Le Testament de Jean Meslier/Édition 1864/Chapitre d

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Texte établi par Rudolf Charles MeijerLibrairie étrangère (Tome 1p. liii-lxiv).
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d. CORRESPONDANCE DE VOLTAIRE, AU SUJET DU TESTAMENT DU CURÉ MESLIER, ETC.


A. M. THIÉRIOT.
À Cirey, le 30 Novembre (1735).

Je suis enchanté de la bonne fortune que vous avez depuis six mois, avec Locke. Vous me charmez de lire ce grand homme qui est dans la métaphysique, ce que Newton est dans la connaissance de la nature. Quel est donc ce curé de village dont vous me parlez ? Il faut le faire évéque au diocèse de Saint-Vrain. Comment ! un curé, et un Français, aussi philosophe que Locke ? Ne pouvez-vous point m’envoyer le manuscrit ? Il n’y aurait qu’à l’envoyer, avec les lettres de Pope, dans un petit paquet, à Demoulin ; je vous le rendrais très-fidèlement.




A. M. DAMILAVILLE.
4 Février (1762).

Mon cher frère saura que je lui ai écrit toutes les postes, que j’ai déterré les deux exemplaires de l’Oriental, avec les Sentiments du curé, dont j’ai fait trois envois à trois postes différentes. Je suis frère fidèle et frère exact.




Au Même.
8 Février (1762).

… Mon frère aura un Meslier dès que j’aurai reçu l’ordre ; il parait que mon frère n’est pas au fait. Il y a quinze à vingt ans qu’on vendait le manuscrit de cet ouvrage huit louis d’or. C’était un très-gros in-quarto ; il y en a plus de cent exemplaires dans Paris. Frère Thiériot est très au fait. On ne sait qui a fait l’extrait ; mais il est tiré tout entier, mot pour mot, de l’original. Il y a encore beaucoup de personnes qui ont vu le Curé Meslier ; il serait très utile qu’on fît une édition nouvelle de ce petit ouvrage à Paris ; on peut la faire aisément en trois ou quatre jours.




A. M. Dalembert.
Février (1762.)

On a imprimé en Hollande le Testament de Jean Meslier ; ce n’est qu’un très petit extrait du Testament de ce curé. J’ai frémi d’horreur à la lecture. Le témoignage d’un curé qui, en mourant, demande pardon à Dieu d’avoir enseigné le christianisme, peut mettre un grand poids dans la balance des libertins. Je vous enverrai un exemplaire de ce Testament de l’Antéchrist, puisque vous voulez le réfuter. Vous n’avez qu’à me mander par quelle voie vous voulez qu’il vous parvienne ; il est écrit avec une simplicité grossière qui, par malheur, ressemble à la candeur.




Au Même.
À Ferney, 25 Février (1762).

Meslier est curieux aussi. Il part un exemplaire pour vous ; le bon grain était étouffé dans l’ivraie de son in-folio. Un bon Suisse a fait l’extrait très-fidèlement, et cet extrait peut faire beaucoup de bien. Quelle réponse aux insolents fanatiques qui traitent les sages de libertins ! Quelle réponse, misérables que vous êtes, que le testament d’un prêtre qui demande pardon à Dieu d’avoir été chrétien ! ……

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Quoi ! Meslier, en mourant, aura dit ce qu’il pense de Jésus, et je ne dirai pas la vérité sur vingt détestables pièces de Pierre, etc.




De M. Dalembert.
À Paris, ce 30 Mars (1762).

Un malentendu a été cause, mon cher philosophe, que je n’ai reçu que depuis peu de jours l’ouvrage de Jean Meslier, que vous m’aviez adressé il y a près d’un mois ; j’attendais que je l’eusse pour vous écrire. Il me semble qu’on pourrait mettre sur la tombe de ce curé : "Ci-gît un fort honnête prêtre, Curé de village, en Champagne, qui, en mourant, a demandé pardon à Dieu d’avoir été chrétien, et qui a prouvé par là que quatre-vingt-dix-neuf moutons et un Champenois ne font pas cent bêtes". Je soupçonne que l’extrait de son ouvrage est d’un Suisse qui entend fort bien le français, quoiqu’il affecte de le parler mal. Cela est net, pressant et serré, et je bénis l’auteur de l’extrait, quel qu’il puisse être.

C’est du Seigneur la vigne travailler.
J. B. Rousseau, épigr. obsc.



A. M. Damilaville.
17 Avril (1762).

J’ai l’honneur de vous envoyer, Monsieur, de la part de M. Friche Baume, libraire, la brochure ci-jointe. Vous êtes assez affermi dans notre sainte religion pour lire sans danger ces impiétés ; mais je ne voudrais pas que cet ouvrage tombât entre les mains de jeunes gens qu’il pourrait séduire.




A. M. le Comte d’Argental.
Aux Délices, 15 Mai (1762).

Je crois ne pouvoir mieux remercier Dieu de mon retour à la vie qu’en vous envoyant cet ouvrage édifiant. On devrait bien l’imprimer à Paris.



À Madame de Florian, à Honroi.
Aux Délices, 20 Mai (1762).

Ma chère nièce, il est triste d’être loin de vous. Lisez et relisez Jean Meslier ; c’est un bon curé.




A. M. le Comte d’Argental.
Aux Délices, 31 Mai (1762).

Il est juste de vous envoyer un exemplaire de la seconde édition de Meslier ; on avait oublié, dans la première, son avant-propos, qui est très-curieux ; vous avez des amis sages qui ne seront pas fâchés d’avoir ce livre dans leur arrière-cabinet ; il est tout propre d’ailleurs à former la jeunesse. L’in-folio qu’on vendait en manuscrit huit louis d’or, est inlisible ; ce petit extrait est très-édifiant. Remercions les bonnes âmes qui le donnent pour rien, et prions Dieu qu’il répande ses bénédictions sur cette lecture utile.




A. M. Damilaville.
4 Juin (1762).

Permettez que je vous adresse un exemplaire d’une brochure plus abominable que tous les livres de Jean-Jacques Rousseau ; elle est pour M. le Marquis d’Argence.




Au Même.
7 Juin (1762).

Le dernier (paquet) partit, le 5 Juin et contenait deux exemplaires d’Étrépigny et de But[1].

  1. Étrépigny. — Le Testament, de Meslier, curé d’Étrépigny. — But. Sans doute un pamphlet sur lord Bute*

*. Je prie le lecteur de ne pas me tenir compte de cette profonde et judicieuse remarque. À chacun son bien. C’est à M. Alphonse François qu’on



A. M. le Marquis d’Argence de Dirac.
Aux Délices, 11 Juin (1762).

Vous avez dû recevoir, monsieur, un ouvrage fort curieux et qui peut servir de commentaire à celui que vous lisez actuellement, ou plutôt que vous ne lisez plus. Car tout admirable qu’est ce livre, il lasse un peu à la fin, et l’uniformité des beautés ennuie.




A. M. Damilaville.
15 Juin (1762).

Avez-vous reçu un Meslier de la nouvelle édition ?




Au Même.
25 Juin (1762).

Je suis toujours en peine d’un Meslier envoyé à mon frère pour le marquis d’Argence, en son Chateau de Dirac, près d’Angoulème : je prie mon frère de m’en donner des nouvelles. Je répète que le Despotisme Oriental pourrait bien avoir été pincé, pour avoir été indiscrètement envoyé en forme de livre. La Mort de Socrate est un beau sujet dans une république où l’on peut mettre sur le théâtre l’injustice, l’ignorance, la sottise, et la cruauté des juges. Je souhaite que ce sujet réussisse en France. Voulez-vous des Meslier et autres drogues ? J’en pourrai découvrir dans les greniers du pays.




A. M. Dalembert.
Aux Délices, 12 Juillet (1762).

Il paraît, que le Testament de Jean Meslier fait un plus grand effet : tous ceux qui le lisent demeurent convaincus ; cet

homme discute et prouve. Il parle au moment de la mort, au moment où les menteurs disent vrai : voilà le plus fort de tous les arguments. Jean Meslier doit convertir la terre. Pourquoi son évangile est-il en si peu de mains ? Que vous êtes tièdes à Paris ! vous laissez la lumière sous le boisseau.




De M. Dalembert.
À Paris, le 31 Juillet (1762).

Vous nous reprochez de la tiédeur ; mais je crois vous l’avoir déjà dit, la crainte des fagots est très-rafraîchissante. Vous voudriez que nous fissions imprimer le Testament de Jean Meslier, et que nous en distribuassions quatre ou cinq mille exemplaires ; l’infâme, puisque infâme y a, n’y perdrait rien ou peu de chose, et nous serions traités de fous, par ceux mêmes que nous aurions convertis.




A. M. Dalembert.
Au Chateau de Ferney, par Genève, 15 Septembre (1762).

Il y a d’ailleurs plus de Jean Meslier et de Sermon des Cinquante dans l’enceinte des montagnes qu’il n’y en a à Paris. Ma mission va bien, et la moisson est assez abondante. Tâchez de votre côté d’éclairer la jeunesse autant que vous le pourrez.




A. M. Damilaville.
18 Septembre (1762).

Je désire chrétiennement que le Testament du Curé se multiplie comme les cinq pains, et nourrisse les âmes de quatre à cinq mille hommes ; car j’ai plus que jamais l’inf…… en horreur, et j’aime plus que jamais mon frère.



Au Même.
10 Octobre (1762).

Helvétius a eu le malheur d’avouer un livre[1] qui l’empêchera d’en faire d’utiles : mais je reviens toujours à Jean Meslier. Je ne crois pas que rien puisse jamais faire plus d’effet que le testament d’un prêtre qui demande pardon à Dieu, en mourant, d’avoir trompé les hommes. Son écrit est trop long, trop ennuyeux, et même trop révoltant ; mais l’Extrait est court, et contient tout ce qui mérite d’être lu dans l’original.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Quoi ! la Gazette ecclésiastique s’imprimera hardiment, et on ne trouvera personne qui se charge de Meslier ? J’ai vu Woolston à Londres vendre chez lui vingt mille exemplaires de son livre contre les miracles. Les anglais, vainqueurs dans les quatre parties du monde, sont encore les vainqueurs des préjugés ; et nous, nous ne chassons que les jésuites, et nous ne chassons point les erreurs. Qu’importe d’être empoisonné par frère Berthier ou par un janséniste ? Mes frères, écrasez cette canaille. Nous n’avons pas la marine des Anglais, ayons du moins leur raison. Mes chers frères, c’est à vous à donner cette raison à nos pauvres Français.




à M. le Marquis d’Argence de dirac.
Ferney, 2 Décembre (1762).

Une espèce de colporteur suisse m’a dit qu’il vous avait envoyé, il y a un mois une brochure. Je soupçonne par le titre que vous n’en serez pas content. C’est, dit-il, l’ouvrage d’un curé ; et ce n’est pas un prône. Vous lisez tout, bon ou mauvais et vous pensez que, dans les plus méchants livres, il y a toujours quelque chose, dont on peut faire son profit.



A. M. Damilaville.
6 Décembre (1762).

Mes frères, les Pensées tirées des objections diverses etc. sont un excellent ouvrage. Il faut en tirer quelques exemplaires pour les sages ; mais je crois que rien ne fera jamais plus d’impression que le livre de Meslier. Songez de quel poids est le témoignage d’un mourant et d’un prêtre homme de bien.




A. M. le Marquis d’Argence de dirac.
À Ferney, le 2 Mars (1763).

J’ai trouvé un Testament de Jean Meslier que je vous envoie. La simplicité de cet homme, la pureté de ses moeurs, le pardon qu’il demande à Dieu et l’authenticité de son livre, doivent faire un grand effet.

Je vous enverrai tant d’exemplaires que vous voudrez du Testament de ce bon curé.




A. M. Damilaville.
le 5 Mars (1763).

On demande dans les provinces des Sermons[2] et des Meslier : la vigne ne laisse pas de se cultiver, quoiqu’on en dise.




A. M. le Marquis d’Argence de dirac.
22 Avril (1763).

Je suis bien faché de n’avoir plus de Sermons, mais vous aurez des Curé Meslier tant que vous en voudrez. Je ne sais si le dernier ouvrage de J. J. Rousseau, intitulé Emile, est parvenu jusqu’à vous. Il est vrai que dans ce livre, qui est un plan d’éducation, il y a bien des choses ridicules et absurdes. Il a un jeune homme de qualité à élever, et il en fait un menuisier : voilà le fonds de ce livre ; mais il introduit au troisième tome un vicaire savoyard, qui sans doute était vicaire du curé Jean Meslier. Ce vicaire fait une sortie contre la religion chrétienne avec beaucoup d’éloquence et de sagesse.




A. M. Helvétius.
Le 1er Mai (1763).

On m’a envoyé les deux extraits de Jean Meslier ; il est vrai que cela est écrit du style d’un cheval de carosse ; mais qu’il rue bien à propos ! et quel témoignage que celui d’un prêtre qui demande pardon en mourant d’avoir enseigné des choses absurdes et horribles ! quelle réponse aux lieux communs des fanatiques qui ont l’audace d’assurer que la philosophie n’est que le fruit du libertinage !




A. M. Damilaville.
9 Mai (1763).

Je rouvre ma lettre pour vous dire, mon cher frère, qu’il est important que vous alliez voir M. Janel. Je suis au désespoir de ce contretemps. Vous offrirez le payement du paquet qu’on a retenu. C’est une bagatelle qui ne peut faire de difficulté ; mais le point essentiel est qu’on vous rende la lettre pour M. le Comte de Bruc, l’un de nos frères, très zélé. Il faut au moins obtenir que M. Janel ne nous fasse pas de la peine ; c’était, ne vous déplaise, un Meslier dont il s’agissait ; c’était un de mes amis qui envoyait ce Meslier à M. de Bruc : ni la lettre, ni la brochure ne sont parvenues.




Au Même.
15 Juin (1763).

Voici deux Meslier que je hasarde sous enveloppe de M. de Courteilles et de M. d’Argental. Envoyez en donc un à M. le Comte de Bruc, notre adepte, chez M. le Marquis de Rosmadec, rue de Sèvres.

Il ne faut pas mettre la chandelle sous le boisseau.




A. M. Marmontel.
19 Juin (1763).

Je voudrais vous faire parvenir deux exemplaires d’un Extrait de Jean Meslier ; cet ouvrage m’a toujours frappé. Il est nécessaire qu’il soit connu, et vous pourriez le mettre en bonnes mains. Il faut servir la raison autant qu’on le peut ; c’est notre reine, et elle a encore bien des ennemis à Paris. Elle s’est formé beaucoup de sujets dans le pays où je suis, parce qu’on y a plus le temps de penser. Je tâcherai de vous envoyer Jean Meslier par voie bien sûre.




A. M. Damilaville.
12 Juillet (1763).

Admirez la Providence. L’auteur de l’Oracle des Fidèles, livre excellent, trop peu connu, était un valet de chambre d’un conseiller-clerc de la seconde des enquêtes, nommé Nigon de Berty, cloître Notre-Dame : il est venu chez-moi, il y est ; c’est une espèce de sauvage comme le Curé Meslier.




A. M. Helvétius.
25 Auguste (1763).

Ces petits livres se succèdent rapidement les uns aux autres. On ne les vend point, on les donne à des personnes affidées qui les distribuent à des jeunes gens et à des femmes. Tantôt c’est le Sermon des Cinquante, qu’on attribue au roi de Prusse ; tantôt c’est un Extrait du Testament de ce malheureux Curé Jean Meslier, qui demande pardon à Dieu en mourant d’avoir enseigné le christianisme ; tantôt c’est je ne sais quel Catéchisme de l’honnête homme, fait par un certain abbé Durand.



A. M. Damilaville.
6 Décembre (1763).

Quand trouvera-t-on quelque bonne âme qui donne une jolie édition du Meslier, du Sermon, et du Catéchisme de l’honnête homme[3] ? Ne pourrait-on pas en faire tenir, sans se compromettre, au bon Merlin ? Je ne voudrais pas qu’un de nos frères hasardât la moindre chose ; mais quand on peut servir son prochain sans risque, on est coupable devant Dieu de se tenir les bras croisés.




Au même.
19 Décembre (1763).

Je me souviens d’un petit bossu qui vendait autrefois des Meslier sous le manteau ; mais il connaissait son monde et n’en vendait qu’aux amateurs.




Au même.
6 Juillet (1764).

Sachez que Dieu bénit notre Église naissante ; trois cents Meslier, distribués dans une province, ont opéré beaucoup de conversions.




De M. Dalembert.
À Paris, ce 9 Juillet (1764).

À propos, on m’a prêté cet ouvrage attribué à Sant-Evremont, et qu’on dit de du Marsais, dont vous m’avez parlé il y a long temps : cela est bon ; mais le Testament de Meslier par extrait vaut encore mieux.




A. M. Dalembert.
16 Juillet (1764).

Le Testament de Meslier devrait être dans la poche de tous les honnêtes gens. Un bon prêtre, plein de candeur, qui demande pardon à Dieu de s’être trompé, doit éclairer ceux qui se trompent.

A. M. Damilaville.
29 Septembre (1764).

Vos prophètes sont muets, les oracles ont cessé. Il y a trop peu de Mesliers, trop peu de Sermons et trop de fripons.




Au Même.
8 Octobre (1764).

Les noms nuisent à la cause, ils réveillent le préjugé. Il n’y a que le nom de Jean Meslier qui puisse faire du bien, parce que le repentir d’un bon prêtre, à l’article de la mort, doit faire une grande impression. Ce Meslier devrait être entre les mains de tout le monde.




Décret.

DE LA CONVENTION NATIONALE SUR LA PROPOSITION
D’ÉRIGER UNE STATUE AU CURÉ
J. MESLIER.
du 27 Brumaire an II (17 Novembre 1793).

La Convention nationale renvoie à son Comité d’Instruction publique la proposition faite par l’un de ses membres, d’ériger une statue à Jean Meslier, Curé d’Étrépigny en Champagne, le premier prêtre qui ait eu le courage et la bonne foi d’abjurer les erreurs religieuses.

Les Président et Sécrétaires,
Signé : p. a. laloy, Président.
Signé : bazire ; charles duval ; philippe aux ; frécine
Signé : et merlin (de Thionville), Sécrétaires.
Certifié conforme à l’original.
Les Membres du comité des Décrets et Procès-verbaux :
Signé : batellier ; eschasseriaux ; monnel ; becker ;
Signé : vernetey ; pérard ; vinet ; bouillerot ; auger ;
Signé : cordier ; delecloy et cosnard.


    la doit. La note me parait trop curieuse de naïveté pour que je puisse m’empêcher de la reproduire ici. Elle se trouve dans les "Lettres inédites de Voltaire recueillies par M. de Cayrol et annotées par M. Alphonse François". 2 vol in-8o. Paris. Didier & C°. 1856. Tome I, page 349.

    r. c.

  1. De l’Esprit.
  2. Sermon des Cinquante.
  3. J’y pense. R. C.