, VI, 386 ; son rôle dans les négociations de 1815, 431 et sq ; 459 ; ses négociations pendant la campagne de France, 583 et sq ; sa dernière tentative près d’Alexandre, VII, 20 ; 25.

Caumartin. Elu en 1817, VII, 121.

Caussidière (Marc). Condamné, VIII, 278 : 280 ; son rôle dans les journées de février 1848, 567 et sq ; préfet de police en 1848, IX, 12 ; 22 ; 30 ; 34 ; 55 ; 56 ; 66 ; 75 ; 79 ; 88 ; poursuivi, 98 et sq ; 133 ; 286 ; 363 ; à Londres, 85.

Cauzard. Dans les réunions publiques, X, 328.

Cavaignac (Godefroy), républicain de 1830, VIII, 34 ; 120 ; 218 ; 240 ; 246 ; tenu pour modéré par ses amis, 259 : 263 ; 268 ; son rôle au procès d’avril, 274 et sq : son évasion, 278 ; condamné à la déportation, 280 ; revient d’Algérie, 425 ; son programme dans le journal du peuple, 426 ; rédacteur en chef de la Réforme, 458.

Cavaignac (Eugène), républicain, mais militaire d’abord, IX, 57, accepte le ministère de la guerre de la Commission exécutive, 57 ; 64 ; 77 ; les journées de juin, 80 et sq ; 81 et sq ; il dissout les Ateliers nationaux, 87 et sq ; il est nommé chef du pouvoir exécutif, 90 ; son gouvernement, 90 et sq ; 95 ; 97 ; 99 ; 100 ; 102 ; 114 et sq ; 120 ; 121 ; candidat à la présidence, 124 ; 128 ; 129 ; 134 ; 135 ; 142 ; 144 ; 148 ; 152 : 197 ; 216 ; 220 ; 223 ; 361 ; 375 ; X, 102 ; sa mort, 104.

Cavaignac, ministre de la marine, XII, 258 ; sa retraite, 260.

Cavour. Son rôle dans le Piémont, X, 108 et sq : son rôle dans l’Unité (Cf. Italie) ; 114 ; sa mort, 138.

Cayla (Mme du). Instrument de la Congrégation près de Louis XVIII, VII, 171, 203.

Cazalès, député de la droite de l’Assemblée ; son éloquence, I, 367 ; pose le débat du marc d’argent entre propriétaires fonciers et « capitalistes », 389 ; 658 ; 698.

Cazalès (Abbé), IX, 187.

Cazamian (Louis), VIII, 83.

Cazeaux, saint-simonien, VIII, 186 ; 188 ; 190 ; se retire avec Bazard, 200.

Cazin, babouviste, V, 305 ; 327 ; 329 ; 332 ; 335.

Cazot, ministre de la Justice, XII, 41. 227.

Cénac. Demande en 1848 l’élection pour toutes les fonctions ecclésiastiques, IX, 192.

Cens. Droit féodal, I, 14.

Cens électoral (Cf. Électorat, Éligibilité).

Censure théâtrale. Son organisation sous le Directoire, V, 219 ; son rétablissement en 1850, IX, 200.

Centralisation. Comment la loi du 28 nivôse an VIII l’établit, VI, 57 ; elle est encore à la base de notre administration régionale, 57 ; comment cette loi fut votée, 60.

Cercle catholique, VIII, 337.

Cercles constitutionnels. V, 419 ; leur développement après le 18 fructidor, 428 ; leur fermeture, 430.

Céréales. Leur culture, de 1794 à 1800, V, 270 et sq.

Cerise, IV, 231.

Cernon (de), I, 475.

Cerrachi. Son complot contre le premier consul, VI, 146.

Céruse (blanc de). Les circulaires ministérielles contre son emploi en 1848, IX, 300.

Ceyras, député en 1848, IX, 315.

Chabaud, ferblantier, X, 195 ; 208 ; 209 ; son jeu dans les élections de 1863, 211 et sq ; sa candidature contre Tolain, 230 ; son rôle à la Commission de 1867, 310.

Chabaud-Latour, ministre, XII, 150 ; 154 ; sa réponse à Gambetta, 167.

Chabert, conseiller municipal de Paris, XII, 208 ; 243 ; 254.

Chably (Louise). Harangue le roi le 5 octobre 1789, 1, 347.

Chabot, II, 1281 ; III, 29 ; son plaidoyer pour Marat, 107 ; 234 ; 400 ; sa politique ultra-maratiste en mars 1793, IV, 1139 ; 1268 ; 1271 ; 1374 ; 1383 : 1430 ; sa critique de la Constitution de 1793, au lendemain du vote, 15g5 ; 1626 ; son rôle dans l’affaire d’agiotage de la Compagnie des Indes, 1738 et sq ; 1756 ; 1768 : 1786.

Chabot, président du Tribunat, VI, 166.

Chaboulon (de), envoyé à Naples par Murat, VII, 44.

Chabrol (de), préfet de la Seine, VII, 75 ; démissionne du Cabinet Polignac, 236.

Chalain, X, 80 ; 376 ; sa défense au troisième procès de l’Internationale, 390 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 311.

Chalgrin. architecte, organise les fêtes sous le Directoire, V, 212 ; 224.

Chalier. membre de la municipalité de Lyon en 1789, 1, 420 ; révolutionnaire lyonnais, son passé, IV, 1058 ; en relations, puis en lutte avec les Girondins, 1058 ; son échec à la mairie de Lyon, 1058 ; élu président du district, 1059 ; son action, 1063 et sq ; son mysticisme, 1064 ; les événements du 18 février 1793, 1065 et sq ; emprisonné, 1440 ; tué à Lyon le 17 juillet, 1634.

Challans (V.), IV, 1144.

Challemel-Lacour. Dans l’exil, en Belgique, X, 86 ; 324 : 326 ; XII, 56 ; 98 ; 98 ; 138 ; nommé ambassadeur à Berne, 222 ; 262.

Chalon, typographe, un des soixante, X, 225.

Chalon-sur-Saône (V.). La Grève sanglante de 1900, XII, 294 ; les interpellations, 294 ; l’enquête est repoussée, 295 ; 304.

Châlons-sur-Marne (V.). La concentration en 1870, XI, 4.

Chambard (Le), XII, 265.

Chambay (Dr), d’Alençon, X, 152.

Chambéry (V.), 111, 194.

Chambolle. VIII, 566.

Chambon, commissaire de section, II, 1278 ; maire de Paris, 111, 434 ; IV, 1003 ; dénoncé par les sections de Paris, 1199 ; 1437 ; décrété d’arrestation le 2 juin, 1447 : V, 99-101.

Chambonas, ministre des Affaires étrangères, II, 1197 ; démissionnaire, 1237.

Chambord (Comte de), fils du duc de Berry, VIII, 210 ; se marie, 536 ; Henri V, IX, 83 ; 202 et sq ; XII, 25 ; 44, 46 ; 58 ; 92 ; 114 ; son manifeste de 1874, c’est une capitulation, 147 ; 177.

Chambres (Deux). Comment la question se pose en 1789, I, 308 ; l’Assemblée décide qu’il y aura une Chambre unique, 327 ; la question en 1848, IX, 108. Chambre des Députés (Cf. Corps législatif, Élections, etc.) ; Sous la-Restauration, la Chambre introuvable, sa poétique de réaction, VII, 98 et sq ; sa responsabilité, 114 ; sa dissolution, 116 ; la dissolution de 1823 ; réélection pour sept ans, 196 ; la dissolution de 1827, 218 ; sa convocation, son adresse et sa prorogation en 1830, 235 ; sa dissolution, 236 ; dissolution et nouvelle composition d’après les ordonnances de 1830, 241.

Sa composition en 1830, VIII, 92 et sq ; ses droits et son mode d’élection dans la Constitution de 1848, IX, 108.

Sous la troisième République, elle se réunit le 8 mars 1876, XII, 186 ; sa lutte contre Mac-Mahon après les élections de 1877, 209.

Chambres de commerce. Document de 1801 sur l’étendue de leurs ressorts, VI, 275 et sq ; leurs attributions, 276 ; comment, par ordre, elles encouragent la politique du blocus continental, 314 ; modifications de 1848, IX, 347.

Chambre de commerce de Paris. Son enquête sur l’industrie en 1848, IX, 327.

Chambres consultatives (de manufacture, fabrique, etc.). La loi du 22 germinal an xi, VI, 233 ; leur organisation par l’arrêté du 10 thermidor, 239 ; rapport de 1801 sur leur établissement, 274 et sq.

Chambre fédérale des sociétés ouvrières de Paris, X, 352 ; elle est distincte de l’Internationale, 364 : elle achève de s’organiser à la fin de 1869, 366 ; se constitue définitivement, 38o ; XI, 252 (Cf. Corderie).

Chambre des pairs. Son opposition à Decazes, VI, 131 ; la fournée de 1819, 132 ; elle représente la propriété mobilière dans la question du milliard des émigrés, 200 ; son opposition à Villèle, 216 ; la fournée des soixante-treize en 1827, 218.

Chambres de travail. Revendiquées dans le manifeste des soixante, X, 219.

Chambrées. Réunions républicaines dans le Midi en 1850, IX, 211.

Champagnat, président de la section du Faubourg-Poissonnière, IV, 1I31.

Champagneux, IV, 1362.

Champagny, ministre de l’Intérieur, VI, 267, 273 ; ses encouragements aux manufactures, 292 ; 297.

Champaubert (V.). Bataille, VI, 586.

Champ de Mars, 1, 552, 730.

Champ de Mai. La cérémonie de 1815, VII, 48.

Champelas, président de l’Assemblée des Basses-Alpes, II, 760.

Champfleury, IX, 24.

Champion. Poursuivi pour coalition, puis acquitté, VIII, 19.

Championnet, V, 486 ; sa campagne de Naples, 488 ; son rôle dans la campagne de 1799, 503 et sq : sa mort, 521.

Champseix, disciple de Pierre Leroux, IX, 231.

Champy. Élu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; 463 ; 484 ; XII, 36.

Chanceaulme, membre du comité de Salut public de Nantes, 1, 416 ; conseiller municipal de Nantes, 430.

Changarnier. 35 ; 126 ; 129 ; t30 ; 142 ; 147 ; son rôle le i3 juin 1849, IX, 15I ; 152 ; 203 ; 204 ; sa destitution en 1851, 215 ; 218 ; 220 ; arrêté le 2 décembre 1851, X, 2 ; XII, 73 ; n5 ; 128 ; 148.

Change (des monnaies). Influence du change sur les assignats, IV, 1662 et sq.

Chanoine, V, 268.

Chantelauze (de), ministre en 1830, avec Polignac, VII, 236 ; son procès, VIII, 33.

Chantonnay (V.), IV, 1146.

Chanzy (Général), XI, 14 ; XII, 30 ; 73 ; 222.

Chapeau-Rouge. Quartier de Bordeaux, I, 414.

Chapdelaine (abbé), X, 131.

Chapeliers. Leur rôle à Lyon en 1790, I, 425 ; V, 303 ; VI, 538 et sq ; VIII, 234 ; 236 ; X, 188 ; leur Société générale dissoute pour fait de grève, 188 ; 189.

Chapelier (Cf. Le Chapelier).

Chapelle. Accusé de conspiration contre le premier consul, VI, 147.

Chaper (Colonel), XI, 262.

Chappe, V, 172.

Chappe (Télégraphe). V, 45.

Chaptal. De l’industrie française, V, 236 ; 242 ; 248 ; 249 ; 254 ; 255 ; 261 ; 264 ; VI, 12 ; conseiller d’État, 49 ; ses rapports sur les subsistances, 249 et sq ; sa discussion avec Bonaparte en l’an X sur les approvisionnements, 259 ; son rapport sur les candidats à la section de commerce du Conseil d’État, 280 et sq ; sa politique commerciale, 286 ; 295 ; 298 ; 5t2 ; une page de lui sur les machines, 515 ; 566 ; 574.

Charavay, I, 431, 432 ; 601 ; IV, 1537.

Charbonneau, membre de la deuxième Commission de l’Internationale, X, 319.

Charbonnier, député à la Convention, arrêté, V, 95 ; 100.

Chardon. Élu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; 463.

Charente (dép), X, 113.

Charenton (V.), IV, 1361.

Charette. Son action à Machecoul, IV, 1156 ; V, 56 et sq ; ses opérations de juillet 1795 à la fin de la Convention, 145 et sq ; 297 ; pris et fusillé, 298.

Charivari (Le), VIII, 418 ; IX, 332 ; X, 47 et sq.

Charleroi (V.). Prise par les Français, IV, 1815.

Charles IV, roi d’Espagne, V, 52 ; 124 ; VI, 344 ; victime des ruses de Napoléon, 348 et sq ; son sort, 350.

Charles (Archiduc), V, 338 et sq ; général autrichien, 388 et sq ; son rôle en 1809, VI, 366.

Charles-Albert, roi de Sardaigne, VIII, 225 : IX, 19 ; 143 ; 145.

Charles X, comte d’Artois, donne le signal de l’émigration, dirige la contre-révolution, I, 351 ; sa lettre à Joseph II, 352 ; entrevue avec Léopold, 690 ; ses plans de contre-révolution, 491 ; sa lettre publique à Louis XVI en 1791, 742 ; son séjour à l’étranger, V, 105 : sa tentative de débarquement en 1795, 146 ; 297 ; 540 ; son retour en 1814, VII, 28 ; lieutenant-général du royaume, 28 ; maladresse de sa politique, 29 ; le traité du 24 avril, 30 ; son caractère et son passé, 34 ; 127 ; 128 ; ses intrigues contre Decazes, 142 ; son avènement, VII, 204 ; son passé et son caractère, 206 ; son sacre, 210 ; son jeu à l’égard de Martignac, 231 ; son rôle en juillet 1830, sa chute, 240 et sq ; l’exil, 251 ; sa mort en 1838, 252 ; son abdication, VIII, 11 ; le départ pour l’exil, 12 ; 212 ; 239 ; sa mort, 296.

Charléty, III, 329 ; 341 ; IV, 1056 ; 1069 ; 1062 ; i658. ; V, 197.

Charlier, III, 264.

Charlier, député à la Convention, IV, 1816.

Charlotte, femme de Maximilien, empereur du Mexique, X, 251 ; implore des secours et devient folle, 276.

Charmasse (de). Son étude sur les cahiers de l’Autunois, 1, 218 ; 224 ; iv.

Charnier (Pierre), mutuelliste lyonnais, VIII, 265.

Charpentiers. Leur rôle à la prise de la Bastille, I, 266 : leur conflit avec leurs patrons en 1791, 616 ; 619 et sq ; incertitude de leur pensée : ils n’osent réclamer le droit de grève, 624 ; demandes de relèvement de salaires en 1793, IV, 1777 ; V, 263 ; 430 : ordonnance les concernant sous le premier Empire, VI, 551 ; VII, 94 ; VIII, 226 ; 231 ; leur grève de 1831 à Paris, 234.

Charpentier, insurgé lyonnais, VIII, 159.

Charpentier, XI, 443.

Charras. Son rôle en juillet 1830, VII, 247 ; IX, 83 ; 153 ; 218 ; 220 ; arrêté le 2 décembre 1851, X, 2 ; dans l’exil en Belgique, 86 ; refuse de profiter de l’amnistie de 1859, 121.

Charrons. Leur société corporative, VIII, 236.

Charrues. Les charrues en usage de 1794 à 1880, V, 273.

Charte de 1814. Sa promulgation, VII, 31 ; ses dispositions, 35 ; elle est le centre des débats politiques sous la Restauration, 95.

Chartisme. Le mouvement anglais de 1829 à 1842, VIII, 491.

Charton (Edouard), saint-Simonien, VIII, 84 ; 180 ; 188 ; IX, 167 ; 230 ; X, 102.

Chartres. Son cahier de 1789, 1, 216.

Chartron, général, condamné à mort, VII, 112.

Chartrons (Les), quartier de Bordeaux, I, 414.

Chasset, député à la Convention, III, 112 ; IV, 1206 ; un des soixante-treize, V, 41.

Chassin, 1, 633 ; 645 ; II, 947 ; Les Volontaires nationaux pendant la Révolution, 1158 ; III, 92 ; 111 ; IV, 1159 ; 1160 ; 1161 ; 1164 ; V, 60 et sq ; 107 et sq ; V, 145 et sq ; 356 ; 362 ; 370 ; 384 ; 409 ; 411 ; 419 ; 537 ; 538 et sq ; VI, 137 ; 139 ; 185.

Chassin, X, 152 ; 234 ; 324 ; 342.

Châtaigneraie (La) (V.), III, 91 ; composition de son Assemblée électorale, 110.

Chateaubriand (V.). Proteste contre le rachat des droits féodaux, II, 772.

Chateaubriand. Sa jeunesse inquiète, I, 178 ; II, 1134 ; son Essai sur les révolutions, V, 218 ; VI, 362 ; 442 ; sa protestation contre le régime napoléonien, 478 ; sa lutte contre Napoléon, 482 ; leurs flatteries réciproques postérieurement, 483 et sq ; sa vie politique sous la Restauration, 486 ; jugement sur son œuvre, 487 et sq ; VII, 18 ; 38 ; 49 ; 99 ; révoqué de son ministère d’État, 117 ; 123 ; 139 ; 168 ; 186 et sq : ministre des Affaires étrangères, s’oppose à la politique du ministère dont il fait partie, 199 ; sa chute, 201 ; effets de son opposition contre Villèle, 216 ; 223 ; 227 ; son opinion sur le saint-simonisme, VIII, 194 ; son dégoût des procédés des légitimistes, 211 ; son arrestation lors du débarquement de la duchesse de Berry, 212 ; sa note à la duchesse pour la détourner de son entreprise, 214 ; 314 ; 494.

Château Rouge (Banquet du), VIII, 550.

Châteauvieux (Régiment de), I, 557, 558 ; II, 942 ; effet de la mutinerie en Suisse, 111, 654.

Châtel (Abbé), IX, 231.

Châtellerault. Son cahier fait sentir la contradiction entre le progrès de l’agriculture et le régime social suranné, I, 183 ; le Congrès de 1889, XII, 257.

Chàtillon-s/-Seine. La noblesse du bailliage rêve en 1789 d’une décentralisation qui lui rendra son antique pouvoir, I, 176 ; les négociations de 1814, VI, 588 et sq ; les combats du 4 avril 1871, XI, 361.

Châtillon-s/-Sèvre, Siège du Conseil suprême des Vendéens, IV, 1150 ; 1158 ; massacre commis pendant la guerre de Vendée, i633.

Chaudey (G), X, 88 ; disciple de Proudhon, 153 ; 234 ; 242 ; 244 ; 287 ; adhère à l’Internationale, 295 ; au Congrès de la Paix, 315 ; 336 ; son rôle le 22 Janvier 1871, XI, 263 ; fusillé, 457.

Chauffeurs. Brigands de Normandie et Picardie de 1794 à 1800, V, 231.

Chaumette (Anaxagoras). Ses origines, II, 1262 ; 1274 ; commissaire de section, 1278 ; 1287 ; élu procureur de la Commune, III, 434 ; IV, 1002 ; dans son discours du 27 février 1793, il pose la question de la taxation des denrées, 1051 et sq ; 1132 ; 1238 ; 1251 ; 1255 ; 1260 ; son attitude en mai 1793, I315 ; 1318 ; 1329 ; 1358 ; 1387 ; 1422 ; 1424 ; son opposition à J. Roux, 1610 et sq ; son discours du 4 septembre 1793, 1671 ; son discours du 5 à la Convention, 1674 ; ses accusations contre Marie-Antoinette, 1695 ; sa lutte contre J. Roux, 1698 ; quelques tendances socialistes apparaissent chez lui à la fin de 1793, 1700 ; l’idée de la réquisition des fabriques, 1700 ; ses relations avec Fouché, 1702 et sq ; 1711 ; 1759 ; sa mort, 1799.

Chaumette (Mme). Emprisonnée en 1800), VI, 155 ; 200.

Chaumié. Son intervention pour les Boers, XII, 289.

Chaumont (V), II, 1061.

Chaurand (baron), XII, 96.

Chaussard-Lafustière. Républicain de Périgueux, VI, 200.

Chauvelin, 111, 800 ; IV, 964 ; nommé tribun, 51 ; VI, 60 ; VII, 148.

Chauvier (abbé). Élu représentant de la Commune de Paris, le 1e août 1789, I, 310.

Chauvière. Son rôle dans les réunions publiques, X, 328.

Chavagnac. Entrepreneur parisien en 1791, I, 613.

Chavent, rédacteur à l’Atelier, VIII, 368.

Chazal, tribun, VI, 161 ; éliminé, 161.

Chelles (V). Son cahier dénonce la complaisance des juges pour les glaneurs, I, 191 ; demande réglementation du droit de pâture, 193.

Chemalé. Au Congrès de la paix, X, 315 ; le premier procès de l’Internationale, 316 ; 324 ; dans les réunions publiques, 328 ; 330 ; 332 ; 334 ; délégué à Bâle ; 353 ; 354.

Chemin-Dupontès, libraire, protestant libéral, V, 185.

Chemins de fer. Comment on en accueille la nouveauté en 1837, VIII, 299 ; la discussion de 1838 sur l’exploitation par l’État et le régime général, 327 et sq ; la discussion de 1840 ; concessions et garanties d’intérêt, 378 et sq ; la discussion de 1842, 428 ; les concessions des différents réseaux, 439 ; IX, 68 ; 72 ; sous la République de 1848, 354 et sq ; le projet de loi de rachat de Duclerc, 355 ; la discussion dans les comités, 356 ; X, 35 ; la politique de Napoléon III, 5g ; la constitution des grandes Compagnies, 60 ; leur développement sous le second Empire, 60 ; constitution du réseau de l’État, XII, 216 ; les conventions de 1883, 242.

Chemu. Adversaire de Roux aux Gravilliers, IV, 1697.

Chénier (André), II, 942.

Chénier (Marie-Joseph), commissaire de section, 11, 1278 ; rapporteur du projet de Condorcet sur l’éducation, IV, 1490 ; ses œuvres, V, 218 ; 219 ; nommé tribun, VI, 51 ; éliminé du tribunal, 161 ; 474 ; ses œuvres, 499.

Chénon (Cf. Lavisse et Rambaud).

Chenu, IX, 133.

Chèpre, commissaire de section, II, 1277.

Cher (Dép.). Soulèvement en I790, V, 298 ; le fonctionnement des commissions mixtes, X, 28 ; XI, 376.

Chérasco (V, ). Armistice de 1796, V, 345.

Cherbuliez, X, 315.

Chéron-la-Bruyère, député à la Législative, II, 790 ; il proteste contre l’aliénation des forêts, II, 1086.

Chéron. Élu à la Commune, XI, 308 ; sa démission, 328.

Chéron. Un des soixante, X, 225.

Chérubini, musicien, V, 204 ; 225 ; VI, 510.

Chéry, secrétaire de la section du Contrat social, IV, 1261.

Chesnelong. XI, 107 ; XII, 114 ; 176 ; 199.

Chevalier, commissaire de section, II, 1277.

Chevalier (François), prêtre réfractaire, IV, 1151.

Chevalier. Notice sur le service des forges, V, 238.

Chevalier, chimiste, accusé de conspiration contre le premier consul, VI, 146.

Chevalier (Michel), saint-simonien, VIII, 84 ; 124 ; 186 ; 188 ; 166 ; son article sur le système méditerranéen, 195 ; son attitude dans le procès, 206 et sq ; sa condamnation, 207 ; 330 ; sa propagande libre-échangiste en 1848, IX, 168 ; 230 ; 271 ; 350 ; conseiller écoulé de Napoléon III, X, 55 ; 68 ; le traité de 1860, 127 ; il pousse à l’expédition mexicaine, 134 ; note le développement du machinisme, 168 ; 198 ; 267.

Chevaliers de la liberté, VII, 172 ; comment la société fut décimée, 176.

Chevrier, charpentier, X, 225.

Chevrier, VI, 128.

Chiché (V), V, 57.

Chigi, nonce, XI, 407.

Chine. L’expédition de 1860, X, 131 ; l’insurrection des boxers, XII, 301 ; l’expédition de Chine, son caractère international, 302.

Chiron, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416.

Chlopicki, général polonais, VIII, 138 ; ne sait pas défendre Varsovie, 138.

Choiseul-Praslin. Nommé sénateur, VI, 51.

Choisy-le-Roi (V.), V, 257.

Cholat. Arrêté le 2 décembre 1851, X, 2.

Cholet (V.), IV, 1146 ; V, 258 ; 541.

Choléra. Sa venue en 1832, VIII, 175 ; conditions d’insalubrité qui rendent ses ravages effrayants, 176 ; comment les partis en jouent, 177 ; l’épidémie de 1848, IX, 148.

Chômage. En 1792, II, 1036 ; organisation de travaux publics pour le combattre en 1799, VI, 226 et sq ; plaintes à la fin du premier Empire, 530 ; son développement par suite de la rareté des matières premières après le Blocus continental, 336 ; manifestation en 1831, VIII, 39 ; 102 ; Napoléon III veut le combattre par de grands travaux, X, 64.

Chopart. chirurgien, V, 215.

Choudieu. Porte le premier à la Législative le vœu de déchéance. II, 1251 ; 1278 ; 1281 ; 1286 ; 1289 ; 1292 ; III, 16 ; son action contre la Commune, 24 ; 34 ; 39 ; 44 ; 46 ; IV, 1137 : 1268 ; 1683 ; V, 39 ; 88 ; 294 ; 314 ; proscrit en 1800, VI, 154.

Chovin, X, 188.

Christe (Oscar), V, 500.

Christian IX (de Danemark), X, 249 et sq.

Christiani (baron), XII, 270.

Christianisme. Son adultération dans les principes de la Constitution civile, I, 546-547 ; sa rencontre avec la Révolution ne pouvait être reculée, 548 ; incertitude de la Révolution à son égard, à la fin de 1792, III, 223 et sq ; 236.

Christophle. Son intervention à propos de la loi municipale, XII, i3et sq ; ministre des travaux publics, XII, 195 ; 203.

Chronique de Paris, IV, 1069 ; 1190 ; 1240 ; 1247 ; 1251 ; 1254 ; 1262 ; 1290 ; 1316 ; 1322 ; 1324 ; i330 ; 1334 ; 1353 ; 1368 ; 1418, 1420, 1436 ; 1467.

Chuquet, 111, 159.

Cialdini. Occupe les légations, X, 122 ; 137 ; arrête Garibaldi â Aspromonte, 140.

Cicé (de), archevêque, Garde des sceaux, I, 658.

Cimetières. Leur entretien, de 1794 à 1800, V, 170.

Cinq (Les). Comment leur groupe fut constitué, X, 118 ; ils ne commencent vraiment à agir qu’avec l’affaire italienne, 118 ; leur activité au Corps législatif, de 1859 à 1863, 145.

Cipriani (Amilcare), XI, 362 ; au bagne, 491.

Cissey (général), XI, 424 ; 446 ; la guerre de Paris. 547 et sq ; 470 ; ministre de la guerre, XII, 107 ; 139 ; 150 ; 164 ; 172 ; ministre de la guerre, 174 ; ministre de la guerre, 196.

Cité (Section de la), IV, 1336 ; lance l’appel à l’insurrection le 28 mai 1793, 1359 ; 1364 ; 1387 ; V, 87.

Citoyen (Le), journal du premier Empire, II, 467, 468, devient le Courrier français, 470.

Circonscriptions électorales (Cf. Suffrage universel, éligibilité) Leur fixation par la Constituante, 1, 401 ; elle tient compte du territoire, de la population, de la richesse, 402.

Cisalpine (République) (Cf. Italie) ; les coups d’État contre elle en 1798, V, 491.

Clairfayt, général autrichien, IV, 1684.

Clairville, IX, 34.

Clamageran, X, 158 ; 225 ; 227 ; 284 ; 315 ; 328.

Clamart (V.). Les combats du 4 avril 1871, XI, 361 ; 433.

Clamecy (V.), II, 1067 ; comment il accueille le coup d’État de 1851, X, 18 ; la répression, 26.

Claretie (Jules). Les derniers Montagnards, V. 94, 96 ; X, 324 ; XII, 34.

Clapeyrou, saint-simonien, VIII, 206.

Clarke, VI, io5 ; son incapacité en 1814, VII, 3.

Classes (Cf. Bourgeoisie, Prolétariat). Comment beaucoup voulaient désormais en nier l’existence en 1789-91, I, 627 ; premiers antagonismes de la Révolution ; ils se manifestent entre consommateurs et marchands, II, 999.

Claugier, commissaire de section. II, 1278.

Clausel. Renvové devant un conseil de guerre, VII, 78 ; 112.

Clausel de Coussergues. Demande en 1820 la mise en accusation de Decazes, VII, 140 ; 158.

Clauzel, député à la Convention, V, 72.

Clauzel (Maréchal). Son rôle le 5 juin 1832, VIII, 180 ; son programme de conquêtes en Algérie, 250 ; ses opérations, 251 ; 392 ; 326.

Clavier, membre du Comité de salut public de Nantes, I, 416 ; conseiller municipal de Nantes, 430.

Clavière, financier de la Gironde, II, 1021 ; ses propositions sur la liquidation des offices et les assignats, 1022, 1031 ; renvoyé du ministère, 1184 ; renommé ministre le 10 août 1792, 1299 ; banquier genevois, 111, 649 ; exilé, 650 ; devenu ministre en France, il était prêt à sacrifier l’indépendance de Genève à sa haine de l’aristocratie, 656 ; décrété d’arrestation le 2 juin, IV, 1447.

Clémence, relieur, X, 3r 1 ; élu à la Commune, XI, 308 ; 430, 431 ; 439. Clémenceau (Dr), X, 181.

Clemenceau (Georges), X, 152 ; 234 ; maire de Montmartre, XI, 276 ; 287 ; 409 ; son rôle et ses tentatives de conciliation en avril-mai 1871, 410 et sq ; 415 ; élu conseiller municipal de Paris en juillet 1871, XII, 17 ; 183 ; défend l’élection de Blanqui, 226 ; rompt avec Gambetta, son programme de Marseille, 228 ; 233 ; 252 ; son rôle dans la grève de Carmaux, 262 ; 267.

Clément, cordonnier, ses idées révolutionnaires, X, 165.

Clément (Em.). Élu à la Commune, XI, 308 ; 430.

Clément (J. -B.). Élu à la Commune, XI, 308 ; 311 ; 313 ; 386 ; 430 ; 463 ; 466 ; XII, 208.

Clément (Victor). Élu à la Commune, XI, 308 ; 430 ; 431 ; 439 ; 484 ; 487 ; XII, 36.

Clément de Ris. Nommé sénateur, VI, 51 ; enlevé, 158.

Clere, jésuite, sa mort, XI, 459.

Clerex, tailleur, babouviste, V, 305 ; 327.

Clergé (Cf. Église, Catholiques, Concordat, etc.). Ses droits électoraux pour les élections des États généraux favorisent l’influence de la plèbe ecclésiastique, 1, 150 ; d’où l’attitude révolutionnaire d’une partie de la représentation ecclésiastique, 150 ; la lutte entre le haut et le bas clergé va si loin que le bas clergé propose d’hypothéquer les biens ecclésiastiques, 174 ; se constitue en ordre distinct, 235 ; puis songe à négocier, 236 ; divisé contre lui-même, 239 ; le haut clergé propose de s’occuper des subsistances, 239 ; sa division, 242 ; le bas clergé décide, de se réunir au Tiers, le 19 juin 1789, 244 ; il y vient le 22, 246 ; comment sa propriété — et en particulier la dîme — est tort menacée au 4 août, 287 ; il proteste contre les mesures prises, 288 ; ses résistances aux assignats, 460 et sq ; attaqué par Hébert, II, 1053 ; état d’esprit où le placent les lois sur l’état-civil, le divorce, le projet de suppression du budget des cultes, III, 218 et sq ; comment il tente d’utiliser les troubles économiques en 1792, 320 et sq ; comment il tente de s’emparer de l’enseignement de 1794 à 1800, V, 191 ; son organisation d’après le Concordat, VI, 84 ; sa servilité sous le premier Empire, 370 ; ses prétentions en 1815, VII, 106 et sq ; mouvement contre lui en 1830, VIII, 36 ; son impopularité croissante en 1837, 335 ; son entente avec le Gouvernement, 336 ; reconquiert la bourgeoisie, 338 et sq ; gages que lui donne Louis-Philippe en 1841, 412 ; faveurs qu’il reçoit après le Coup d’État, IX, 226 ; les pétitions de 1871, XII, 26 ; son activité anti-républicaine en 1875, 176 ; la recrudescence d’agitation contre Jules Simon, 200.

Clermont-Ferrand (V.), IV, 1682 ; V, 429 ; VI, 20 ; VIII, 271.

Clermont-Gallerande, VI, 184.

Clermont-Tonnerre. S’oppose à ce qu’on reçoive la première délégation du peuple, I, 256.

Clermont-Tonnerre (de), VII, 227.

Clévilliers-le-Marteau (V.). Proteste contre la concentration capitaliste du fermage, I, 216.

Clinchant, général, la guerre de Paris, XI, 449 et sq.

Clisson (V.), IV, 1146 ; entrevue entre les chefs vendéens et les représentants en mission, V, 63.

Cloche (La), X, 329.

Clodion. sculpteur, V, 224.

Clootz (Anacharsis). Il critique en grand banquier la loi agraire de Momoro et Dufour, III, 143 et sq ; IV, 929 ; ses idées sur l’organisation politique unitaire de la planète, 1512 et sq ; elles sont excentriques à la Révolution, 1512 ; ses idées essentielles ; universalité des Droits de l’Homme, unité physique de la terre, unité de l’Humanité, 1513 et sq ; ce n’est pas un rêveur, 1521 ; mais il a posé et non résolu le problème, 1522 ; ses idées sociales, 1524 et sq ; sa confiance dans l’avenir, 1527 ; 1707 ; sa politique de guerre en I793 ; il va à l’hébertisme par esprit de système, 1721 et sq ; rejeté des jacobins, 1737 ; adjoint aux Hébertistes arrêtés, 1764 ; sa mort, 1766.

Clôture (Edit de), 1766 ; combattu par les paysans, I, 187.

Clubs. Leur activité en 1848, IX, 22 ; leur régime après 1848, 92 ; la guerre aux Clubs après décembre 48, 129.

Club de Clichy. Club royaliste, V 295 ; 354 ; prépare les élections en 1796, 364.

Club électoral. Reconstitué après le 9 thermidor, V, 24 et sq ; défendu par Babeuf, 30 ; expulsé de son local, 31 ; persécuté par la Convention, 37 ; ses papiers mis sous scellés, 38.

Club de l’Evêché (Cf. Evêché).

Club de la Révolution. Club de Barbés en 1848, IX, 24.

Cluseret, X, 324 ; signataire de l’affiche rouge, XI, 256 ; 342 ; appelé à l’administration de la guerre, 366 ; son rôle au ministère de la guerre du 2 au 30 avril 1871, 382 et sq ; son passé, 383 ; alors qu’il fallait les qualités les plus hautes pour détendre la Commune, il n’eut pour modèle que Trochu, 384 ; sa réorganisation de la garde nationale, 384 ; son impuissance, 385 ; son apathie et son indolence, 385 ; quelle fut sa culpabilité, 386 ; 388 ; son erreur sur la tactique à suivre, 395 ; accusé de trahison et arrêté, 427 ; 446 ; 451.

Cluses (V.), V, 258.

Coalitions (Cf. Grèves).

Coalition (Deuxième). Contre la France, comment elle est préparée, V, 498.

Coalition (Troisième). Contre la France, (1804-1805), VI, 204 et sq.

Cobden (Richard), IX, 35i ; le traité de 1860, X, 127.

Cohentzel, négociateur autrichien, VI, 114.

Cobbet (William), chef du réformisme social après 1815, se réclame de Paine, III, 758.

Cobourg (prince de), IV, 1084.

Cochers de fiacre, V, 44.

Cochery, XI, 176.

Cochery, XII, 227 ; élu président de la commission du budget, 302.

Cochin (Augustin), IX, 177 ; X, 184 ; 234.

Cochin (Denys), XII, 289 ; 301.

Cochinchine, XII, 234. Cochon, ministre de la police générale, V, 294 ; 314 ; 316 ; 323 ; 324 ; 329 ; 412.

Cochu, ajusteur, un des soixante, X, 225.

Code civil. Le projet de la Convention, IV, 1642 et sq ; son histoire, V, 159.

Code criminel. Code des délits et des peines voté par la Convention ; ses dispositions, V, 159 et sq.

Code de commerce. Projets et études sous la Convention et le Directoire, V, 159 ; sa rédaction de 18o6à 1808, VI, 280.

Coëtlogon, XI, 295.

Cœurderoy, X, 162.

Coffinhal, juge à la Haute-Cour de Vendôme, V, 323 ; 330.

Cohadon, maçon, X, 224 ; 234.

Cohendet, commissaire de section, II, 1277.

Coiffeurs, VI, 539 ; ordonnance les concernant sous le premier Empire, 550 et sq.

Coignet (François), IX, 230 ; 337 ; 344.

Colchen, préfet de la Moselle, VI. 452 ; 558.

Coleridge. Son Ode à la France, III, 763.

Colfavru, IX. 22 ; 306.

Colin (capitaine J.), V, 342.

Colins. Ecrit en 1843 les premières par- ties de sa Science sociale ; la rente du sol, source de toute exploitation, VIII, 481 ; il a laissé le mot collectivisme, 482 ; IX, 231, 232.

Cockhuru, amiral, gardien de Naples, VII, 65.

Collectivisme. Les décisions du Congrès de Bruxelles, X, 334 ; le but collectiviste est affirmé ; les moyens restent proudhoniens, 335 ; le collectivisme et le mutualisme au Congrès de Bâle, 353 et sq.

Collèges. Leur organisation de 1794 à 1800, V, 193.

Collège de France, V, 206.

Collin, commissaire de section, II, 1277.

Collin, poète. Son œuvre en 1813, VI, 419.

Collin de Sussy, administrateur des douanes, VI, 316.

Collombel, V, 139.

Collot-d’Herbois, commissaire de section le 3 août 1792, II, 1277 ; député de Paris à la Convention, III, 105 ; demande l’abolition de la royauté, 175 ; IV, 1268 ; 1603 ; 1611 ; membre du Comité de Salut public, 1681 ; 1690 ; son rôle à Lyon, 1717 ; il représente l’hébertisme dans le Comité de Salut public, 1718 ; son retour de Lyon, 1744 ; 1746 ; 1751 ; pourquoi il applaudit A l’action de Saint-Just contre les hébertistes, 1754 ; 1760 ; 1762 ; 1804 ; 1808 ; 1812 ; 1814 ; son rôle au 9 thermidor, 1817 et sq ; V, 42 ; 72 ; 88 ; 96 ; 148 ; 423.

Colman, commissaire de section, II, 1277.

Cologne (V.), III, 451 ; l’évêque et ses mendiants, 468.

Colombes (V.), 1, 431.

Colonies (Cf. Algérie, Cochinchine, etc.). Leur commerce avec la métropole vers 1789, I, 50 ; rôle des coloniaux dans la Révolution, 50 ; les propriétaires de couleur, réclament a la Constituante le bénéfice des Droits de l’Homme, 387 ; ils placent la Constituante entre la Déclaration des Droits et les intérêts brutaux, 56o ; les colons voudraient être hors du droit commun nouveau ; embarras de la bourgeoisie révolutionnaire, 562 ; le décret de Barnave semble résoudre la question, 564 ; mais il amène au contraire des troubles aux colonies, 567 ; la Constituante abandonne les hommes de couleur, 568 ; mais en 1791, elle y revient, 570 ; décret de mai 1791, 572 ; les intrigues des coloniaux le font retirer, 574 ; la première meurtrissure de la conscience révolutionnaire bourgeoise vient de cette question, 574.

Le commerce avec la France a fléchi à la fin de 1792, III, 262 ; colonies perdues pendant la guerre de 1794-95, V, 55 et sq ; l’organisation coloniale de 1794 à 1880, 174 et sq ; la France perd ses colonies en 1814, VI, 329 ; l’opinion leur était hostile, XII, 241 ; développement du colonialisme aux environs de 1881, 234 ; les débats entre les partis, 234 ; l’anticolonialisme n’a pour la plupart qu’une valeur d’opposition au gouvernement, 235.

Colportage. Loi de 1877, XII, 215.

Colza. Sa culture, de 1794 à 1800, V, 274.

Combalot, VIII, 499. COMBAULT — 40— COMMISSAIRES Combault, membre de la deuxième commission de l’Internationale, X, 319 ; 340 ; 376 ; le troisième procès de l’Inter- nationale, 390 ; directeur des contribu- tions indirectes sous la Commune, XI, 396. Combe (V.). Château incendié en 1789, I, 275. ’ Combes, socialiste, X, 330. Combes-Dounous, membre des Cinq- Cents, V, 567. Combler. La justice criminelle à Laon, V, 284 ; 323. Comédlr- Fraiifaine. Son histoire, de 1794 à 1800, V, 225. Comelle-sous-Scuvray (V.). Lia pa- roisse se plaint de sous-locations des grands fermiers, I, 218. Comité d’assistance. Remplace le Comité du Travail en 1849, IX, 290. Comité central des corporations. Son rôle à Paris en décembre 1851, X, 10. Comité central démocratique européen. Son fonctionnement à Londres de 1850 à 185g. X, 96. Comité central républicain des 20 arron- dissements. Sa constitution, XI, 254 ; ses demandes au gouvernement, son affiche rouge, 254 ; son rôle le 22 jan- vier, 203 ; presque dissous en février 1871, 270. Comité central de la Garde nationale. Sa constitution et son rôle en février 1871, XI, 272 ; l’entrée des Prussiens, 273 ; son autorité à cette époque, 274 ; il recon- quiert les canons, 274 ; organisation définitive de la Fédération au début de mars, 275 ; son incapacité le 18 mars, 283 ; son idée légalitaire tue l’insurrec- tion, 284 ; ses pourparlers avec les maires, 286 et sq ; sa justification du 20 mars, 288 ; sa circulaire à la France, 2g3 ; il se décide à parler plus haut le 23 et annonce irrévocablement les élections pour le 3b. 297 ; il s’abstient de toute pression sur les électeurs à la Commune, 307 ; il aurait été cantonné dans son rôle si la Commune avait eu une admi- nistration, 336 ; ses démêlés avec Rossel, 434 ; sa proclamation fraternelle aux soldats de Versailles, 453 ; 457. Comités civils. Caractère de cette institution, IV, 1234. Comité de Défense générale. Son action et son insuffisance, 4V, 1122 et sq. Comité général des Organisations socia- listes en 1899, XII, 297. Comité de Protestation nationale. Organe du mouvement boulangiste, XII, 262. Comité de Résistance. Société secrète de 1850, IX, 211. Comités révolutionnaires. Leur création dans les sections, IV, 1235 ; la Convention règle leurs droits, 1236 ; V, 24 ; 26 ; leur caractère et leur rôle, 34 ; leur quasi-anéantissement en 1795, 97. Comité de Salut public. Ses origines, IV, 1 12t ; sa fondation, 1126 et sq ; constitué le 6 avril 1793, 1189 ; fait une tentative de conciliation entre les Girondins et les Montagnards, le 29 mai 1793, 135g ; im- puissant à prévenir l’insurrection du 31mai, 1377et sq ; 1433 ; 1623et sq ; devient en septembre la grande force de régulation et d’impulsion, 1680 ; sans cesse guetté par l’intrigue tandis qu’il mène la lutte révolutionnaire, 1690 et sq ; consolidé par la loi du 10 octobre 1793, 1724 ; l’assaut contre lui le 25 septembre 1793, 1729 ; le rapport du 8 ventôse an II est son manifeste révolutionnaire, 1746 ; effet de ce rapport, 1751 ; il sent qu’il peut agir contre l’hébertisme, 1762 ; son action, 1763 et sq ; les terroristes du Comité, après la mort d’Hébert exigent celle de Danton, 1767 ; son influence sur l’armée, 1771 ; son état après la loi de prairial, 1814 ; V, 24. Comité de Salut public. Sous la Com- mune, XI, 428 ; son institution était né- cessaire, 428, mais elle venait trop tard, 430 ; la discussion sur sa création, 430 et sq ; mal composé, 431 ; l’œuvre du second Comité, 436 et sq ; son im- puissance contre la conspiration diffuse contre la Commune, 438 ; 449 ; sa pro- clamation fraternelle aux soldats de Ver- sailles, 433. Comité de la rue Turbigo, XII, 23. Comités de surveillance, de la Commune, septembre 1792, III, 6get sq ; tentatives pour les grouper sous la sur- veillance de la Convention, IV, 1260 : reliés à la Convention par la loi du 17 septembre 1793, 1723. Comité « lu travail. A la Constituante de 1848, JX, 64 : son rôle dans la disso- lution des ateliers nationaux, 65 ; son œuvre, 289. Commerce. Son développement à la fin du xvni 1 —’ siècle, I, 43 et sq, attesté par lord Chesterfield, 48 ; son état de 1789 à 1792, 602 ; ilestprospère jusqu’à laguerre, 6o3 ; sa prospérité au début de 1792, II, 958 ; pendant le second semestre de 1792, ’ 111, 259 ; son développement de 1794 à 1800, V, 226 et sq ; les divers genres de commerce, 227 ; importation et exporta- tion, 227 ; son développement de 1800 à 1807, 282 et sq ; il subit le contre-coup du blocus continental, VI, 334 et sq ; la situation du commerce en 1848, IX, 335 ; son mouvement sous la République de 1848, 348 ; la stagnation de 1867, X, 303 ; sa situation en 1871, XII, 3 ; la clause de Francfort, 3. Commissaire (Sébastien), IX, 52 ; 139 ; t5i ; 208 ; 226. Commissaires « 1« * la Conventi« »n. 4 COMMISSAIRES — 41— COMMUNE Envoi de 82 commissaires dans les dé- parlements, IV, ii36 ; ce sont des Mon- tagnards, 1137. CommiNNalroM de la République. En 1848, ils ne font souvent que com- promettre les radicaux, IX, 47. Commission des Dou^e. Constituée le 18 mai 1793, IV, i31o ; son attaque à propos de la.réunion des délégués des comités révolutionnaires, i312 ; elle veut placer les sections sous la surveillance de la Convention, i316 ; supprimée, 1353 : ré- tablie le 29 mai, 1362 ; Cf. journée du 31 mai ; cassée, 1419 ; ses membres dé- crétés d’arrestation le 2 juin, 1447. Commission exécutive. De 1848 ; sa nomi- nation, IX, 50 ; son rôle dans la disso- lution des Ateliers nationaux, 64 et sq ; sa volte-face à ce sujet après le départ de Thomas, 67 ; pourquoi elle se rejette à gauche. 68 ; le projet d ; décret Falloux, 70 ; elle propose des travaux publics, 72 ; sa démission pendant les journées de juin, 80. Commission exécutive de la Commune. Véritable gouvernement de la Commune, rôle surhumain qui lui incombe, XI, 342 ; la sortie du 3 avril, 355 ; la Com- mission ne l’empêche ni ne l’ordonne ; conditions qu’elle exige pour une sortie, 356 et sq ; son autorité ruinée après le désastre des 3 et 4 avril, 377 ; sa dispari- tion ; comment le conseil général la rem- place, 387 ; c’est la ruine du pouvoir central, 388. C« nimismon<t mixtes. Leur institu- tion, leur œuvre, X, 28 et sq. Communaux (Biens). Leur confis- cation, I, 200 et sq ; l’édit de 1777 la favorise, 200 ; les paysans sont divisés sur le sujet du partage, 201 ; le Tiers- État est tiraillé entre le désir d’arracher aux seigneurs les communaux usurpés et celui d’affirmer par le partage la pro- priété individuelle, 210 ; la question reparait à propos de l’aliénation des forêts, II, io85 ; 1087 ; la Législative rend un décret de principe, i306 et sq ; com- ment la Convention règle la question, IV, 1578 et sq ; les idées du Comité d’agriculture, 1579 ; la loi égalitaire du 10 juin, 1628 ; campagne de Babeuf à leur sujet, V, 15 ; la question est encore discutée aux Cinq-Cents, 166. Commune de’Paris (Cf. Paris). A) SOUS la Révolution. La Com- mune révolutionnaire se substitue à la Commune légale, le 10 août 1792, II, 1290 ; reconnue par la Législative, 1294 et sq ; son pouvoir après le 10 août, III, 1 et sq ; ses arrêtés en août 1792, 9et sq ; son désaccord croissant avec la Légis- lative, 16 ; sa proclamation le 12 août, 17 ; 18 ; son rôle du 10 août au 2 sep- tembre ; sa lutte avec la Législative, 16 et sq ; comment la Législative tente de la fondre dans une grande Commune légale, 41 ; sa responsabilité dans les massacres de septembre, 53 ; elle se sou- met aux décisions de l’Assemblée, le soir du 3 septembre, et se modère, 86 et sq ; fait effort pour rassurer, après les massacres de septembre, 90 ; ses mesures anticléricales, 219 ; en conflit avec la Convention sur le scrutin à haute voix, 390 et sq ; résumé de son œuvre depuis le 10 août, IV, 999 ; elle manifeste avec les fédérés, 1002 ; son rôle le 25 février 1793, io35 ; la Commune provisoire fait procéder à son institution définitive, 1043 et sq ; son initiative dans la demande de proscription contre les députés, 1199 ; ses incertitudes sur le sujet des subsis- tances, 1240 et sq ; sa situation à la fin de mai, 1247 et sq ; elle organise le mou- vement contre la Gironde, 1250 et sq ; ses interventions dans les sections, 1250 ; comment elle développe son contrôle sur tous les citoyens et les administra- tions, 1252 ; sa situation en face du club de l’Evêché, 1256 ; son effort pour con- centrer les forces révolutionnaires, 1260 et sq ; la séatïce du 15 mai, 1262 ; com- ment elle soutient les attaques de la Commission des Douze, le 24 mai 1793, 1316 ; lanuit du 24au 23 mai, I316et sq ; sa séance du 25 mai au soir, 1329 ; cordialement unie à cette date en face de la Convention déchirée, 1331 ; sa séance dans la nuit du 27 mai 1793, 1356 ; mais le signal de l’émeute ne part pas d’elle, i35g ; elle ne veut pas prendre les res- ponsabilités dans la nuit du 29 au 30 mai, 1371 ; sanuit du 30 au 31 mai, i38o ; son attitude d’attente, 1384 ; sus- pendue par les sections, 1387 ; puis réintégrée apmme Conseil général révo- lutionnaire, 1388 ; comment on évite ainsi le choc entre puissances rivales, i39o ; sa crainte d’être débordée par les Enragés, le 30 mai, 1399 ; tactique qu’elle suit avec eux, 1400 ; sa situation le soir du 3t mai, 1422 et sq ; une heure d’im- puissance et d’hypocrisie, 1425 ; son arrêté du 17 novembre 1793, 1711 ; mais elle chante palinodie, 1712 ; son rôle en mars 1794 vis-à-vis des Hébertistes, 1759 ; toute dévouée à Robespierre jusqu’au 9 thermidor, 1815 ; son œuvre, 1820 ; la Commune robespierriste n’est pas soute- nue, V, 22 ; elle est remplacée par des Commissions, 24. B) Commune de 1871. Sa place dans l’histoire du prolétariat, I, 5 ; XI, 248 ; elle surgi six mois trop tard, 249 ; sa devancière révolutionnaire n’avait triom- phé qu’en luttant à la fois contre les forces de l’étranger et les contre-révolu- tionnaires, ’250 ; (Cf. Commune, Con- seil général) ; la sortie du 3 avril, 353 et sq ; la défaite, le 3 avril 1871, incombe aux généraux qui n’ont rien su prévoir, 36o ; les mesures après le 4 avril, XI, 366 ; les otages, 366 ; pourquoi le mouve- ment communaliste a échoué en proCOMMUNE — 42— COMPAGNONNAGE vincc ; il manquait à la Commune une caution bourgeoise, 376 et sq ; le dévoue- ment des gardes nationaux aux avant- postes, 39o et sq ; les otiiciers choisis après le3 avril sont des hommes capables, 391, mais l’armée n’est plus si bien orga- nisée, 392 ; comment on sacritia l’élite des combattants, 395 ; l’œuvre adminis- trative dans les Commissions et dans les délégations, 395 et sq ; les tentatives de conciliation en avril-mai 71, 408 et sq ; en avril la bourgeoisie républicaine et aisée se contente de taire appel de Thiers mal informé à Thiers mieux informé, 411 et sq ; au fond elle a peur du Socia- lisme, 412 ; l’idée du Congrès des muni- cipalités en 1871, 440 ; l’abdication de la gauche parlementaire achève de perdre la Commune, 441 ; l’entiée des Versail- lais dans Paris, 444 et sq ; la lutte derrière les barricades, 447 ; quartier par quartier, 448 ; les incendies, 456 ; qui en porte les responsabilités ? 357 ; la tin, 460 ; la ré- pression, 467 et sq ; comment moururent les hommes de la Commune, 473 ; au bagne, 483 et sq ; les proscrits, 488 ; quelques considérations, 494 et sq ; oui, la commune fut un mouvement mêlé, patriote, républicain, décentralisateur, 494 ; mais elle fut surtout prolétaire et par là même socialiste, 495 ; le moment où elle éclata fit qu’elle le fut presque exclusivement, 495 ; mais la classe Ou- vrière n’était pas prête pour l’œuvre colossale qui s’imposait et la défaite a mieux valu peut-être, 496. Suite de la répression, XII, 31 et sq. (’omnium’ ^’oiiNcil géiiéral de laj ou simplement Commune. Son élection, XI, 306 ; les tendances diverses, 308 ; elle ne réalise pas l’idée de la Cor- derie, 31o ; pourquoi Paris l’aima, 31o et sq ; ses membres étaient des victimes mais aussi des lutteurs et d’honnêtes gens, 311 ; la manifestation du 28 mars, 312 ; sa première réunion, 313 ; les pre- mières séances, d’après le procès verbal, 315 ; elle semble incohérente, 326 ; mais elle se trouve devant le néant, 327 ; les éléments bourgeois démissionnent, 328 ; Jacobins et fédéralistes, 330 ; il ne faut pas prendre l’opposition d’une manière trop absolue, 330 ; débat sur la publicité des séances, 330 ; comment va-t-elle se définir en face de Versailles, 331 ; majo- rité centraliste et minorité, 332 ; comment la majorité était paralvsée ; caractère des éléments qui lacomposaicntet conditions terribles où elle se débat, 334 ; les organes d’administration font défaut, 335 ; d’où son impuissance et la réapparition du Comité central, 336 ; en face de quelle œuvre immense elle se trouvait, 336 ; le petit personnel lui est fidèle, mais les cadres manquent, 338 ; elle veut être en effet un gouvernement à bon marché, 338 ; enfin la classe ouvrière n’est pas encore capable de l’aider dans cette tâche énorme, 339 ; née six mois plus tôt elle n’aurait pas connu ces difficultés, 340 ; ses efforts d’organisation, 342 cl sq ; elle devient après le 3 avril un Parlement bavard, 378 ; son abdication en matière financière, 38o et sq ; l’absence des délé- gués les plus capables la rend impuis- sante, 386 ; sa politique : il lui était im- possible d’inaugurer délibérément une politique socialiste, 419 et sq ; sa décla- ration au peuple français, 422 ; elle ne peut être considérée comme l’aflirmation de principes de la Commune, 422 ; com- ment elle fut élaborée, 423 ; son socia- lisme était tout entier dans sa lutte armée, 424 ; la lutte de la majorité contre la minorité, 439 ; la minorité se retiie le 16 mai, 439 ; juge Cluseret pendant qne les Versaillais entrent à Paris, 447 ; 457 ; à la mairie du XI e , 468 ; la réunion du jeudi, 463 ; à la mairie du XX 1 ’, 464. Communes (Cf. Municipalités, Maires, etc…). Leurs finances sous le Directoire, V, 164 et sq ; régime qu’on leur impose sous le Consulat, VI, 58 et sq ; projet de loi Martignac sur leur or- ganisation, VII, 228. Commune de Paris (La). Journal de 1848, IX, 23 ; 5t ; 235. Commune révolutionnaitc (La). Société secrète sous l’Empire, X, 87 ; 96 ; ses tentatives de 1854, 99. Communisme. Opposition du commu- nisme moderne et du communisme ru- dimentaire des glaneurs de l’ancien ré- gime, I, 190 ; mouvement instinctif en 1789 de ceux qui comprennent trop tôt, 276 ; son alliance indispensable avec l’individualisme paysan, 520 ; comment la puissance politique croissante du peu- ple l’annonce dès 1792, II, 1116. Communistes. Leur rôle dans les grèves de 1840, VIII, 366 ; leurs relations avec les républicains en 1840, 386 ; la masse est groupée autour de Cabet en 1843, 456 ; leurs relations avec les répu- blicains à cette époque, 457 ; le procès de Tours, 539. Comonfort, X, 135. Compagnie des Eaux (de Paris) au XVIII » siècle, I, 46. Compagnie des Indes, IV, 1661 ; 1739. Compagnonnage. Il n’y a aucune trace de son action en 1789, I, 141 ; il avait été cependant persécuté au XVIIIo siè- cle, 142 ; mais il était paralysé par ses luttes intestines, 143 ; son développe- ment, de 1794 à 1800, V, 265 ; son déve- loppement à l’époque du Consulat, VI, 243 ; sa survivance, son rôle sous le pre- mier Empire, 562 et sq ; les batailles, 564 ; ses rites et ses luttes ; Gavots et Dé »fo- rints, VIII, 227 et sq ; les noms, 230 ; les chansons, 231 ; dès 1848 il est con- damné, IX, 284 ; sa décadence se confirme sous le second Empire, X, 188. COMPAGNON — 43— CONGRÉGATION Compagnon, X, 184. "j Compagnons du Soleil, V, 98. Compagnons de Jésus C’est le vrai nom des Compagnons de Jéhu, V, 98. Compan (Général), VII, 2. Comptoirs « l’Escompte. Etablis en 1848, IX, 336 ; leur fonctionnement, 337. Comtat Ycnaissiit (Cf. Avignon). Comte (Auguste), I, 533 ; son erreur sur le spirituel et le temporel, 534 ; saint- simonien, VII, 260 ; disciple de Saint- Simon, son œuvre, VIII, 84 ; son opinion sur le saint-simonisme, 194 ; IX, 16 ; 231 ; 238 ; 256. Conciles (V.). Dans l’Eure, II, 1072. Conciles. Concile de Paris réuni par Napoléon I" en 1811, VI, 377 (Cf. Va- tican). Concordat, VI, 64 ; il procède unique- ment de la volonté de domination de Bonaparte, 73 ; comment il fut conclu, 75 et sq ; ses dispositions, 82 et sq ; sa ratification, 92 ; son acceptation par le Tribunal et le Corps législatif, 96 ; le Te Deum de Noire-Dame, 97 ; jugement d’ensemble, 98 ; le Concordat de 1813, 3^8 ; projet de modification en 1814, VII, 124 ; idée de revision en 1848, IX, 192. Concussionnaires, VIII, 436 et sq. Condé (Prince de), I, 678 ; V, 120 ; VI, 186. Coudé (Prince de), le lils, son héritage, VIII, 46. Condé (V.), IV, 1634 ; V, 44. Condé-sur-Vesgre (V.). L’expérience du Phalanstère, VIII, 321 et sq. Condillac, V, 217. Condorcet. Elu à l’Assemblée des repré- sentants de la Commune de Paris, le 31 août 1789, I, 3n ; proteste contre la loi du marc d’argent, 431 ; combat l’assignat- monnaie, 470 ; affirme en 1791, la Répu- blique comme l’immédiate nécessité, 721 et sq ; il reconnaît l’utilité passée de la royauté, 724 ; la nécessité, pour la Répu- blique, d’une politique de paix, 725 ; 432 ; il se résigne à la guerre, mais tente de la concilier avec la philosophie de la paix du xvm e siècle, II, 884 et sq ; il s’efforce d’épurer la guerre, le 17 jan- vier 1792, 909 ; il développait son plan d’instruction publique au moment où Louis XVI vient à la Législative pour la déclaration de guerre, 954 ; 1037 ; préoc- cupé dès 1792 du problème de la misère, il exprime déjà sa grande conception mutualiste, 1114 ; étude de ce plan, 1134 et sq ; il le formule au moment où l’on pressent de prochains changements dans la Révolution, d’où son souci de conser- ver la liberté de la critique, 1138 ; son effort pourorganiser la hbertéà l’intérieur de l’enseignement national, 1143 ; ses idées sur l’antiquité, 1144 ; son souci de sauver la pensée ouvrière, réduite à la stupidité par le machinisme, 1152 ; juge- ment d’ensemble sur son plan, 1154 ; il ne songe encore qu’à mêler les classes, 1155 ; 1286 ; obligé de se défendre le 3 septembre 1792, III, 62 ; 73 ; élu à la Con- vention, 98 ; 212 ; il combat le projet de suppression du budget des cultes, 242 ; 247 ; 272 ; 291 ; 299 ; ses idées sur l’équi- libre des prix et des salaires, 314 et sq : il blâme la campagne de Buzot contre Paris, 396 ; sa sévérité pour la Gironde, après ses attaques contre Robespierre, 423 ; conduit, malgré ses idées de liberté pour chaque peuple, à approuver le sys- tème révolutionnaire de Cambon, 564 et sq ; son vote contre l’appel au peuple, IV, 935 ; son vote contre la mort du roi, 949 ; 966 ; ses préoccupations sociales au début de 1793, 1006 ; il continue de sou- tenir en février-mars 1793 l’idée de la li- berté commerciale, 1047 et sq ; ne voit pas le péril de la révolution en mars, 1090 ; 1131 ; son plan d’éducation, 1466 et sq ; 1583 ; son plan de constitution est atténué par les Montagnards, 1584 ; 1670 ; dénoncé à la Convention il écrit le Ta- bleau des Progrès de l’Esprit Humain, 1786 ; son pressentiment de la grande révolution humaine qui a commence, 1787 ; sa crainte du resserrement censi- taire de la Révolution et de la démocra- tie, 1791 ; place qu’a dans son système, lapréoccupation de l’égalité sociale, 1793 ; il donne à la Révolution toute sa gran- deur, 1796 ; XII, 30g. Concffie, entrepreneur parisien en 1791, 1, 613. . Confédération du Rhin. Sa situa- tion en 1809, VI, 382 ; sa ruine en 1818, 439. Confédération générale du Travail. XII, 312. Congo, XII, 234. Congrégations. Politique de Napo- léon I" a leur égard, VI, 376 ; le minis- tère Villèle ne peut soustraire les congré- gations de femmes à l’autorisation de la loi, VII, 206 et sq ; VIII, 515 ; leur déve- loppement à la fin du règne de Louis- Philippe, 558 ; le projet de loi de février 1847, 558 ; part que leur fait la loi Fal- loux, IX, 181 ; leur rôle dans l’enseigne- ment primaire, X, 72 ; leur développe- ment croissant sous le second Empire, 72 ; l’article 7, XII, 225 ; les décrets de Ferry et l’agitation qu’ils provoquent, 227.* Congrégation (La). Son institution et son rôle, VII, g5 ; développement de son œuvre, 167’et sq ; ses filiales, 168 ; elle s’empare de l’enseignement, 169 ; et du roi, 170 ; son action pour la guerre espa- gnole, 187 ; tableau de son activité tou- jours croissante, 214. LIV. 8. — HISTOI RE SOCIALISTE. — TAULE ANALYTIQUE. — LIV. 7. CONGRÈS — 44— CONSTITUANTE Congrès (Voiries noms des villes où ils furent tenus). Congrès de la Paix. Organisé en 1840, IX, 238. Coiinrau, ami de Cavour et de Napo- léon ni, x, 108 ; 115.5 Conquête des pouvoirs publies. La question au début de l’Internationale, X, 291 ; 312. Consalvi. Son rôle dans les négocia- tions du Concordat, VI, 79 et sq ; 96. Conscription. L’idée émise par la Convention, IV, 993 : établie par le Di- rectoire, V, 174 : 497 ; loi nouvelle après le 30 prairial, 534 ; rigueur de son appli- cation à partir de 1807, VI, 361 ; terreur qu’elle cause dans le pays, 362 ; opéra- tions de 1813 à 1814, 411 ; 464 ; V’II, 38. Conscription maritime. Sous le premier Empire, VI, 464. Conseil, agent provocateur de Thiers en Suisse, VIII, 292. Conseil des Anciens. Sa composi- tion et ses pouvoirs, V, i3t ; son ouver- ture, 281, Conseil des Cinq-Cents. Sa com- position et ses pouvoirs, V, i31 ; son ouverture, 281, Conseil général du Commerce. Sous le premier Empire, son activité, VI, 279 et sq. Conseil d’État. Son rôle dans la Constitution de l’an VIII, VI, 38 ; com- ment Bonaparte le compose en 1800, 49 ; sa situation dans la Constitution de l’an X, 170 ; sa section de commerce créée en 1804, 280 : 409 ; rôle que lui attribue la Constitution de 1848, IX, 110. Conseil de l’Instruction pu- blique. Etabli sous le Directoire pour l’examen des livres classiques, V, tg3. Conseiller du Peuple {Le), IX, 196. Conseils de guerre. Organisés par la loi de 1796, V, 172 ; leur œuvre en 1871, XI, 490 ; encore leur besogne de 1871, XII, 34. Conseils généraux. Loi de 1833, VIII, 241 ; les élections de 1871, XII, 46. Consens (John), 111, 202. Conservateurs (Cf. Royalistes, Légitimistes, Orléanistes, Ca- tholiques, etc…). Leur rôle à l’As- semblée nationale, XII, 44 ; républicains et conservateurs monarchistes, 104 et sq ; ils sont encore maîtres de la situation en 1876, 195 : jeur politique après 1879 ; le n’importequ’isme, a31 ; leur tactique aux élections de 1886, 246 ; leur succès, 247. Conservatoire des arts et mé- tiers, V, 206. Conservatoire de musique, V’ 204. Considérant (Victor), VIII, 315 ; dis- ciple de Fourier, 320 ; 322 ; son livre : la Destinée sociale (1834), 322 ; son oppo- sition aux procédés politiques de la dé- mocratie, mais non à la démocratie, 323 ; 443 ; son article programme de la Démo- cratie pacifique, 44’i et sq ; sa démission de l’armée, 444 ; son activité de propa- gandiste, 445 ; sa polémique avec Prou- dhon, 460 ; 552 ; 556 ; IX, 17 ; 24, 26 ; son rôle pendant les journées de juin, IX. 78et sq ; 83 ; 08 ; 102 ; J33 ; 137 ; 141 ; 152 ; 193 ; 200 ; 209 ; 230et sq ; ilexpose la doctrine fouriériste à la Chambre, le 24avril1849, 246et sq ; 249 ; 255 ; A58 et sq ; 264 ; 265 ; 271 ; 274 ; 289 : 314 ; 364 ; 38o ; X, 162. Considère, VIII, 167. Conspirations. Sous la Restauration elles furent inefficaces, VII, 179 ; mais elles n’ont pas été tout à fait inutiles, 180. Constatas, XII, 227 ; ministre de l’Inté- rieur, 254 ; se sépare du cabinet Tirard ; ministre de l’Instruction publique sous Freycinet, 257. Constant (Abbé), IX, 231. Constant (Benjamin). Défend la pro- priété, VI, 436 ; nommé tribun, V, 5t ; 157 ; sa résistance libérale au Premier Consul, t5g ; 161 ; ses relations avec Mme de Staël, 492 ; appelé par Napoléon pendant les Cent Jours, VII, 47 ; son éloquence, 97 ; sa défense de la liberté industrielle et de la liberté de la presse, 146 ; 147 ; 167 ; rééluen 1823, 198et sq ; 218 ; son rôle en juillet 1830, 248 ; son idée du monopole de l’imprimerie, VIII, 19 ; son avidité en 1830, 102. Constnntine (V.). Prise en 1837, VIII. 302. Constituante (Assemblée). Par quelle fiction elle est à la fois monar- chique et révolutionnaire, I, 253 ; elle prend soin de ne pas s’isoler de Paris, 256 ; son impuissance du 11 au 14 juillet 1789, 260 ; sa situation, après le 14 juillet, entre Paris et la royauté, 277 ; comment elle aborde le problème du régime féo- dal, 278 ; comment elle le résout, dans la nuit du 4 août, 279 ; d’où vient alors son enthousiasme, 287 ; comment elle 1 détourne le problème de la propriété de la question des droits féodaux, qui tou- che à la propriété bourgeoise, vers celle des biens ecclésiastiques, 29S : sa situa- tion à la fin de septembre 1789 ; les modérés vont tenter contre la Révolu- tion un coup d’État législatif, 308 ; con- centration de toutes les forces conserva- trices, 30o ; son esprit révolutionnaire moyen, 37-5 ; raisons de son attitude dans la question de l’électorat ; ses sen- timents à l’égard des prolétaires, 397 ; CONSTITUANTE — 45— CONSULAT son système administratif ne procède pas de vues arbitraires, mais de la mé- fiance envers la royauté et de la con- fiance dans la Révolution, 405 ; elle ne témoigne aucune peur du prolétariat, 406 ; et elle lui a rendu d’immenses ser- vices, 406 ; sa hardiesse et sa prudence, 467 ; sa politique religieuse, 522 ; déve- loppée simplement pour la Législative, 524 ; ses idées en matière militaire, 549 ; comment elle régularise le mouvement des Fédérations, 551 ; elle a peur d’inter- venir dans les incidents militaires, 55g ; elle demande le serment de ses membres évêques, 633 ; son activité au milieu de 1791 ; elle semble vouloir rendre la Cons- titution acceptable au roi, 696 ; elle voulait avoir le roi avec elle, 697 ; faire ainsi l’économie d’une révolution nou- velle, 698 ; elle s’empare de l’autorité lors de la fuite du roi, 707 ; son adresse aux Français, 710 ; ses Comités, dirigés par les modérés, redoutent de pousser ia Révolution à l’inconnu, 715 ; son extrême gauche manque de vigueur dé- mocratique après la fuite à Varennes, 719 ; son impatience de l’agitation répu- blicaine en 1791, 729 ; son autorité n’est pas ébranlée par la journée du 17 juillet, 732 ; elle prend, le 18, de nouvelles me- sures répressives, 735 ; revise la Consti- tution dans un sens conservateur, y36 ; fin de ses travaux, 748 et sq ; impres- sions en terminant cette étude, 752 ; forces qui soutinrent l’héroïsme de la Constituante, 754 ; le système de la démocratie était au fond de sa pensée, 755 ; son instruction du 15 juin 1791 sur les droits féodaux, II, 765 ; son désaccord fondamental avec les paysans sur la question des droits féodaux, 765 ; modé- ration et sagesse de sa politique exté- rieure, 8i3 ; sa politique commerciale, IO32 ; jugée par Hébert. 1054 ; ’ses idées sur l’instruction publique, 1117 ; ses décrets sur les volontaires, 1156 ; elle ne fait appel qu’aux citoyens actifs, 1157. Constituante (Assemblée). De 1848 ; sa réunion, IX, 50 ; on sent dès l’abord sa défiance à l’égard du peuple, 50 ; ses groupes, 64 ; son rôle dans la dissolution des Ateliers nationaux, 68 et sq ; les journées de juin, 78 et sq ; sa besogne, 100 ; elle se rejette à gauche en présence de la politique de réaction du président, 1 29 ; comment elle décide sa dissolution, 1 30 ; sa lassitude précoce, i30 ; l’expé- dition de Rome, 146 et sq ; les dernières discussions, 148. Constitution. Réclamée par les cahiers, I, 156 ; un projet dans le cahier de Paris dans les murs, 171 ; (Cf. Consti- tuante). III, 172 ; comment la Montagne revise le projet girondin, IV, 1853. CONSTITUTION DE 1793, 1584 ; sa prudence en comparaison du projet de Robes- pierre, 1587 ; jugement sur cette consti- tution, 1687 ; elle était appréciable, elle répondait à la réalité politique, 15go ; le mouvement pour la réclamer, V, 87 ; (Cf. Insurrection du 12 ger- minal). CONSTITUTION DE 1795. Comment la Con- vention fut amenée à l’élaborer, V, 129 ; ses dispositions, i30 et sq ; les votes d’approbation, 138. CONSTITUTION DE L’AN VIII. Son élabora- tion, VI, 28 et sq ; ses dispositions, 35 et sq. CONSTITUTION DE L’AN X. Son caractère et ses dispositions, VI, 171. CONSTITUTION DE L’AN XII. Ses disposi- tions, en apparence libérales, sont lettre morte, VI, 199. ACTE ADDITIONNEL AUX CONSTITUTIONS DE L’EMPIRE, Vil, 48 ; (Cf. Charte). CONSTITUTION DE 1848. Composition de la Commission qui rédige le projet, IX, 102 ; les débats, 102 et sq ; le préambule, la discussion sur Dieu, io3 ; les déclarations pacifistes, io3 ; restric- 1 lions nombreuses qu’elle contient en ce qui concerne les libertés du citoyen, 104 ; la question religieuse, io5 ; l’enseigne- ment, 106 ; autres dispositifs, 107 et sq ; les lois organiques, 122 et sq ; le vote ei la cérémonie de consécration, 124. CONSTITUTION DE 1852, X, 32 et sq ; imi- tation du Consulat ; on n’a pu étouffer complètement le suffrage universel, 33. CONSTITUTION DE 1875. Le travail de la Commission des Trente, XII, 148 et sq ; comment elle fut discutée et élaborée, 153 et sq ; sa valeur, 169. Constitution (La). Journal, XII, 143. Constitution civile du clergé, I, 521 et sq ; comment elle établit la sou- veraineté de la société civile, 530 ; elle n’a pas échoué misérabl.ment, 532 ; comparée au Concordai, 532 ; elle fait intervenir un pouvoir n’émanant pas de l’Église, dans le fonctionnement de l’Église, 533 ; son caractère janséniste, 539 ; 543 ; l’Église est expropriée de son mystère, 544 ; ce qu’elle eut d’efficace pour la liberté intellectuelle du Peuple, 547 ; condamnée par un bref du pape, 646 ; sentiments que provoque cet évé- nement, 647. Constitutionnel (Le), VIII, 47 ; 283 ; IX, 36 ; 53 ; 61 ; 218 ; 219 ; X, 7 ; 25 ; 47 ; 226 ; XI, 210. Constitutionnels (Prêtres). Leur si- tuation de 1794 à 1800, V, 184 ; leur concile de 1797, 184 ; leur force en 1801 ; l’Église constitutionnelle, 270. Constitutionnels (Cf. Feuillants), dupés par la reine en juin 1792, II, 1187. Consulat, supprimé à Lyon, en 1789, I, 407. Consulat provisoire (11 novembre- 24 décembre 1799), VI, 20 et sq. CONSULAT — 41} — CORBON Consulat à vie. Son établissement, VI, 166 et sq. Consuls. Leurs pouvoirs d’après la Cons- titution de l’an VIII, VI, 41. Contades (Comte Gérard de). V, to5 ; tt 3. Conté, ses crayons, V, 255. Contrainte par corps. Suppression, IV, 1120 ; abolie par la Convention, V, 158 ; maintenue en 1848, IX, 118. Contrat social (Section du), IV, 1387. Contrat social. Comment la théorie peut en être adaptée au mouvement socialiste, 11, 1112 ; IV, t231. Contrat de travail. L’idée du contrat collectifest prônée par l’Atelier dès 1840, VIII, 36q ; les tentatives de contrat col- lectif en’1848, IV, 286 ; l’article 1781 du Code civil et la campagne de Nadaud contre cet article, 304. Contrebande. Son développement de 1794 à 1800, V, 228. Contributions foncières (Cf. Fi- nances, Impôts, etc.). Réglées par la Convention, V, 153. Contribution personnelle. Etablie par la Convention, V, 152. Contributions indirectes. Leur organisation par la Convention, V, 154. Contributions des portes et fe- nêtres. Réglées par la Convention, V, 153. Convention nationale. Demandée par Robespierre, II, 1^64 ; sa convoca- tion décidée le 10 août, 1296 ; les élec- tions, 111, 91 et sq ; sa réunion ; elle est vieille et jeune tout à la fois, 170 ; sa première séance, 171 et sq ; conscience qu’elle eut de l’énormité de son œuvre, 177 et sq ; comment elle se laisse en- traîner par enthousiasme à la guerre avec l’Europe, 209 et sq ; la Convention et la science, 212 ; sa situation au début de 1793, 441 ; sa politique extérieure, 558 et sq ; son décret du 17 décembre 1792, 568 ; pourquoi elle s’embarrasse de vaincs questions de procédure dans le procès de Louis XVI, IV, 855 et sq ; son vote ne fut influencé ni par la corrup- tion, ni par des menaces dans le procès du roi, 939 et sq ; elle déclare la guerre à la Hollande, à l’Angleterre et à l’Es- pagne, 964 ; sa politique extérieure après la mort du roi, 964 et-sq ; son attitude en février 1793, sur la question du maxi- mum, 1016 et sq ; caractère de la lutte des partis dans son sein en mai 1793, 1193 ; sa séance du 31 mai 1793, 1398 et sq ; séance du t" juin, 1433 ; son état d’esprit, son travail positif au milieu de toutes les luttes, 1465 et sq ; ses craintes au sujet de la propriété : loi du 18 mars 1793, 1546 ; mais elle décrète des secours publics aux pauvres, 1548 ; sa ligne moyenne en matière sociale : mul- tiplier les petites propriétés et demander aux grandes des sacrifices pour les pe- tites, 1550 : résumé de son activité jus- qu’à la chute de la Gironde, 1576 ; son activité de juin à juillet après la chute des Girondins, 1627 et sq ; son indéci- sion après le 9 thermidor, V, 26 ; elle dé- crète le maintien des deux tiers de ses membres dans les futurs conseils, 137 ; ses dernières mesures ; mesures de pro- tection pour les patriotes, 147 ; elle se sépare, 149 ; jugement sur elle, 149. Conversion de la rente. Demandée et ajournée en 1837 ; VIII, 332. Convvay (Daniel), III, 758. Cook, banquier hollandais, IV, 1764. Cook (Edouard), VI, 127. Coopération. Socialisme et coopéra- tion dans le système de Lange, III, 344 ; le mouvement de 1860-64, 231 et sq ; 31o ; les coopérateurs sont impuissants à prendre la direction du mouvement social en 1868, X, 330. Coopératives. La loi du 24 juillet 1867, X, 306 ; le débat du Congrès de Lau- sanne, 312. Coopératives de production. Une première idée chez Marat, I, 588 ; 589 ; leurs origines, Bûchez et le groupe de VAtelier, VIII, 368 et sq ; leur dévelop- pement en 1848, IX, 274 et sq ; les demandes de travaux et de subventions, 278 et sq ; leur histoire, leur situation en 1857, 281 ; pourquoi elles ont échoué, 282 ; les tentatives nouvelles sous le second Empire, X, 187. Coopératives de consommation. Leur développement vers 1848, IX, 332 ; supprimées en 185a, X, 67. • Copenhague (V.), VI, 322. Copia, graveur, V, 223. Coppens. Son rôle dans les journées du Coup d’État, X, 8 et sq. Coquard. relieur, X, ig5 et sq. Conuerelle. Napoléon et l’Angleterre, VI,.7 6. Coquerel (Pasteur), IX, 70 ; 102 ; 104 ; 122 ; 144 ; 148 ; pacifiste en 1849, 238 ; 258 ; 289 ; 318. Coquille lïugoumier, délégué de la Martinique, 11, 981. Corazza (Café). Réunion révolution- naire qui s’y tient, IV, 1139. Corbière (de), VII, 102 ; ministre sans portefeuille en 1820, 154 ; t63 ; 164 ; son œuvre à l’Instruction publique, 169. Corhon (Anthime), VIII ; rédacteur à Y Atelier, 368 ; 371 ; 372 ; IX, 45 ; 48 ; 65 ; sa demande de crédit, en juin 1848, pour les assemblées ouvrières, 79 ; 102 ; 23t ; son plan d’association ouvrière de CORCELLES — 47— COTES-DU-NORD production. 276 et sq ; 287 ; 289 ; 295 : g ; X, 102 ; 178 ; sa psychologie de l’ouvrier parisien, 184 ; il adhère à l’Internatio- nale, 295 ; son rôle dans les tentatives de conciliation en 1871, XI, 410 et sq ; élu en juillet 187.1, XII, 22 ; 41 ; son dis- cours sur le Sacré-Cœur, 1i3. Corcelles (de), VII, 174 ; IX, 154 ; 177. Corday (Charlotte). Assassine Marat, IV, i631. Cordeliers. Leur agitation républicaine en 1791, I, 726 et sq ; désavoués, 732 ; leur action contre la Gironde, IV, 1091 ; leur situation et leur esprit, en mars 1793, ii3q et sq ; leur délégation aux Jacobins, le 19 mai 1793, i3lo ; leur pré- dication, le 26 mai, 1334 ; ils sont entraî- nés par Roux et Leclerc, i6o3 ; ramenés par Collot-d’llerbois et Hébert, 1606 ; 1744 ; veulent endormir les défiances jacobines, 1754. Corderie. Réunion de l’Internationale et des Chambres ouvrières, XI, 252 ; sa délégation au gouvernement de la Dé- fense nationale, le 4 septembre 1870, 252 ; son programme, 252 ; sa vie pendant le siège, 250 ; elle est une conspiration per- manente contre l’Hôtel-de-Ville, 257 ; éléments qui la composaient, 267 et sq ; elle organise le mouvement du 8 octobre 1870, 258 ; débordée par d’autres élé- ments, le 31 octobre, 259 ; elle organise le 22 janvier, 263 ; sa situation en fé- vrier 1871, 170 ; sa proclamation lors de l’entrée des Prussiens à Paris, 272 ; ce qu’elle aurait fait le 18 mars si elle avait été en tête du mouvement, 284 ; 310. Cordes (V.). Fixe le taux des salaires en 1794, IV, 1780. Cordier, IX, 134. Cordon sanitaire (Le), Société secrète de l’Empire, X, 99. Cordonniers. Leurs revendications à Paris en 1789, I, 331 ; leur rôle à Lyon en 1790, 425 ; leur pétition à la Con- vention, IV, io50 ; V’I, 539 et sq ; VIII, 231 ; 236 ; 362 ; -leur société : La Labo- rieuse, 375 ; ce qu’ils fournirent aux commissions mixtes, X, 91 ; leurs con- damnés en 1871, étal du métier après ces condamnations, XI, 489. Corlou (île), V, 394. Connu (in. Ses intrigues, son arrestation, V, 107 et sq. Cormenin (de), VIII, 44 ; ses pamphlets sur la liste civile, 165 ; son compte-rendu, 179 ; 276 ; 297 ; 353 ; 424 ; ses pamphlets signés Timon, contre Louis Philippe, 513 ; IX, 42. ; 102 ; 111 ; 112 ; 258. Corne, XII, 168. Cornet, membre des Anciens, V, 569 et sq ; 576 ; 577. Cornu (M’ue), IX, 190 ; amie de Napo- léon III, X, 132. Cornu, clerc, signe protestation de ci- visme, I, 636. Cornudet, X, 192. Cornvvallis (Lord), négociateur de la paix d’Amiens, VI, 129. Corot, peintre, VIII, 521. Corporations. Elles étaient une en- trave au commerce, I, 44 ; mais les arti- sans ruraux et le grand commerce échap- paient à ce régime étroit, 45 ; l’exemple de l’Angleterre montre comment des ré- gimes anciens et nouveaux peuvent co- exister, 48 ; leurs droits électoraux en 1789, 15I : supprimées par la loi Cha- pelier, 6o5 et sq ; comment l’idée en reparait sous le Consulat, VI, 232. Corps législatif (Cf. Chambre des Députés). Rôle que lui attribuait le projet de Constitution de l’an VIII, VI, 30 ; rôle que lui donne la Constitution même, 38 ; son épuration, 161 ; comment Bonaparte le réforme en 1804, 183 ; après l’an XII, 201 ; son avertissement d’octo- bre 1808, 455 ; la réponse impériale, les nominations de députés par Sénatus- Consulte, 457 ; nouveaux exemples de sa platitude. 465 ; son attitude après Waterloo, VII, 62, 74. B) SOUS le second Empire. Ses droits quasi nuls, X, 41 ; son rôle se borne à une conversation sur les affaires publi- ques, 42 ; droits nouveaux que lui accor- dent les décrets de novembre 1860, 129 ; puis la lettre du 19 janvier 1867, 283 ; sa prorogation en 1869, 358 ; les projets de manifestation à ce sujet, 358 ; la réforme de 1870, 384. Correspondance de Napoléon V, 344 ; 352 ; 374 ; 393 ; 395 ; 416 ; 432 ; 478 ; 579 ; VI, 102 ; 294. Correspondant (Le), X, 52 ; 76. Correspondant picard (Le), journal de Babeuf, V, 12, 14. Corroyeurs. Leur Société à Paris en 1848, IX, 2.86. Corsaire (Le), XII, 143. Corse, 351 ; 439. Corta, X, 254. Corvées. Dues aux seigneurs, I, 15 ; supprimées en Angleterre, III, 678. Corvetto, ministre des Finances en 1815, VII, 80 ; IQ5 ; 116 ; 119 ; ses em- barras de 1818 lors de l’emprunt pour la libération du territoire, 126 ; il se retire, 129. Cosne (V.), VIII, 55t. Cosnier (Amiral), préfet de Marseille en 1871, XI, 372. Costa (Andréa), XII, 208. Côte-d’Or (Dép.). La propagande répu- blicaine sous l’Empire, X, 95. Côtes-du-IVord (Dép.), II, 760 ; IV, COTON — 48— COUVENTS o53 ; sa situation industrielle en 1811, VI, 523. Coton. Droits sur les sorties, II, 1034 ; développement de la filature et du tis- sage sous le coup du blocus continental, VI, 334 ; développement de l’industrie du coton sous le premier Empire, 513 ; 556 ; encouragements à la culture du coton pendant le blocus continental, 577 et sq ; la crise de 1862, son impor- tance dans le mouvement ouvrier, X, 209 ; les souscriptions diverses, 209 ; la grève de 1869, 348. Cottereau. Le contrebandier connu sous le nom de Jean Chouan, III, 217. Cottin, commerçant du premier Em- pire, VI, 281. Cottin (M""). Son œuvre, VI, 50o. Couard (E.), V, 198. Couhert (V.). Demande le rétablisse- ment ou le maintien du droit de pâture, I, 195. Coucy (de), évêque de La Rochelle, ré- fractaire, I, 646. C’oudcreau. Son rôle dans les tenta- tives de conciliation en 1871, XI, 411. Coudere, négociant lyonnais, I, 426. Coulange-sur -Yonne (V.), Il, 1067. Coulmiers (V.). La bataille de 1870, XI, 14. Coulon (Garran de). Elu à l’assemblée des représentants de la Commune de Paris, le 31 août 1789, I, 311. Coupé (de l’Oise), député à la Législative, correspondant de Babeuf, IV, 1537 et sq ; V,.4. Coupeau, étudiant libéral, VII, 171. Couppé, député à la Convention, un des soixante-treize, V, 41. Cour (Cf. Louis XVI). Résiste dès 1789, I, 146 ; réunit des troupes, après le 23 juin 1789, pour tenter un nouveau coup d’état, 255 ; prépare un coup d’état, en septembre 1789, au moment où elle aurait pu profiter des divisions des partis révolutionnaires, 338 ; la Cour du pre- mier Empire, VI, 442 ; ses dépenses, 462. Cour martiale. Contre les Suisses du 10 août, III, 18. Cour* prévotales. Loi les instituant en 1815, VII, 99 ; leur procédure, 100 ; leur abrogation, 126. Courajod, négociant lyonnais, 1, 426. Courajod, V, 209. Courbet (Gustave). Élu le 16 avril 1871, àlaCommune, XI, 387 ; 399 ; 430, 431 ; 439 ; 484 ; 487 ; XII, 35, 36. Courbevoie (V.), XI, 353 ; 426. Coureelle-Seneull, X, 328. Cournct, X, 8 et sq. Cournet, proscrit, X, 96. Cournct (Aimé), X, 228 ; 265 ; XI, 287 ; 290 ; élu àlaCommune, 308 ; 3t1 ; 36o ; 377 ; 4’5 ; 463 ; ses obsèques, XII, 243. Courpon, commandant de la garde na- tionale de Bordeaux, I, 414. Courrier Je l’Égypte (Le), V, 470 ; 478. Courrier français (Le), V, 14^ ; VII, 240 ; sa protestation contre la guerre, X, 265 et sq ; 270 ; 282 ; 287 ; 292 ; 297. Courrier de Lyon (Le). Journal, 1, 422. Courrier de Lyon (Assassinat du), V, 231. Courrier de. Provence (Le), I, 610. Courrier de la Sarthe (Le), VIII, 423. Courtney, 111, 792. Courtais (Général), IX, 32 ; 52 ; assailli au 15 mai par la foule, 54. Courtois, oommissaire de section, II, 1278. Courtois (Alexandre). Combat le projet de suppression du budget des cultes, III, 236 ; 238 ; ses attaques contre les Jaco- bins, V, 552 ; tribun, VI, 3. Courvoisier. VII, i30 ; 15t ; ministre de la Justice dans le cabinet Polignac, 231 ; démissionne, 236. Cousin (Victor) ; VIII, 6 ; 425 ; son projet de loi sur l’enseignement, retiré en 1842 ; 50o ; sa défense du droit de l’État en matière d’enseignement, 504 ; 520 ; IX, 27 ; 56 ; 134 ; 166 ; 167 ; 177 et sq ; 260. Cousin-Montauban. duc de Palikao. L’expédition de Chine, X, t31 ; l’histoire de sa dotation, 145 ; ministre de la Guerre, président du Conseil en 1870, XI, 8.. Coustard, membre du Comité de salut public de.Nantes, 1, 416. Couteaux (Général). IV, 1682. Coutanees (V.). Sa noblesse demande le partage des communaux, I, 204. Coûtant, typographe, X, 209 ; candidat ouvrier en 1863, 211 et sq ; l’échec, 213 ; 224 ; 231 ; 235. Coutlion. Pose la question des droits féodaux à la Législative, 11, 773 ; veut attacher le peuple à la Révolution par des bénéfices matériels, 774 ; distingue des droits nouveaux et des droits an- ciens, 775 ; il lie l’intérêt du paysan à celui de la Révolution. 776 ; son inter- vention contre les émigrés, le 8 novem- bre 1791, 842 ; veut en vain poser la question du veto, 1212 ; se sépare des Girondins, III, 390 ; IV, 1408 ; membre du Comité de salut public, 1681 ; 1682 ; 1690 ; 1726 ; 1745 ; sa mort, 1819 et sq. Couturier, de Senlis, refuse le serment, I, 635. Couvents. Le décret du 21 mars 1848, COUZA — IX, 302 ; le travail y est de nouveau au- torisé, 303. Couza, X, 107. Coveleau, curé de Péault (Vendée), comment il justifie son serment à la Constitution civile, I, 650 et sq ; c’est comme la déclaration des droits de l’homme sur le christianisme, 653. C’owper, poète anglais, flétrit l’escla- vage, III, 762 ; prophétise la chute de la Bastille, 762. Cracovie (V.), VIII, 289 ; la fin de son indépendance en 1846, 531. Crain (V.), II, 1067. Craonne (V.). Bataille, VI, 590. CrasNous, délégué de la Martinique, II, 981 ; membre des Cinq-Cents, V, 361. Créance hypothécaire. Taxe sur elle en 1848, IX, 371. Crébassol (A.). Son appel aux ouvriers en 1831, VIII, 124. Crédit (Le), X, 54. Crédit. Nécessité de le rétablir et de le développer en 1848, IX, 335 ; les projers républicains. 336 ; les projets de Prou- dhon pour l’organiser, 337 et sq ; autres projets, 345. Crédit foncier, X, III ; 55 ; histoire de son établissement, 57 et sq. Crédit mobilier, X, 55 ; son histoire, 58 ; nombreuses affaires qu’il soutient ou lance, 59. Crémieux, VIII, 543 ; membre du Gou- vernement provisoire, IX, 2 et sq ; ses réformes judiciaires en 1848, 116 ; 119 ; 127 ; 25g ; 262 ; 372 ; son rôle dans les journées du Coup d’État, X, 8 et sq ; 153 : 326 ; 362 ; 385 ; XI, 177. Crémieux (Gaston). Son rôle à Mar- seille en 1871, XI, 37 et sq ; mouvement des républicains en sa faveur ; il fut inutile, XII, 48. C »*ei »ière. Tire du Contrat social des conclusions quasi-anarchistes, I, 371. CVeHt (V.). Sa résistance en décembre 1851, X, 23 et sq. Crewtin, député à la Législative, II, io39. CreNtin (D" — ). Nommé maire de Lvon, XI, 368. ’ Crétet. Négociateur du Concordat, VI, 81 et sq : docile instrument de Napoléon, 314. Creton, IX, 79 ; 2o3. Orewse (Dép.). Une pétition anticléri- cale, III, 235. Creusot (Le). Son machinisme de 1794 à1800, V, 250 ; VI, 292 ; 294 ; 51S ; les grèves de 1870, X, 377 et sq ; la Com- mune proclamée en 1871, XI, 369. — CURÉS Creuzé-Liatouche, III, 278, 288, 291, 297. Cri du Peuple (Le). Journal de 1871, XI, 270. Crieurs publies. Loi de >833, VIII, 236. Croce (Benedetto), III, 466. Crocheteurs. Leur isolement à Lvon en 1831, VIII, 158. Croclion. Représentant du gouverne- ment, après le 18 brumaire, VI, 25. Croisse ! (Alfred), II, 1143. Croix-Rouge (Section delà), 11, 1252 ; IV, 1235 ; 1352. Croix-Rousse, quartier de Lyon, I, 1 ; VIII, 144et sq ; 270, et sq ; IX, 152 ; la propagande républicaine sous l’Empire, X, 92. Cromvvell. Imité par Ronsin, IV, 1761. Cronstadt (V.). La visite de 1891, XII, 257. Crosnier, citoyen de la section de Mar- seille, IV, 1632. Crouzat, général, détruit la commune de Lyon en 1871, XI, 368. Crouzet, directeur de l’orphelinat de Liancourt, V, 193. Cruehé. Poursuivi pour coalition, puis acquitté, VIII, 19. Cuclieval-Clarigny, X, 267. Cugnac (de), VI, 104. Cuirs et peaux (Ouvriers des) (Cf. Cordonniers, Corroyeurs, etc.), VI, 544 et sq. Culottes dorées. Nom donné par Robes- pierre aux bourgeois, IV, 1215. Culte décadaire. Sa décadence et sa disparition au moment du Concordat, VI, 70. Cultes. Arrêté de la Commune en août 1792, III, i3 ; décret de la Convention du 3 ventôse an III, V, 73 ; liberté main- tenue par la Constitution de 1795, Y’, 134 ; leur régime, de 1794 à 1800, 177 et sq ; examen de l’idée du droit commun, 182 ; comment le Concordat ménage la liberté des cultes, VI, 84 (Cf. Articles or- ganiques). Culture intensive. Son développe- ment au xvnif siècle, I, 181 et sq. Cumont (de), ministre, XII, 139. Cunin (Etienne), de la Meurthe, proteste contre l’aliénation des forêts, II, io85 ; 1087. Cunin-(« ridaine, ministre du Com- merce dans le cabinet Guizot, VIII, 403 ; 538. Cuuivier (Louis-Sébastien), vainqueur de la Bastille, 1, 264. Curés (Cf. Clergé). Elus comme les membres de l’Assemblée des districts, I, 530 et sq.

Curé. Élu en 1857, X, 104.

Curée, tribun, demande l’établissement de l’Empire, VI, 196.

Cusset (Jacques), député à la Convention, III, 111 ; XV, 1058 ; son projet de déclaration des droits, 1569 ; condamné après l’affaire de Grenelle, V, 325.

Custine (général). Sa campagne de 1792, III, 196 et sq ; les contributions qu’il établit indisposent l’aristocratie des richesses, 200 et sq ; 401 ; désapprouvé, mais défendu par Forster, 607 ; IV, 1623, 1624 ; pourquoi il est condamné à mort, 1646.

Custozza (V). Bataille en 1866, X, 279.

Cuvier. Ses travaux, V, 216 ; VI, 300 ; VII, 169 ; le débat sur la fixité des espèces, VIII, 90.

Cuvilier-Fleury, VIII, 516.

Cuvillier, IV, 1034.