La Mort (Czechowicz)

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Traduction par M.S..
Dzień jak codzieńF. Hoesick.
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c’est écrit la gare des marchandises
c’est écrit le dépôt
l’ascenseur et le monte-charge penchent leurs têtes pesantes
quoi qu’il arrive

le wagon la prison rouge des vaches
a bouché des petits fenêtres avec des museaux de veaux
un beuglement plein des regrets un beuglement et de nouveau
des machines moulent le silence

les sacs sur la rampe sentent le fourrage
pour un moment c’est la campagne oh quel est son attrait
mais il n’y a pas de bruissement humide des herbes aux paturons
des blancs lampadaires éteignent la douce nuit

oh les roues qui les huit
vous savez bien où est l’abattoir
à eux aux freins aux chaînes aux essieux
le chemin non plus n’est interminable

pourquoi des planches salurées de fraisse
ont cessé d’être des pins fleuris
c’est pour cela et la maison en brique
la gare des marchandises avec la grue en fer
ne s’apitoiera pas sur la nuit et les vaches

les vaches sont pour qu’on les tue.