bookLa Chine à terre et en ballonOfficiers du Génie du Corps expéditionnaire1902ParisTLa Chine à terre et en ballon.pdfLa Chine à terre et en ballon.pdf/9couv-99
La Chine
à Terre
et
en Ballon
REPRODUCTION DE 272 PHOTOGRAPHIES
Exécutées par des Officiers du Génie du Corps expéditionnaire et groupées sur 42 planches en phototypie avec légendes explicatives.
PARIS
BERGER-LEVRAULT & Cie, ÉDITEURS
5, RUE DES BEAUX-ARTS, 5
1902
LA CHINE À TERRE ET EN BALLON
Il a été tiré de cet album 25 exemplaires sur papier de luxe, numérotés à la presse, dont :
5 exemplaires sur papier du Japon (no 1 à 5) 20 exemplaires sur papier Whatman (no 6 à 25)
La Chine à Terre et en Ballon
REPRODUCTION DE 272 PHOTOGRAPHIES
Exécutées par des Officiers du Génie du Corps expéditionnaire et groupées sur 42 planches en phototypie avec légendes explicatives.
PARIS
BERGER-LEVRAULT & Cie, ÉDITEURS
5, RUE DES BEAUX-ARTS, 5
1902
AVANT-PROPOS
Au cours de la dernière campagne de Chine, les officiers du Corps expéditionnaire français ont eu maintes occasions d’exercer leurs talents de photographes.
Les uns, aérostiers, prenaient en ballon des vues d’ensemble de ces grandes cités de Tien-Tsin et de Pékin, où l’Européen se perd dans le dédale des ruelles.
Les autres, appelés par leur service ou simplement par la curiosité dans les Palais impériaux, ou employant leurs loisirs à des excursions au travers de la rue chinoise, saisissaient au passage les scènes curieuses, les monuments intéressants.
De tout cela est résultée une collection des plus originales dont la reproduction était désirée par beaucoup de nos camarades du Corps expéditionnaire.
C’est ainsi qu’est née l’idée de l’Album : La Chine à terre et en ballon, et c’est surtout à l’intention de ces camarades qu’il est publié aujourd’hui.
Ils y retrouveront le souvenir des scènes et des monuments qu’ils ont vus.
Les officiers qui, moins favorisés, n’ont pu prendre part à la Campagne, pourront ainsi se former une idée du pays où peut-être ils iront un jour à leur tour.
Quant au public en général, nous espérons qu’il accueillera avec faveur un album qui fait, en quelque sorte, revivre sous ses yeux la contrée si originale, si curieuse, où sa chaleureuse sympathie a suivi et soutenu nos braves soldats.
1. M. le général Voyron, Commandant en chef,et ses officiers d’ordonnance, à Pékin, dans l’une descours du quartier général. (P.)
2. Décoration des maisons du quai de France, àTien-Tsin, le 14 juillet. (C.)
3. Le quartier général à Tien-Tsin le 14 juillet. (C.)
4. Salut au drapeau — 14 juillet à Tien-Tsin. (C.)
5. Le défilé de la gendarmerie. (C.)
6. Revue des sapeurs de chemins de fer, le14 mars 1901, passée par le Général en chef, àPékin, près de la porte Tsien-Men, avant l’inaugurationde la ligne de chemin de fer Lou-Kou-Kiao,Pékin, construite par ce détachement. (C.)
7. Le Général en chef passant la revue destroupes à Tien-Tsin. (C.)
Planche 2
L’œuvre des Boxers à Pékin.
1. Entonnoir produit par l’explosion d’un fourneaude mine établi par les Boxers dans les environsde la nouvelle Cathédrale de Pékin. — Les Boxersespéraient faire sauter la Cathédrale ; cinq marinset soixante-quinze Chinois chrétiens furent tués.D’après les dimensions de l’entonnoir, la charge depoudre devait être d’environ 3000 kilogrammes. (C.)
2. Porte de la Légation de France à Pékin aprèsle siège. (C.)
3. Photographie prise en ballon de l’entonnoir dunouveau Pétang, figurant sous le no 1. (P.)
4. Ruines de l’ancienne Cathédrale de Pékin ou
Nantang. (C.)
5. Mur du quartier des Légations portant des
traces de balles. (C.)
6. Nouvelle Cathédrale de Pékin, dite nouveauPétang. On y voit la trace des projectiles chinois. (C.)
Planche 3
1. Types chinois. (C.)
2. Musiciens et danseurs chinois à Pékin. (C.)
3. Porte de la « Cité interdite » voisine du quartiergénéral français. (C.)
4. Plan de Pékin. — La ville est constituée parquatre cités :
a) La Cité interdite entourée de murs renfermantle Palais Impérial, grand rectangle long d’unkilomètre et large de huit cents mètres. Le PalaisImpérial est appelé par les Chinois Tse-Kin-tcheng,c’est-à-dire Ville violette réservée. Jadis toutes lesconstructions devaient y être édifiées avec du mortierviolet.
b) La Ville Impériale, appelée Hoang-tcheng,improprement désignée sous le nom de Ville jaune,
et dans laquelle se trouvent les Lacs impériaux, l’Îledes Jades, le Palais de la Rotonde, l’ancien et lenouveau Pétang, ou Cathédrale catholique.
c) Les cités précédentes sont à l’intérieur de laville dite Tartare, dont les murailles datent du xve siècle.
d) La Ville chinoise ou Nan-tcheng, grand rectangleau sud de la Ville Tartare. Construite aucommencement du xvie siècle, elle ne fut entouréed’une enceinte fortifiée que vers 1564.
5 et 8. Arcs de triomphe, ou Paï-lou, au norddu Palais Impérial. (C.)
6. Porte d’une pagode occupée par les troupesfrançaises près du vieux Pétang. (C.)
7. Boutique chinoise et marchands en pleinair. (C.)
Planche 4
1. Une des pagodes du nord-ouest de la VilleImpériale. L’extérieur est entièrement tapissé decarreaux vernissés jaunes ou verts. (C.)
2. Le Palais impérial vu de la Montagne de Charbon. (C.)
3. Porte extérieure sud de la Ville Impériale.(C.)
4. Une des cours intérieures du Palais Impérial.Officiers Japonais visitant le Palais. (C.)
5. Vue prise en ballon du Palais Impérial àPékin. (P.)
6 et 7. Lions de bronze dans le Palais Impérial. (C.)
8. La Montagne de Charbon ou Meï-Chan,
vue de la partie nord du Palais Impérial. (C.)
Planche 5
1. Restaurant en plein air à Pékin. (C.)
2. Rue centrale au nord du Palais Impérial àPékin ; au fond on aperçoit la Tour du Tambour
qui date du milieu du xiiie siècle. (T.)
3. Salle du grand banquet offert par le généralVoyron aux autorités étrangères civiles et militairesdans les jardins du Palais de la Rotonde, à Pékin,en mai 1901. (C.)
4. Lit de l’Empereur au Palais Impérial. (P.)
5. Groupe de Chinois des deux sexes, les femmesqui y figurent sont des Tartares, reconnaissables àl’absence de déformation des pieds et à la coiffure.(T.)
6. Préparation de l’inauguration de l’Avenue
Voyron dans la Ville Impériale. (C.)
7. Bâtiment du Palais Impérial. (C.)
Planche 6
1 et 3. Jongleur soufflant de la fumée et desflammes. (C.)
2. Musiciens et danseurs à Pékin. (C.)
4. Palais Impérial à Pékin. — Les appartementsde l’Empereur ; un groupe d’eunuques se tient sur leperron. (P.)
5. Rue de la Ville Impériale à Pékin. — Lieutenant-colonelLegrand, commandant le Génie duCorps expéditionnaire et capitaine du génie Calmel.(C.)
6. Jongleur en équilibre sur sa tête faisant tournerdes assiettes. (C.)
Planche 7
1. Le Palais de la Rotonde à Pékin, au centre dela Ville Impériale. On y accède par deux ponts demarbre jetés sur les Lacs Impériaux. (P.)
2. Une des grandes rues de Pékin ; pendantl’après-midi, un marché s’installe sur les bas côtésde ces artères larges chacune d’une dizaine de mètres,on y vend les objets les plus variés : comestibles,ferraille, objets d’art y voisinent et une foule trèsdense y circule jusqu’à la nuit. (C.)
3. Autre rue principale de Pékin ; les bas côtésse trouvent en contre-bas de la chaussée centrale, onvoit à gauche divers types d’enseignes. (C.)
4. Petite rue commerçante à Pékin. (C.)
5, 6 et 7. Jongleurs chinois à Pékin. (C.)
Planche 8
1. Ruines de l’ancien Palais d’Été détruit en1860 ; il était en partie bâti sur le versant de lacolline opposé à celui qu’occupe le Palais actuel. (C.)
2. Pagode construite au sommet de la collineoccupée par le Palais d’Été. Cette pagode se voit surle cliché no 4, derrière la pagode centrale à étages.(C.)
3. Route dallée impériale de Pékin au Palaisd’Été. (C.)
4. Pagode centrale à étages du Palais d’Été. (C.)
5. Vue du Palais d’Été et du lac voisin, prise dusommet de la pagode centrale à étages. (P.)
6. Jonque de marbre, construite sur le lac duPalais d’Été et près de la berge. — Il est superflud’ajouter qu’elle ne flotte pas. (C.)
7. Vue du Palais d’Été et des bâtiments destinésà la suite de l’Empereur. (C.)
Planche 9
1. Mariage chinois, les musiciens précèdent lachaise de la mariée. (C.)
2. Barbier chinois en plein air. (C.)
3 et 4. Enterrements chinois. (C.)
5. Palais d’Été. (P.)
6. Marchands de victuailles en plein air. (C.)
7. Restaurant en plein vent. (C.)
Planche 10
1. Enfants chinois attelant des hannetons à desvoitures de papier. (C.)
2. Puits dans une rue de Pékin. (C.)
3. Marché en plein vent à Pékin. (C.)
4. Mendiant chinois. (C.)
5 et 6. Devantures de marchands de thé à Pékin.(C.)
7. Marché aux bibelots et à la ferraille. (C.)
8. Pont de marbre conduisant à l’île qui setrouve au milieu du lac du Palais d’Été. (P.)
Planche 11
1. Lion en bronze dans le Palais Impérial. (P.)
2. Type de femme chinoise. (P.)
3. Pagodes du Palais d’Été avec stèle en marbre.(P)
Planche 12
1. Mur en céramique situé non loin du Palais dela Belle-Vue du Lac, à Pékin. Il représente surchacune de ses faces une série de cinq dragons poursuivantl’image du soleil reflétée sur les flots. Lesbriques en terre cuite qui forment ce mur sont recouvertesd’émaux d’une belle harmonie de tons et l’ensemblepeut être comparé aux fameuses Frises des
Archers du Palais de Darius, découvertes à Susepar M. Dieulafoy et actuellement au Louvre. (C.)
2. Palais de la Belle-Vue du Lac bâti sur unehauteur en rochers artificiels au nord du Lac Nordde la Ville Impériale. Il constitue, avec ses abords,un merveilleux décor et servait de résidence d’étépour l’Impératrice ; il fut occupé par la chefferie dugénie de Pékin. (P.)
3 et 5. Pont de marbre et kiosques situés dansl’enceinte du Palais de la Belle-Vue du Lac. (C.)
4. Détail du motif de décoration du mur en céramique.(C.)
6. Kiosque dans les jardins de la Cité interdite.(P.)
7. Lions de bronze ornant l’entrée d’une pagodeoccupée par les troupes italiennes, à proximité duPalais de la Belle-Vue du Lac. Sapeur français etmarin italien en faction. (C.)
Planche 13
1. Le Lac Nord et l’Île des Jades surmontée dumonument appelé le Péta et surnommé par nos troupiersla Bénédictine, en raison de sa forme. Le Péta fut construit sous le règne de Choun-tche, premierempereur de la dynastie actuelle ; il est considéré parles Chinois comme le gage du salut de l’empire. (C.)
2. Entrée du Palais de la Rotonde, gong et beauvase à poissons en jade vert datant de l’empereurKien-Loung. (C.)
3. Le Pont de marbre reliant la Rotonde à larive ouest des lacs.
4. Le Commandant de la section d’aérostiers,monté sur son ballon, attache le drapeau français ausommet du Péta. (P.)
5. Le Péta. (C.)
6. Mur d’enceinte de la Rotonde ; soldats italiensau premier plan. (C.)
7. Pont de marbre reliant la Rotonde à l’île desJades, situé dans le lac Nord de la Ville Impériale.Au second plan la Montagne de Charbon (Meï-Chan),colline artificielle surmontée de cinq pavillonsdatant de l’empereur Kia-Kin et contenant des statuesde Fo. Suivant une tradition, de grandes quantitésde charbon auraient été enfouies sous cette collinepour permettre l’approvisionnement du Palais Impérialen cas de siège. — Les fouilles exécutées pendantl’occupation n’ont pas permis de contrôler la véritéde cette tradition. (P.)
Planche 14
1. Idole d’une pagode située au nord des Lacs. (C.)
2. Une des pendules du Palais Impérial. (P.)
3. Arc de triomphe à la sortie du pont de marbre de l’Île des Jades. Au dernier plan le Péta précédéd’une petite pagode contenant une statue de Poussahqui figure planche 34, no 3. (P.)
4. Train impérial construit par l’industrie française.— Ce train était remorqué par les eunuques.(P.)
Planche 15
1. Ouverture faite par les Anglais dans la muraillede Pékin. — En avant de l’ouverture setrouve un retranchement défensif construit par lesSikhs. (C.)
2. Kiosque octogonal contenant une stèle impérialedans la cour du Palais des ancêtres, à Pékin. (P.)
3. Préparatifs de la fête d’inauguration del’avenue Voyron. (C.)
4. Entrée des appartements privés de l’Empereurau Palais Impérial. (P.)
Planche 16
1. Entrée du Temple du Ciel. (C.)
2. Tour de surveillance au centre du Palais desexamens des lettrés, à Pékin. (C.)
3. Cellules du Palais des Examens des lettrés.
4 et 7. Portes donnant accès à l’Esplanade suddu Temple du Ciel. (C.)
5. Temple du Ciel à Pékin. — Monument àtriple toiture bâti par l’empereur Young-Lo, de ladynastie des Ming, situé dans la partie nord duparc du Temple. L’Empereur se rend annuellementtrois fois dans ce temple pour communiquer au Ciel,
dont il est le fils, le résultat de la gestion de sonempire. Aucune idole ne s’y trouve, on y transportela Tablette du Ciel lors des visites impériales. (P.)
6. Vue d’ensemble d’une partie du Palais desexamens des lettrés. Il se compose d’une série debâtiments profonds d’un mètre cinquante, mais d’unegrande longueur de façade. Chacun de ces bâtiments,ouvert sur l’un des grands côtés, est divisé par descloisons en une série de cellules ainsi que le montrele cliché 3. Il y a ainsi dix mille cellules. Au momentdes examens, chaque candidat est placé dansl’une d’elles et doit y rester pendant toute leur durée,soit trois ou quatre jours. On raconte que chaquesession coûte la vie à plusieurs candidats. ( C.)
Planche 17
1. Vue de Pékin prise en ballon, comprenant lanouvelle Cathédrale ou nouveau Pétang et les bâtimentsde la Mission catholique. (P.)
2. Ancienne cathédrale de Pékin dite Vieux Pétang.
Évacuée en 1888, sur les instances de la Courimpériale que gênaient les vues plongeantes des toursde cette église sur le Palais Impérial, la cathédraleet les bâtiments de la Mission furent reconstruits auxfrais du gouvernement chinois sur leur emplacementactuel, no 1. (C.)
3. Mgr Favier lisant son bréviaire. (C.)
4. Vue de Pékin prise en ballon, montrant laMontagne de Charbon et l’extrémité nord-est duPalais impérial. ( C.)
Planche 18
1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7. Gares et établissements dela ligne de chemin de fer de Pékin-Hankeou, détruitspar les Boxers. (C.)
8. Vue du quartier des Légations à Pékin ; la ruedes Légations occupe le côté gauche du cliché, transversalementon voit la muraille de la ville Tartarequi fut, durant le siège, le théâtre de luttes acharnées.Les restes de barricades ainsi que les ruinesdes bâtiments européens y sont encore visibles. (P.)
Planche 19
1. Ruines de la gare de Feng-Taï, près Pékin.(T.)
2. Pont de Lou-Kou-Kiao, à treize kilomètresde Pékin ; à cet emplacement se trouvait déjà unpont de marbre que Marco Polo mentionne dans larelation de son voyage ; il fut emporté par unecrue au xviie siècle et on construisit, pour le remplacer,le pont actuel. (C.)
3. Le mandarin de Lou-Kou-Kiao. (C.)
4. Faubourg de Lou-Kou-Kiao. (C.)
5. Stèle et Pagode à la sortie du pont de Lou-Kou-Kiao.(C.)
6. Le Pont du chemin de fer à Lou-Kou-Kiao.Endommagé par les Boxers, il a été réparé et renduà la circulation par les troupes du génie françaises.(C.)
7. Vue prise en ballon, montrant le Palais de laRotonde et les deux Ponts de marbre, la Montagnede Charbon ou Meï-Chan, la partie nord du PalaisImpérial. (P.)
Planche 20
1. Vue prise en ballon de l’Île des Jades et duPéta. (P.)
Construction d’une ligne ferrée de Pékin à Lou-Kou-Kiaopar les troupes du génie françaises. —Cette ligne a donné l’entrée dans la capitale à laligne franco-belge d’Hankeou qui s’arrêtait autrefoisà Lou-Kou-Kiao.
2. Stèle en marbre supportée par la tortue emblèmede longévité, située non loin du tracé de la voieferrée. (C.)
3. Construction d’une estacade dans le grandremblai de la voie ferrée. (C.)
4. Estacade au milieu du grand remblai. (C.)
5. Pose de la voie. (C.)
6. Le grand remblai à la sortie du pont de Lou-Kou-Kiao.(C.)
7. Établissement de la plateforme de la voie.
Planche 21
1. Ruines d’un cimetière catholique détruit parles Boxers, près de Pékin. (P.)
2. Aménagement définitif de la brèche ouvertedans la muraille de Pékin, pour le passage du cheminde fer. (C.)
3. Ouverture de la brèche du chemin de fer, dansla muraille de Pékin. (C.)
4. Vue extérieure de la muraille de Pékin. (C.)
5. Pose de la voie à travers la brèche ; cette partiede la muraille se trouvant dans le secteur allemandétait gardée par des sentinelles allemandes. (C.)
6. Vue prise en ballon du quartier du VieuxPétang, à Pékin. (P.)
Planche 22
Le chemin de fer français dans Pékin.
1. Construction d’un ouvrage d’art pour le passagede la voie ferrée au-dessus du fossé de la villeTartare. La grande tour qui surmonte la murailleétait, en principe, destinée à abriter plusieurs étagesde feux, mais en réalité ses nombreuses embrasuressont fermées par des volets en bois sur chacun desquelsest peinte la bouche d’un canon. (C.)
2. Les invités du Général Commandant en chefà l’inauguration du chemin de fer se dirigent versle train d’inauguration. (C.)
3. La voie ferrée aux abords de la porte Choun-tche-Men.(C.)
4. Exécution d’un remblai dans le fossé de laville Tartare. (C.)
5. Le Général Commandant en chef, les Ministresde France et de Belgique et les invités à l’inaugurationde la voie ferrée de Lou-Kou-Kiao, àPékin, au milieu des ruines des ateliers de Chan-Sin-Tien.(P.)
6. Le premier train traverse le passage à niveaude Choun-tche-Men. (C.)
7. Gare de Tsien-Men. Revue des sapeurs dechemin de fer, passée par M. le général Voyron. (C.)
8. Ruines de maisons chinoises à la porte Tsien-Mende la ville Tartare, voisine du quartier desLégations. Sur cet emplacement fut construite lagare terminus du chemin de fer Pékin-Hankeou quel’on voit au no 7. (C.)
9. Foule chinoise regardant passer le train d’inauguration à Choun-tche-Men. (C.)
Planche 23
1. Une des tours de la muraille de Pékin. (C.)
2 et 3. Transport de matériaux à dos de chameauxpour la construction de la caserne défensive de laLégation de France, dite caserne Voyron, à Pékin.(C.)
4. Porte en maçonnerie au nord du Lac Impérialà Pékin. (P.)
5. Un pavillon de la caserne Voyron, le jour del’inauguration, 2 août 1901. (C.)
6. Porte de la caserne. (C.)
7. Construction de la partie française de lanouvelle enceinte fortifiée du quartier des Légations,à Pékin. (C.)
Planche 24
1. Trône impérial au Palais Impérial, à Pékin.(P.)
2. Tour octogonale à treize étages, située à unkilomètre à l’ouest de Pékin. (C.)
3. Détail du soubassement de la tour. (C.)
4. Arc de triomphe en bois, couverture en tuilesvernissées jaunes, dans le jardin de la Montagne deCharbon. (P.)
Planche 25
1. Paysans chinois remplissant une rigole d’arrosage ;le récipient qu’ils tiennent à l’aide de cordessert à puiser l’eau dans un fossé inférieur et basculelorsqu’il arrive au niveau de la rigole à remplir. (G.)
2. Bac établi sur le Ta-Tsin-Ho à Paoting-Shien.(C)
3 et 5. Pont de Palikao aux abords duquel eutlieu la bataille de 1860. (C.)
4. Porte de Ouang-Kia-Pou. (C.)
6. Embarquement de troupes sur une portièrepour la traversée du Peï-Ho à Peï-Tsang. (C.)
7. Pont chinois établi sur le Ta-Tsin-Ho. (C.)
8. Monument funéraire chinois ; officiers françaisse rendant de Tien-Tsin à Pékin. (C.)
9. Entrée de la salle contenant le trône de l’Empereur,au Palais d’Été. (P.)
Planche 26
1. Trône Impérial au Palais d’Été. (P.)
2. Entrée du Palais de Li-Hung-Tchang, àTien-Tsin. ( C.)
3. Porte de Tong-Tcheou, près de Pékin. (C.)
4. Le Palais d’Été vu du bord du Lac. (P.)
Planche 27
1. Tombeaux Impériaux de Mouling (Taïling),à l’ouest de Pékin. (T.)
2. Soldats escortant un convoi de chameaux. (C.)
3. Tombeaux d’Impératrices. (T.)
4. La cour du Consulat de France à Tien-Tsin.(C.)
5. Intérieur du Palais de l’Impératrice au VieuxPétang, à Pékin. (P.)
Planche 28
1, 2, 3, 4 et 6. Ruines de bâtiments dans la concessionfrançaise, à Tien-Tsin. (C.)
5. Ruines des maisons chinoises de la concessionfrançaise, à Tien-Tsin. (C.)
7. Cimetière catholique de Cheu-La-Eul profanépar les Boxers. (P.)
Planche 29
Tien-Tsin.
1. Le quartier général français. (C.)
2. Portique transformé en casernement dans laville chinoise. (C.)
3. Groupe d’officiers supérieurs assistant à uneascension du ballon ; de gauche à droite on reconnaît :
MM. le lieutenant-colonel Legrand, commandantle génie du Corps expéditionnaire ;
Le lieutenant-colonel Franchet d’Esperey ;
Le lieutenant-colonel Marchand ;
Le commandant Germain ;
Le commandant Châtelain. (C.)
4, 5 et 6. Construction, par le service du génie,des casernements français dits Ville-Levêque. (C.)
7. Vue prise en ballon : Pont établi par les troupesfrançaises sur le Peï-Ho ; le chemin de fer et lagare se trouvent en haut du cliché ; en bas, le quaide France sur la concession française, on y voit lesmaisons détruites par les Chinois. (P.)
Planche 30
Tien-Tsin.
1. Vue prise en ballon : Boucle du Peï-Ho surles bords duquel sont disposés les tas de sel appartenantau gouvernement chinois. Ces monticules de 6 à8 mètres de hauteur servaient de retranchements auxréguliers chinois dans leurs attaques de la concessionfrançaise. (P.)
2. Gare de Tien-Tsin. (C.)
3. Manœuvres de sapeurs aérostiers. (C.)
4 et 7. Le ballon français. (C.)
5. Visite de courtoisie du général Voyron aumaréchal de Waldersee lors du départ de celui-cipour l’Europe.
6. Casernements dits du Théâtre Chinois construitspar le service du génie. (C.)
Planche 31
Tien-Tsin. — La ville murée.
1. Égout à ciel ouvert le long de la muraille. (P.)
2. La muraille et les ruines des maisons voisinesaprès le siège. (P.)
3. L’enceinte de la ville murée. — Elle estactuellement rasée et un vaste boulevard occupe sonemplacement. — Ce travail a été exécuté par leGouvernement provisoire établi par les Corps expéditionnairesalliés. (P.)
4. Les bords du Peï-Ho. (P.)
5. Le Peï-Ho, embarquement de soldats sur desjonques. (C.)
6. Tour centrale. (P.)
7. Vue en ballon : Face est de l’enceinte voisinedu Peï-Ho. (P.)
Planche 32
1, 2 et 4. Le 14 juillet 1901 à Tien-Tsin. Jeuxorganisés par les troupes françaises. (C.)
3. La tribune officielle avant la revue du 14 juillet.M. Leduc, Consul de France, et les Princeschinois, frères de l’Empereur, le Général chinoisMeï. (C.)
5 et 6. La tribune officielle après la revue. Onreconnaît, sur le cliché no 5, M. le Général Voyron.(C.)
7. Vue prise en ballon d’une partie de la concessionfrançaise de Tien-Tsin et de ses ruines. (P.)
Planche 33
1 et 2. Maison chinoise et Yamen à Tien-Tsin,aménagés en casernement dans la ville murée. (C.)
3. Baraques démontables édifiées à Tien-Tsinpour le service de santé. (C.)
4 et 5. Construction de baraquements à Tien-Tsin.
6. Construction d’une salle d’opérations à l’hôpitalde Tien-Tsin. (C.)
7. Bâtiment du commandement et de la chefferiedu génie à Tien-Tsin. (C.)
8. Le consulat de France à Tien-Tsin. (P.)
Planche 34
1. Rue d’un village chinois un jour de marché. (T.)
2. Bouddha du temple lamaïste de Pékin. (C.)
3. Poussah de la petite pagode près du Péta. —La pagode se voit sur le cliché no 3 de la planche 14.(C.)
4. Intérieur de pagode au nord du Lac de laCité Impériale. (C.)
5. Bouddha en marbre dans le Palais de laRotonde, à Pékin. Cette figure passait, à tort ou àraison, pour être le portrait de l’Impératrice. (P.)
Planche 35
1. Le Fort Blanc à Tien-Tsin. (P.)
2. Marché de la rue Courbet dans la concessionfrançaise de Tien-Tsin. (C.)
3. Idoles de la Pagode centrale à étages du Palais d’Été. (P.)
4. Lion en bronze au Palais Impérial. (P.)
5. Coolies coréens à Tien-Tsin. (C.)
6. Officier français et soldats japonais à Tien-Tsin. (C.)
Planche 36
1. Le Fort Noir et les ruines de la Cathédrale deTien-Tsin au bord du Peï-Ho. (C.)
2. Le pont des Russes à Tien-Tsin. (C.)
3. Le canal impérial à Tien-Tsin. (C.)
4. Barbier chinois sur le quai de France à Tien-Tsin. (T.)
5. Le Peï-Ho vu en ballon. (C.)
6. Le quai de France à Tien-Tsin. Le capitaineCalmel. (C.)
7. Femme chinoise aux petits pieds. (P.)
8. Le Peï-Ho et les jonques. (C.)
Planche 37
Les moyens de transport en Chine.
1. Chaise chinoise d’un cortège de mariée. (C.)
2 et 4. Convois de chameaux ; ces animaux remontanten Mongolie pour y passer l’été et ne séjournentau Petchili qu’en hiver. (C.)
3. Brouettes chinoises. (C.)
5. Pont français sur le Peï-Ho. (C.)
6. Les jonques sur le Peï-Ho, à Tien-Tsin. —Le bâtiment qui figure sur ce cliché est la Municipalité-Française.(C.)
7. Transport du fourrage sur des brouettes. (C.)
8. Porteur d’eau. (C.)
9. Pousse-pousse ou Djinrickcha. (C.)
10. Voiture à bœufs conduite par des Sikhs.
Planche 38
1. Foule autour d’un théâtre ambulant le long dela muraille de Tien-Tsin. — Le rideau, heureusementbaissé, cache aux yeux des Européens les sujets, plutôtlégers, dont le Chinois fait ses délices. (T.)
2. Le Général Meï et son escorte. (C.)
3. Échassiers indigènes d’Itcho ; leur adresse estremarquable, ils exécutent sur leurs échasses les pantomimesles plus variées. (T.)
4. Dragon en bronze du Palais Impérial, àPékin. (P.)
5. Barbiers en plein air le long des murs deTien-Tsin. (T.)
6. Coolies chinois. (C.)
Planche 39
1. Les flottes alliées en rade de Takon, au moisde septembre 1900. (T.)
2. Construction de l’appontement français àTong-Kou, par le Service du génie. (C.)
3. Passage de rivière. (C.)
4. Débarquement de voitures chinoises à la garede Pétang. (C.)
5. Biche en bronze du Palais Impérial. (P.)
6. Entrée du fort de Pétang occupé par lesRusses. (C.)
Planche 40
1. Gare de Chan-Haï-Kouan. (C.)
2. Détachement quittant une station. (C.)
3. Gare de Tong-Chan. (C.)
4. Interprète et bagages d’une reconnaissance. (C.)
5. Arrivée à l’étape. (C.)
6. Halte près d’une ville murée. (C.)
7. Cigogne en bronze au Palais Impérial, àPékin. (P.)
Planche 41
1. Animaux fantastiques en bronze, au Palais Impérial à Pékin. (P.)
2. Chin-Van-Tao et Chan-Haï-Kouan, portsvoisins dans le nord du golfe du Petchili, libresde glaces pendant l’hiver. — Construction d’unwarf. (C.)
3. Ruines de villas européennes. (C.)
4, 5 et 6. Extrémité de la Grande Muraille deChine au bord de la mer. (C.)
7. Fort chinois occupé par les troupes internationales.(C.)
Le Soldat Français
jugé
par les Chinois
statuette en terre séchée
sculptée par un artiste chinois et mise en vente à un grand nombre d’exemplaires chez les marchands indigènes de Tien-Tsin
(Des statuettes analogues, concernant les soldats des autres puissances alliées — mais les représentant sous un jour moins avantageux — furent également faites par le même artiste ; la vente en fut interdite.)
Planche 1
1. Le général Voyron, Commandant en chef, et ses officiers d’ordonnance, à Pékin, dans l’une des cours du quartier général.
2. Décoration des maisons du quai de France, à Tien-Tsin le 14 juillet.
3. Le quartier général à Tien-Tsin le 14 juillet.
4. Salut au drapeau.
5. Défilé de la gendarmerie.
6. Revue des sapeurs de chemins de fer, le 14 mars 1901, passée par le Général en chef à Pékin, près de la porte Tsien-Men, avant l’inauguration de la ligne de chemin de Lou-Kou-Kiao, Pékin, construite par ce détachement.
7. Le Général en chef passant la revue des troupes à Tien-Tsin.
Planche 2
1. Entonnoir produit par l’explosion d’un fourneau de mine établi par les Boxers dans les environs de la nouvelle cathédrale de Pékin. — Les Boxers espéraient faire sauter la cathédrale ; cinq marins, l’enseigne Henry, soixante-quinze Chinois chrétiens furent tués. D’après les dimensions de l’entonnoir, la charge de poudre devait être d’environ 3000 k.
2. Porte de la Légation de France à Pékin après le siège.
3. Photographie prise en ballon de l’entonnoir du nouveau Pétang (nouvelle cathédrale).
4. Ruines de l’ancienne cathédrale de Pékin.
5. Mur du quartier des Légations portant des traces de balles.
6. Nouvelle cathédrale de Pékin. On y voit la trace des projectiles chinois.
Planche 3
1. Types chinois.
2. Musiciens et danseurs chinois à Pékin.
3. Porte de la « Cité interdite » voisine du quartier gal français.
4. Plan de Pékin. — La ville est constituée par quatre cités :
a) « La Cité interdite » entourée de murs renfermant le Palais Impérial, grand rectangle long d’un kilomètre et large de huit cents mètres. Le Palais Impérial est appelé par les Chinois Tse-Kin-tcheng, c’est-à-dire « Ville violette réservée ». Jadis toutes les constructions devaient y être édifiées avec du mortier violet.
b) La Ville Impériale, appelée Hoang-tcheng, improprement désignée sous le nom de Ville jaune, et dans laquelle se trouvent les Lacs impériaux, l’Île des Jades, le Palais de la Rotonde, l’ancien et le nouveau Pétang.
c) Les cités précédentes sont à l’intérieur de la ville dite Tartare, dont les murailles datent du xve siècle.
d) La Ville chinoise ou Nan-tcheng, grand rectangle au sud de la Ville Tartare. Construite au commencement du xvie siècle, elle ne fut entourée d’une enceinte fortifiée que vers 1564.
5 et 8. Arcs de triomphe, ou Paï-lou, au nord du Palais Impérial.
6. Porte d’une pagode occupée par les troupes françaises près du vieux Pétang.
7. Boutique chinoise et marchande en plein air.
Planche 4
1. Une des pagodes du nord-ouest de la Ville Impériale. L’extérieur est entièrement tapissé de carreaux vernissés jaunes ou verts.
2. Le Palais impérial vu de la « Montagne de Charbon ».
3. Porte extérieure sud de la Ville Impériale.
4. Une des cours intérieures du Palais Impérial. Officiers Japonais visitant le Palais.
5. Vue prise en ballon du Palais Impérial à Pékin.
6 et 7. Lions de bronze dans le Palais Impérial.
8. La Montagne de Charbon ou Meï-Chan, vue de la partie nord du Palais Impérial.
Planche 5
1. Restaurant en plein air à Pékin.
2. Rue centrale au nord du Palais Impérial à Pékin ; au fond on aperçoit la Tour du Tambour qui date du milieu du XIIIe siècle.
3. Salle du grand banquet offert par le général Voyron aux autorités étrangères dans les jardins du Palais de la Rotonde, à Pékin, en mai 1901.
4. Lit de l’Empereur au Palais Impérial.
5. Groupe de Chinois. Les femmes qui figurent dans ce groupe sont des Tartares, reconnaissables à l’absence de déformation des pieds et à la coiffure.
6. Préparation de l’inauguration de l’Avenue Voyron dans la Ville Impériale.
7. Bâtiment du Palais Impérial.
Planche 6
1 et 3. Jongleur soufflant de la fumée et des flammes.
2. Musiciens et danseurs à Pékin.
4. Palais Impérial à Pékin. — Les appartements de l’Empereur ; un groupe d’eunuques se tient sur le perron.
5. Rue de la Ville Impériale à Pékin. — Lieutenant-Col Legrand, commandant le Génie du Corps expéditionnaire et capitaine du génie Calmel.
6. Jongleur en équilibre sur sa forte tête faisant tourner des assiettes.
Planche 7
1. Le Palais de la Rotonde à Pékin, au centre de la Ville Impériale. On y accède par deux ponts de marbre jetés sur les Lacs Impériaux.
2. Une des grandes rues de Pékin ; pendant l’après-midi, un marché s’installe sur les bas côtés de ces artères larges chacune d’une dizaine de mètres, on y vend les objets les plus variés : comestibles, ferraille, objets d’art y voisinent, et une foule très dense y circule jusqu’à la nuit.
3. Autre rue principale de Pékin ; les bas côtés se trouvent entre la chaussée centrale et les maisons en sont en contre-bas.
4. Petite rue commerçante à Pékin.
5, 6, 7. Jongleurs chinois à Pékin.
Planche 8
1. Ruines de l’ancien Palais d’Été détruit en 1860 ; il était en partie bâti sur le versant de la colline opposé à celui qu’occupe le Palais actuel.
2. Pagode construite au sommet de la colline occupée par le Palais d’Été. Cette pagode se voit sur le cliché no 4, derrière la pagode centrale à étages.
3. Route dallée impériale de Pékin au Palais d’Été.
4. Pagode centrale à étages du Palais d’Été.
5. Vue du Palais d’Été et du lac voisin, prise du sommet de la pagode centrale à étages.
6. Jonque de marbre, construite sur le lac du Palais d’Été et près de la berge. Il est superflu d’ajouter qu’elle ne flotte pas.
7. Vue du Palais d’Été et des bâtiments destinés à la suite de l’Empereur.
[[File:Pagode construite au sommet de la colline occupée par le Palais d’Été. Cette pagode se voit sur le cliché no 4, derrière la pagode centrale à étages.jpg|500px|center|Pagode construite au sommet de la colline occupée par le Palais d’Été. Cette pagode se voit sur le cliché no 4, derrière la pagode centrale à étages]]
Planche 9
1. Mariage chinois. Les musiciens précèdent la chaise de la mariée.
2. Barbier chinois en plein air.
3 et 4. Enterrements chinois.
5. Palais d’Été.
6. Marchands de victuailles en plein air.
7. Restaurant en plein vent.
Planche 10
1. Enfants chinois attelant des hannetons à des voitures en papier.
2. Puits dans une rue de Pékin.
3. Marché en plein vent à Pékin.
4. Mendiant chinois.
5 et 6. Devantures de marchands de thé à Pékin.
7. Marché aux bibelots et à la ferraille.
8. Pont de marbre conduisant à l’île qui se trouve au milieu du lac du Palais d’Été.
Planche 11
1. Lion en bronze dans le Palais Impérial.
2. Type de femme chinoise.
3. Pagodes du Palais d’Été avec stèle en marbre.
Planche 12
1. Mur en céramique situé non loin du Palais de la Belle-Vue du Lac, à Pékin. Il représente sur chacune de ses faces une série de cinq dragons poursuivant l’image du soleil reflétée sur les flots. Les briques en terre cuite qui forment ce mur sont recouvertes d’émaux d’une belle harmonie de tons et l’ensemble peut être comparé aux fameuses Frises des Archers du Palais de Darius, découvertes à Suse par M. Dieulafoy et actuellement au Louvre.
2. Palais de la Belle-Vue du Lac bâti sur une hauteur en rochers artificiels au nord du Lac Nord de la Ville Impériale. Il constitue, avec ses abords, un merveilleux décor et servait de résidence d’été pour l’Impératrice ; il fut occupé par la chefferie du génie de Pékin.
3 et 5. Pont de marbre et kiosques situés dans l’enceinte du Palais de la Belle-Vue du Lac.
4. Détail du motif de décoration du mur en céramique.
6. Kiosque dans les jardins de la Cité interdite.
7. Lions de bronze ornant l’entrée d’une pagode occupée par les troupes italiennes, à proximité du Palais de la Belle-Vue du Lac. Sapeur français et marin italien en faction.
Planche 13
1. Le Lac Nord et l’Ile des Jades surmontée du monument appelé le Péta et surnommé par nos soldats la Bénédictine, à cause de sa forme. Le Péta fut construit sous le règne de Choun-tche, premier empereur de la dynastie actuelle ; il est considéré par les Chinois comme le gage du salut de l’empire.
2. Entrée du Palais de la Rotonde, gong et beau vase à poissons en jade vert datant de l’empereur Kien-Loung.
3. Le Pont de marbre reliant la Rotonde à la rive ouest des lacs.
4. Le Commandant de la section d’aérostiers, monté sur son ballon, attache le drapeau français au sommet du Péta.
5. Le Péta.
6. Mur d’enceinte de la Rotonde.
7. Pont de marbre reliant la Rotonde à l’île des Jades, situé dans le lac Nord de la Ville Impériale. Au second plan la Montagne de Charbon (Meï-Chan), colline artificielle surmontée de cinq pavillons datant de l’empereur Kia-Kin et contenant des statues de Fo. Suivant une tradition, de grandes quantités de charbon auraient été enfouies sous cette colline pour permettre l’approvisionnement du Palais Impérial en cas de siège. — Les fouilles exécutées pendant l’occupation n’ont pas permis de contrôler la vérité de cette tradition.
Planche 14
1. Ouverture faite par les Anglais dans la muraille de Pékin. — En avant de l’ouverture se trouve un retranchement défensif construit par les Sikhs.
2. Kiosque octogonal contenant une stèle impériale dans la cour du Palais des Ancêtres, à Pékin.
3. Préparatifs de la fête d’inauguration de l’avenue Voyron.
4. Entrée des appartements privés de l’Empereur au Palais Impérial.
Planche 15
1. Idole d’une pagode située au nord des Lacs.
2. Une des pendules du Palais Impérial.
3. Arc de triomphe à la sortie du pont de marbre de l’île des Jades. Au dernier plan le Péta précédé d’une petite pagode contenant une statue de Poussah qui figure planche 34, no 3.
4. Train impérial construit par l’industrie française. — Ce train était remorqué par les eunuques.
[[File:Arc de triomphe à la sortie du pont de marbre de l’Ile des Jades. Au dernier plan le Péta précédé d’une petite pagode contenant une statue de Poussah qui figure planche 34, no 3.jpg|500px|center|Arc de triomphe à la sortie du pont de marbre de l’île des Jades.]]
Planche 16
1. Entrée du Temple du Ciel.
2. Tour de surveillance au centre du Palais des examens des lettrés, à Pékin.
3. Cellules du Palais des Examens des lettrés.
4 et 7. Portes donnant accès à l’Esplanade sud du Temple du Ciel.
5. Temple du Ciel à Pékin. — Monument à triple toiture bâti par l’empereur Young-Lo, de la dynastie des Ming ; monument situé dans la partie nord du parc du Temple. L’Empereur se rend annuellement trois fois dans ce temple pour communiquer au ciel, dont il est le fils, le résultat de la gestion de son empire. Aucune idole ne s’y trouve, on y transporte la Tablette du Ciel lors des visites impériales.
6. Vue d’ensemble d’une partie du Palais des examens des lettrés. Il se compose d’une série de bâtiments d’un 1 m. 50 de profondeur, mais d’une grande longueur de façade. Chacun de ces bâtiments est divisé par des cloisons en une série de cellules ainsi que le montre le cliché 3. Il y a ainsi dix mille cellules. Au moment des examens, chaque candidat est placé dans l’une d’elles et doit y rester pendant toute leur durée, soit trois ou quatre jours. On raconte que chaque session coûte la vie à plusieurs candidats.
Planche 17
1. Vue de Pékin prise en ballon, comprenant la nouvelle Cathédrale ou nouveau Pétang et les bâtiments de la Mission catholique.
2. Ancienne cathédrale de Pékin dite Vieux Pétang. Évacuée en 1888, sur les instances de la cour
impériale que gênaient les vues plongeantes des tours de cette église sur le Palais Impérial, la cathédrale et les bâtiments de la Mission furent reconstruits aux frais du gouvernement chinois sur leur emplacement actuel
3. Monseigneur Favier lisant son bréviaire.
4. Vue de Pékin prise en ballon, montrant la Montagne de Charbon et l’extrémité nord-est du Palais Impérial.
Planche 18
1, 2, 3, 4, 5, 6 et 7. Gares et établissements de la ligne de chemin de fer de Pékin-Hankeou, détruits par les Boxers.
8. Vue du quartier des Légations à Pékin ; la rue des Légations occupe le côté gauche du cliché, transversalement on voit la muraille de la ville Tartare qui fut, durant le siège, le théâtre de luttes acharnées. Les restes de barricades ainsi que les ruines des bâtiments européens y sont encore visibles.
Planche 19
1. Ruines de la gare de Feug-Taï, près de Pékin.
2. Pont de Lou-Kou-Kiao, à treize kilomètres de Pékin ; à cet emplacement se trouvait déjà un pont de marbre que Marco Polo mentionne dans la relation de son voyage ; il fut emporté par une crue au XVIIe siècle et on construisit, pour le remplacer, le pont actuel.
3. Le mandarin de Lou-Kou-Kiao.
4. Faubourg de Lou-Kou-Kiao.
5. Stèle et Pagode à la sortie du pont de Lou-Kou-Kiao.
6. Le Pont du chemin de fer à Lou-Kou-Kiao. Endommagé par les Boxers, il a été réparé et rendu à la circulation par les troupes du génie françaises.
7. Vue prise en ballon, montrant le Palais de la Rotonde et les deux Ponts de marbre, la Montagne de Charbon ou Meï-Chan, la partie nord du Palais Impérial.
Planche 20
1. Vue prise en ballon de l’Île des Jades et du Péta. xxxxxxxxxxConstruction d’une ligne ferrée de Pékin à Lou-Kou-Kiao par les troupes françaises du génie. — Cette ligne a donné l’entrée dans la capitale à la ligne franco-belge d’Hankeou qui s’arrêtait autrefois à Lou-Kou-Kiao.
2. Stèle en marbre supportée par la tortue emblème de longévité, située non loin du tracé de la voie ferrée.
3. Construction d’une estacade dans le grand remblai de la voie ferrée.
4. Estacade au milieu du grand remblai.
5. Pose de la voie.
6. Le grand remblai à la sortie du pont de Lou-Kou-Kiao.
7. Établissement de la plateforme de la voie.
Planche 21
1. Ruines d’un cimetière catholique détruit par les Boxers, près de Pékin.
2. Aménagement définitif de la brèche ouverte dans la muraille de Pékin, pour le passage du chemin de fer.
3. Ouverture de la brèche du chemin de fer, dans la muraille de Pékin.
4. Vue extérieure de la muraille de Pékin.
5. Pose de la voie à travers la brèche ; cette partie de la muraille se trouvant dans le secteur allemand était gardée par des sentinelles allemandes.
6. Vue prise en ballon du quartier du Vieux Pétang, à Pékin.
Planche 22
Le chemin de fer français dans Pékin.
1. Construction d’un ouvrage d’art pour le passage de la voie ferrée au-dessus du fossé de la ville Tartare. La grande tour qui surmonte la muraille était, en principe, destinée à abriter plusieurs étages de feux, mais en réalité ses nombreuses embrasures sont fermées par des volets en bois sur chacun desquels est peinte la bouche d’un canon.
2. Les invités du Général commandant en chef à l’inauguration du chemin de fer se dirigent vers le train d’inauguration.
3. La voie ferrée aux abords de la porte Choun-tche-Men.
4. Exécution d’un remblai dans le fossé de la ville Tartare.
5. Le Général commandant en chef, les ministres de France et de Belgique et les invités à l’inauguration de la voie ferrée de Lou-Kou-Kiao, à Pékin, au milieu des ruines des ateliers de Chan-Sin-Tien.
6. Le premier train traverse le passage à niveau de Choun-tche-Men.
7. Gare de Tsien-Men. Revue des sapeurs de chemin de fer, passée par le général Voyron.
8. Ruines de maisons chinoises à la porte Tsien-Men de la ville Tartare, voisine du quartier des Légations. Sur cet emplacement fut construite la gare terminus du chemin de fer Pékin-Hankeou que l’on voit au numéro 7.
9. Foule chinoise regardant passer le train d’inauguration à Choun-tche-Men.
Planche 23
1. Une des tours de la muraille de Pékin.
2 et 3. Transport de matériaux à dos de chameaux pour la construction de la caserne défensive de la Légation de France, dite caserne Voyron, à Pékin.
4. Porte en maçonnerie au nord du Lac Impérial à Pékin.
5. Un pavillon de la caserne Voyron, le jour de l’inauguration, 2 août 1901.
6. Porte de la caserne.
7. Construction de la partie française de la nouvelle enceinte fortifiée du quartier des Légations, à Pékin.
Planche 24
1. Trône impérial au Palais Impérial, à Pékin.
2. Tour octogonale à treize étages, située à un kilomètre à l’ouest de Pékin.
3. Détail du soubassement de la tour.
4. Arc de triomphe en bois, couverture en tuiles vernissées jaunes, dans le jardin de la Montagne de Charbon.
Planche 25
1. Paysans chinois remplissant une rigole d’arrosage ; le récipient qu’ils tiennent à l’aide de cordes sert à puiser l’eau dans un fossé inférieur et bascule lorsqu’il arrive au niveau de la rigole à remplir.
2. Bac établi sur le Ta-Tsin-Ho à Paoting-Shien.
3 et 5. Pont de Palikao aux abords duquel eut lieu la bataille de 1860.
4. Porte de Ouang-Kia-Pou.
6. Embarquement de troupes sur une portière pour la traversée du Peï-Ho à Peï-Tsang.
7. Pont chinois établi sur le Ta-Tsin-Ho.
8. Monument funéraire chinois ; officiers français se rendant de Tien-Tsin à Pékin.
9. Entrée de la salle contenant le trône de l’Empereur, au Palais d’Été.
Planche 26
1. Trône Impérial au Palais d’Été.
2. Entrée du Palais de Li-Hung-Tchang, à Tien-Tsin.
3. Porte de Tong-Tcheou, près de Pékin.
4. Le Palais d’Été vu du bord du Lac.
Planche 27
1. Tombeaux Impériaux de Mouling (Taïling), à l’ouest de Pékin.
2. Soldats escortant un convoi de chameaux.
3. Tombeaux d’Impératrices.
4. La cour du Consulat de France à Tien-Tsin.
5. Intérieur du Palais de l’Impératrice au Vieux Pétang, à Pékin.
Planche 28
1, 2, 3, 4 et 6. Ruines de bâtiments dans la concession française, à Tien-Tsin.
5. Ruines des maisons chinoises de la concession française, à Tien-Tsin.
7. Cimetière catholique de Cheu-La-Eul profané par les Boxers.
Planche 29
Tien-Tsin.
1. Le quartier général français.
2. Portique transformé en casernement dans la ville chinoise.
3. Groupe d’officiers supérieurs assistant à une ascension du ballon ; de gauche à droite on reconnaît : xxxxLe lieutenant-colonel Legrand, commandant le génie du Corps expéditionnaire ; xxxxLe lieutenant-colonel Franchet d’Esperey ; xxxxLe lieutenant-colonel Marchand ; xxxxLe commandant Germain ; xxxxLe commandant Châtelain.
4, 5 et 6. Construction, par le service du génie, des casernements français dits Ville-Levêque.
7. Vue prise en ballon : Pont établi par les troupes françaises sur le Peï-Ho ; le chemin de fer et la gare se trouvent en haut du cliché ; en bas, le quai de France sur la concession française, on y voit les maisons détruites par les Chinois.
Planche 30
Tien-Tsin.
1. Vue prise en ballon : Boucle du Peï-Ho sur les bords duquel sont disposés les tas de sel appartenant au gouvernement chinois. Ces monticules de 6 à 8 mètres de hauteur servaient de retranchements aux réguliers chinois dans leurs attaques de la concession française.
2. Gare de Tien-Tsin.
3. Manœuvres de sapeurs aérostiers.
4 et 7. Le ballon français.
5. Visite du général Voyron au maréchal de Waldersee lors du départ de celui-ci pour l’Europe.
6. Casernements dits du Théâtre Chinois construits par le service du génie.
Planche 31
Tien-Tsin. — La ville murée.
1. Égout à ciel ouvert le long de la muraille.
2. La muraille et les ruines des maisons voisines après le siège.
3. L’enceinte de la ville murée. — Elle est actuellement rasée et un vaste boulevard occupe son emplacement. — Ce travail a été exécuté par le Gouvernement provisoire établi par les Corps expéditionnaires alliés.
4. Les bords du Peï-Ho.
5. Le Peï-Ho, embarquement de soldats sur des jonques.
6. Tour centrale.
7. Vue en ballon : Face est de l’enceinte voisine du Peï-Ho.
Planche 32
1, 2 et 4. Le 14 juillet 1901 à Tien-Tsin. Jeux organisés par les troupes françaises.
3. La tribune officielle avant la revue du 14 juillet. M. Leduc, Consul de France, et les Princes chinois, frères de l’Empereur, le général chinois Meï.
5 et 6. La tribune officielle après la revue. Sur le cliché numéro 5, on reconnaît le général Voyron.
7. Vue prise en ballon d’une partie de la concession française de Tien-Tsin et de ses ruines.
Planche 33
1 et 2. Maison chinoise et Yamen à Tien-Tsin, aménagés en casernement dans la ville murée.
3. Baraques démontables édifiées à Tien-Tsin pour le service de santé.
4 et 5. Construction de baraquements à Tien-Tsin.
6. Construction d’une salle d’opérations à l’hôpital de Tien-Tsin.
7. Bâtiment du commandement et de la chefferie du génie à Tien-Tsin.
8. Le consulat de France à Tien-Tsin.
Planche 34
1. Rue d’un village chinois un jour de marché.
2. Bouddha du temple lamaïste de Pékin.
3. Poussah de la petite pagode près du Péta. — La pagode se voit sur le cliché no 3 de la planche 14.
4. Intérieur de pagode au nord du Lac de la Cité Impériale.
5. Bouddha en marbre dans le Palais de la Rotonde, à Pékin. Cette figure passait, à tort ou à raison, pour être le portrait de l’Impératrice.
[[File:Poussah de la petite pagode près du Péta. - La pagode se voit sur le cliché no 3 de la planche 14.jpg|500px|center|Poussah de la petite pagode près du Péta. - La pagode se voit sur le cliché no 3 de la planche 14]]
Planche 35
1. Le Fort Blanc à Tien-Tsin.
2. Marché de la rue Courbet dans la concession française de Tien-Tsin.
3. Idoles de la Pagode centrale à étages du Palais d’Été.
4. Lion en bronze au Palais Impérial.
5. Coolies coréens à Tien-Tsin.
6. Officier français et soldats japonais à Tien-Tsin.
Planche 36
1. Le Fort Noir et les ruines de la cathédrale de Tien-Tsin au bord du Peï-Ho.
2. Le pont des Russes à Tien-Tsin.
3. Le canal impérial à Tien-Tsin.
4. Barbier chinois sur le quai de France à Tien-Tsin.
5. Le Peï-Ho vu en ballon.
6. Le quai de France à Tien-Tsin. Le capitaine Calmel.
7. Femme chinoise aux petits pieds.
8. Le Peï-Ho et les jonques.
Planche 37
1. Chaise chinoise d’un cortège de mariée.
2 et 4. Convois de chameaux ; ces animaux remontant en Mongolie pour y passer l’été et ne séjournent au Petchili que l’hiver.
3. Brouettes chinoises.
5. Pont français sur le Peï-Ho.
6. Les jonques sur le Peï-Ho, à Tien-Tsin. — Le bâtiment qui figure sur ce cliché est la Municipalité-Française.
7. Transport du fourrage sur des brouettes.
8. Porteur d’eau.
9. Pousse-pousse ou Djinrickcha.
10. Voiture à bœufs conduite par des Sikhs.
Planche 38
1. Foule autour d’un théâtre ambulant le long de la muraille de Tien-Tsin. — Le rideau, heureusement baissé, cache aux yeux des Européens les sujets, plutôt légers, dont le Chinois fait ses délices.
2. Le général Meï et son escorte.
3. Échassiers indigènes d’Itcho ; leur adresse est remarquable, ils exécutent sur leurs échasses les pantomimes les plus variées.
4. Dragon en bronze du Palais Impérial, à Pékin.
5. Barbiers en plein air le long des murs de Tien-Tsin.
6. Coolies chinois.
Planche 39
1. Les flottes alliées en rade de Takon, au mois de septembre 1900.
2. Construction de l’appontement français à Tong-Kou, par le service du génie.
3. Passage de rivière.
4. Débarquement de voitures chinoises à la gare de Pétang.
5. Biche en bronze du Palais Impérial.
6. Entrée du fort de Pétang occupé par les Russes.
Planche 40
1. Gare de Chan-Haï-Kouan.
2. Détachement quittant une station.
3. Gare de Tong-Chan.
4. Interprète et bagages d’une reconnaissance.
5. Arrivée à l’étape.
6. Halte près d’une ville murée.
7. Cigogne en bronze au Palais Impérial, à Pékin.
Planche 41
1. Animaux fantastiques en bronze, au Palais Impérial à Pékin.
2. Chin-Van-Tao et Chan-Haï-Kouan, ports voisins dans le nord du golfe du Petchili, libres de glaces pendant l’hiver. — Construction d’un warf.
3. Ruines de villas européennes.
4, 5, 6. Extrémité de la Grande Muraille de Chine au bord de la mer.
7. Fort chinois occupé par les troupes internationales.
↑ À la suite de chaque titre, une lettre (C., P. ou T.) indique que le cliché correspondant a été pris respectivement par
l’un des capitaines Calmel, Plaisant ou Tissier.