Les Forces éternelles/Ni l’éblouissement du regard…
Arthème Fayard & Cie, éditeurs, 1920 (éd. revue et corrigée) (p. 383).
NI L’ÉBLOUISSEMENT DU REGARD…
Ni l’éblouissement du regard qui reçoit
L’aurore, l’horizon et les coteaux sur soi ;
Ni les vergers avec leurs tentures de pêches,
Ni le ciel pur par qui la chaleur semble fraîche,
Ni le subit bonheur d’un noir oiseau, cloué
D’extase, semble-t-il, sur l’azur large et tendre,
Ne valent la douceur de ce que peut entendre
Daphnis se reposant sur le cœur de Chloé…