Livre:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome XII.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreŒuvres complètes de Saint Augustin
AuteurAugustin d’Hippone Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurRaulx
Maison d’éditionL. Guérin & Cie
Lieu d’éditionBar-le-Duc
Année d’édition1868
BibliothèqueUniversity of Toronto -> Internet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger
Série I  -  II  -  III  -  IV  -  V  -  VI  -  VII  -  VIII  -  IX  -  X  -  XI  -  XII  -  XIII  -  XIV  -  XV  -  XVI  -  XVII 

Pages

- - - - - - - - 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 446 447 448 449 450 451 452 453 454 455 456 457 458 459 460 461 462 463 464 465 466 467 468 469 470 471 472 473 474 475 476 477 478 479 480 481 482 483 484 485 486 487 488 489 490 491 492 493 494 495 496 497 498 499 500 501 502 503 504 505 506 507 508 509 510 511 512 513 514 515 516 517 518 519 520 521 522 523 524 525 526 527 528 529 530 531 532 533 534 535 536 537 538 539 540 541 542 543 544 545 546 547 548 549 550 551 552 553 554 555 556 557 558 559 560 561 562 563 564 565 566 567 568 569 570 571 572 573 574 TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM TdM - - - - - -
SOMMAIRE

Traités de morale

  • Manuel, ou Traité de la Foi, de l’Espérance et de la Charité, p. 1
  • Du Combat chrétien, p. 44
  • Méthode pour enseigner aux catéchumènes les éléments du christianisme, ou Traité du Catéchisme, p. 60
  • De la Continence, p. 88
  • De ce qui est bien dans le mariage, p. 106
  • De la Sainte Virginité, p. 124
  • Avantages de la Viduité, ou Lettre à Julienne, veuve, p. 150
  • Des Unions adultères, p. 166
  • Du mensonge, p. 195
  • Contre le Mensonge. À Consentius, p. 218
  • Du Travail des moines, p. 241
  • De la Divination des démons, p. 271

Page:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome XII.djvu/589

DU TRAVAIL DES MOINES.
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
Chapitre premier. Arguments des moines opposants. — Textes de l’Evangile et de saint Paul sur le travail.
241
— II. Réfutation. — Il faut expliquer les paroles du Seigneur les unes par les autres ; de même, les textes de l’Apôtre.
242
— III. Saint Paul fait un précepte du travail corporel.
243
— IV. Le vrai sens de saint Paul s’explique d’après ses autres épitres.
244
— V. L’exemple de Jésus-Christ prouve que les Apôtres ont eu la permission de se faire accompagner et servir par des femmes.
244
— VI. Ce n’est pas aux seuls Apôtres, mais bien aussi à d’autres que le Christ a permis de vivre de l’Evangile.
245
— VII. La faculté de ne point travailler, accordée aux Apôtres, doit s’entendre du travail corporel.
245
— VIII. Il est évident que l’Apôtre parle du travail manuel.
246
— IX. La suite du texte rend la pensée plus évidente.
247
— X. Pourquoi saint Paul ne vit pas de l’Evangile.
248
— XI. Ici comme ailleurs, Paul obéit à un sentiment de commisération pour les faibles. — Il craint, en vivant de l’Evangile, que les faibles ne s’imaginent que l’Evangile se vend.
248
— XII. Effrayé des dangers que couraient les faibles, l’Apôtre aima mieux travailler, que de vivre de l’Evangile.
250
— XIII. Quel était le travail manuel de l’Apôtre ? Enumération des occupations honnêtes au moyen desquelles on gagne sa vie.
251
— XIV. Quelles heures l’Apôtre consacrait-il au travail ? Oisiveté des moines.
251
— XV. En recommandant le travail aux serviteurs de Dieu, Paul veut néanmoins que les fidèles pourvoient à leurs besoins. Le travail que les serviteurs de Dieu doivent préférer est celui qui n’engendre pas de soucis et s’exerce sans cupidité.
252
— XVI. C’est exercer un ministère à l’égard des saints que de leur fournir les choses nécessaires à la vie corporelle en retour des biens spirituels. — Que les serviteurs de Dieu obéissent à Paul en travaillant ; et les bons chrétiens aussi, en pourvoyant à leurs besoins.
253
— XVII. Objection des paresseux : ils vaquent à l’oraison, à la psalmodie, à la lecture, à la parole de Dieu. — Il est permis de chanter des psaumes en travaillant. — La lecture ne sert de rien, si on ne la met en pratique.
255
— XVIII. Autre objection réfutée : la nécessité de dispenser la parole de Dieu. Paul avait distribué son temps entre la prédication et le travail. — La meilleure administration est celle où tout se fait avec ordre.
256
Chap. XIX. Le travail de saint Paul était vraiment un travail manuel.
257
— XX. Difficulté : les autres apôtres qui ont vécu de l’Evangile sans travailler ont-ils péché ? — Réponse : le précepte du travail regarde ceux qui n’évangélisent pas.
257
— XXI. Ceux qui veulent être oisifs sont, pour la plupart, des convertis qui menaient auparavant une vie pauvre et laborieuse.
258
— XXII. Contre les moines oisifs et bavards, dont l’exemple et la parole détournent les autres du travail.
258
— XXIII. Les paresseux entendent mal l’Evangile. — L’auteur les plaisante. — Moines qui s’enferment, pour n’être vus de personne, durant plusieurs jours. — Le précepte évangélique de ne pas songer au lendemain est en accord avec le texte de l’Apôtre.
259
— XXIV. Faire des réserves pour le lendemain n’est pas chose défendue par l’Evangile.
261
— XXV. A quoi sert-il d’avoir abandonné ses occupations antérieures, s’il faut revenir au travail ? — La charité dans la vie commune. — Il convient que ceux mêmes qui sortent d’une condition supérieure, travaillent après leur conversion ; à plus forte raison ceux qui ont quitté un genre de vie plus humble.
261
— XXVI. Comment il faut entendre la maxime : ne pas s’inquiéter de la nourriture ni du vêtement. — En quel sens faut-il prendre l’exemple des oiseaux du ciel et des lis des champs.
263
— XXVII. Il faut utiliser nos moyens, sous peine de tenter Dieu.
264
— XXVIII. Tableau frappant des moines oisifs et vagabonds.
265
— XXIX. Occupations de saint Augustin. — Il préférerait travailler comme les moines, à des heures déterminées.
265
— XXX. Il est à craindre que la paresse des mauvais ne ralentisse et ne gâte les bons.
266
— XXXI. Contre les moines à longue chevelure.
267
— XXXII. Mauvaise manière dont les moines chevelus interprètent l’Ecriture. — L’Apôtre saint Paul a fait profession d’une chasteté parfaite. — Précepte fait aux hommes de ne point se voiler la tète. — L’âme figurée par l’homme et la concupiscence par la femme.
268
— XXXIII. Certains moines chevelus, saints hommes d’ailleurs, invités il se dépouiller de leur chevelure.
269

DE LA DIVINATION DES DÉMONS.
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
Chapitre premier. A quelle occasion fut écrit ce traité. — Ce que Dieu permet n’est pas pour cela toujours selon la loi.
271
— II. Dieu a permis, comme tout-puissant, ce qu’il désapprouvait comme infiniment juste. — Livres pontificaux qui réglaient les cérémonies profanes. — Résumé et énoncé.
272
Chap. III. La divination des démons s’explique par trois causes.
273
— IV. Dieu que les démons fassent certaines choses étonnantes, il faut les mépriser.
273
— V. D’où vient que les démons annoncent l’avenir.
274
— VI. Que, le plus souvent, les démons sont trompés et trompeurs.
275
Chap. VII. Pourquoi les démons tantôt se taisent sur leurs propres malheurs, et tantôt les publient.
VIII. Les démons ont pu faire quelques prédictions vraies, d’après leurs connaissances des oracles des prophètes ; mais ils n’ont jamais osé rien dire contre le vrai Dieu.
IX. Les prophètes ont prédit que le culte des démons disparaîtra pour faire place au culte d’un seul Dieu.
X. Les tristes restes des païens vantent en vain leur science et leur sagesse.



DES DEVOIRS A RENDRE AUX MORTS.
Traduction de M. DEFOURNY..

Chapitre premier. Est-il utile à un mort d’être enseveli auprès du tombeau d’un martyr ?
II. De quelle utilité sont les honneurs de la sépulture. Le défaut de sépulture ne nuit pas aux morts chrétiens.
III. Pourquoi le soin des funérailles et de la sépulture est louable.
IV. Le lieu de la sépulture d’un mort ne lui est pas utile par lui-même, mais parce qu’il excite à prier pour le défunt.
V. En quelle mesure le lieu de la sépulture est utile aux morts.
VI. Corps de martyrs brûlés, et leurs cendres jetées dans le Rhône.
VII. Le soin de la sépulture vient du sentiment d’affection que l’homme éprouve pour son propre corps.
VIII. Les martyrs ont dédaigné le soin de leur sépulture.
IX. Pourquoi l’Ecriture loue les soins donnés aux morts.
X. Des apparitions de morts qui demandent la sépulture.
XI. Un père mort apparaît à son fils. Augustin apparaît en songe au rhéteur Euloge, et lui explique un passage de Cicéron.
XII. Visions des frénétiques. — Vision de Courma le curial.
XIII. Les âmes des morts n’interviennent pas dans les affaires des vivants.
XIV. Objection.
XV. Comment les morts peuvent savoir ce qui se passe ici-bas.
XVI. Comment les martyrs viennent à notre secours.
XVII. Le moine Jean.
XVIII. Conclusion.



DE LA PATIENCE.

Chapitre premier. De la patience de Dieu.
II. En quoi consiste la vraie patience. Son utilité.
III. Grandeur de la patience des méchants.
IV. Les hommes vains louent cette patience.
V. Exemples de patience étonnante : Catilina et les voleurs.
VI. La cause pour laquelle on souffre constitue la différence entre la vraie et la fausse patience.
VII. Les méchants savent tout souffrir pour la vie temporelle. L’à !ce ne profite pas seule de la mort et des douleurs patiemment supportées ; le corps en a sa part.
VIII. Utilité de la patience pour l’âme et pour le corps.
IX. La patience de l’âme.
X. La patience dans les maux extérieurs. — Les martyrs ont eu l’une et l’autre patience.
XI. Patience du saint homme Job.
XII. La patience de Job supérieure à celle d’.dara.
XIII. Défaut de palieuce des Donatistes. Ils portent sur eux-mêmes des mains criminelles, quand les chrétiens les recherchent.
XIV. La patience des justes.
XV. Source vraie de la patience.
XVI. Objection.
XVII. Réponse.
XVIII. La patience vient de Dieu.
XIX. Autre objection : réponse.
XX. La grâce prévenante.
XXI. La glace a fait les anciens justes.
XXII. Sans la grâce point de juste.
XXIII. Patience vraie ; patience fausse.
XXIV. Volonté mauvaise sans l’instigation du démon.
XXV. Dieu seul rend la volonté bonne.
XXVI. Que penser de la patience des schismatiques ?
XXVII. Est-elle un don de Dieu ?
XXVIII. Dons et dons.
XXIX. Eternelle récompense de la patience véritable.


DU SYMBOLE.
DISCOURS ADRESSÉ AUX CATÉCHUMÈNES.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

Chapitre premier. Le symbole, règle de foi.
II. Le Fils de Dieu, Notre-Seigneur, est véritablement Dieu et tout-puissant.
III. Le Fils de Dieu recevant d’une vierge une naissance humaine. Sa passion.
IV. Etie assis à la droite du Père.
Chap. V. Le Saint-Esprit est Dieu.
VI. De la sainte Église.
VII. Les péchés les plus griefs remis dans le baptême, et les péchés véniels dans l’Oraison dominicale.
VIII. Trois moyens différents d’obtenir la rémission des péchés.
IX. De la résurrection de la chair pour la vie éternelle.



DE LA DISCIPLINE CHRÉTIENNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

CHAPITRE PREMIER. Sujet du discours.
II. Qu’est-ce que bien vivre.
III. Commandement d’aimer Dieu et le prochain.
IV. Comment doit s’aimer celui à qui il est ordonné d’aimer son prochain comme lui-même.
V. Amour pernicieux pour le prochain.
VI. Le bonheur de l’homme consiste à aimer Dieu.
VII. L’envie est un vice diabolique, issu de l’orgueil.
VIII. Diminuer, par l’aumône, le fardeau des richesses.
IX. Éviter les pernicieux discours des avares.
X. L’aveuglement des avares.
XI. Apprendre les lettres dans un but temporel.
XII. la bonne mort préparée par une bonne vie.
XIII. Les bons et les mauvais auditeurs.
XIV. Quel est le véritable maître ?



DU CANTIQUE NOUVEAU
ET
DU RETOUR A LA CÉLESTE PATRIE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

Chapitre Premier. Passage de l’ancienne vie à la vie nouvelle.
II. Batoas notre marche vers la patrie.
III. Do la voie terrestre vers la patrie.
IV. Différentes espèces de voyageurs.
V. La vraie et la fausse prédication.
VI. Erreur des Manichéens.
VII. Erreur des Ariens.
VIII. Hérésie des Pélagiens.
IX. Réfutation des hérésies.
X. Exhortation aux catéchumènes.



DE L’UTILITÉ DU JEÛNE.
Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

CHAPITRE PREMIER. Le jeûne est pour les hommes et non pour les anges.
II. Le jeûne nous place entre les hommes charnels et les anges.
III. Le jeune nécessaire pour dompter la chair.
IV. Erreur des Manichéens sur la lutte de la chair et de l’esprit.
V. On doit quelquefois refuser à la chair des plaisirs même permis.
VI. L’harmonie des membres du corps invite les hérétiques à rentrer dans l’unité.
VII. Unité des païens dans le culte des idoles.
VIII. La charité c’est la vie ; la dissension c’est la mort.
IX. Rien n’est à négliger pour ramener les hérétiques à l’unité.
X. Zèle persévérant pour la conversion des hérétiques obstinés.
XI. Contre les hérétiques qui déchirent l’Église.



Traduction de M. l’abbé BURLERAUX.

— CHAPITRE PREMIER. L’exemple de Daniel confessant ses péchés, proposé à ceux dont la ruine de Rome soulève les murmures contre Dieu.
— II. Pourquoi Dieu n’a-t-il pas épargné Rome, en faveur des justes qui l’habitaient ?
— III. Les malheurs de Job surpassent encore ceux de la ville de Rome.
— IV. Les souffrances temporelles comparées à l’enfer.
— V. Rome possédait-elle des justes qui pussent lui mériter son salut ?
— VI. Dans quel sens peut-on dire que Dieu épargna Rome, en considération des justes.
— VII. Constantinople et Rome.
— VIII. Utilité des tribulations temporelles.
ŒUVRES DOGMATIQUES.

DE LA TRINITÉ.
Traduction de MM. DUCHASSAING et DEVOILLE.


Chapitre premier. Trois sources d’erreurs. — Nécessité de purifier l’âme pour étudier la Trinité.
— II. Plan de cet ouvrage.
— III. Dans quelles dispositions on doit le lire.
— IV. Quel est sur la sainte Trinité l’enseignement de l’Église.
— V. Comment trois personnes ne font-elles qu’un seul Dieu.
— VI. Consubstantialité des trois personnes.
— VII. Comment le Fils est-il inférieur au Père et à lui-même.
— VIII. Passages de l’Écriture relatifs à l’infériorité du Fils.
— IX. Il faut souvent appliquer à toutes les personnes ce que l’Écriture dit de l’une d’entre elles.
— X. Dans quel sens est-il dit que le Fils livrera la souveraineté au Père.
— XI. Deux natures dans la personne du Fils.
— XII. Autres passages relatifs aux deux natures.
— XIII. Dans quel sens le Père ne doit-il pas juger.


Préface.
Chapitre premier. Règles d’interprétation.
— II. Deux sens également vrais.
— III. L’Esprit-Saint procède du Père et du Fils.
— IV. Le Fils glorifié par le Père.
— V. Le Fils et le Saint-Esprit envoyés par le Père.
— VI. Le Saint-Esprit ne s’est pas incarné comme le Fils.
— VII. Apparitions divines.
— VIII. Toute la Trinité également invisible.
— IX. Objections : réponses.
— X. Apparitions de Dieu à Adam, à Abraham.
— XI. Le chêne de Mambré.
— XII. Apparition faite à Loth.
— XIII. Le buisson ardent.
— XIV. La colonne de feu.
— XV. Le mont Sinaï.
— XVI. Comment Moïse a-t-il vu Dieu.
— XVII. Voir Dieu par derrière.
— XVIII. Vision de Daniel.


Préface.
Chapitre premier. Questions à examiner.
— II. Toute transformation corporelle a pour premier principe la volonté de Dieu. Exemple.
— III. Continuation du même sujet.
— IV. Empire souverain de Dieu sur toute créature.
— V. Caractère du miracle.
— VI. Même sujet.
— VII. Le miracle et la magie.
— VIII. À Dieu seul le pouvoir de créer.
— IX. Toutes les causes ont leur principe en Dieu.
— X. Signes sacrés. Eucharistie.
— XI. Apparitions divines produites par le ministère des anges. Conclusion de ce livre.


Préface.
Chapitre premier. Il est bon de connaître ses défauts
— II. L’Incarnation nous (Cspose à connaître la vérité.
— III. L’utilité de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ.
— IV. Le nombre six.
— V. Le nombre six et le temple de Jérusalem.
— VI. Les trois jours qui précédèrent la résurrection.
— VII. Union des fidèles.
— VIII. Le Christ veut cette union.
— IX. Même sujet.
— X. La vie et la mort.
— XI. Que penser des prodiges opérés par le démon ?
— XII. Principe de vie et principe de mort.
— XIII. Mort volontaire de Jésus-Christ.
— XIV. Le Christ est la plus pure victime.
— XV. Présomption et aveuglement.
— XVI. Étroitesse de l’enseignement des philosophes.
— XVII. Les philosophes et la résurrection.
— XVIII. But de l’Incarnation.
— XIX. Égalité du Fils de Dieu avec son Père.
— XX. Mission du Fils et du Saint-Esprit.
— XXI. Révélations sensibles du Saint-Esprit. — Résumé.


Chapitre premier. Dieu est immuable et incorporel.
— II. De l’essence divine.
— III. Consubstantialité du Père et du Fils.
— IV. Tout accident suppose dans le sujet quelque changement.
— V. Des relations divines.
— VI. Chicanes des Ariens sur les mots engendré et non engendré.
— VII. Explication de celte doctrine.
— VIII. Tout ce qui se dit de la nature divine, est propre aux trois personnes de la sainte Trinité.
— IX. Des personnes divines.
— X. Tout ce qui se rapporte à la nature divine, se dit au singulier des trois personnes.
— XI. Des relations divines.
— XII. Pauvreté du langage humain pour expliquer les relations divines.
— XIII. Dans quel sens le mot principe se dit de la Trinité.
— XIV. Le Père et le Fils sont le principe de l’Esprit-Saint.
— XV. L’Esprit-Saint était-il un don avant même qu’il fût donné ?
Chap. XVI. Tout ce qui se dit de Dieu par rapport ai temps se dit des relations et non de la substance.


Chapitre premier. Le Fils est la vertu et la sagesse de Dieu le Père. Difficulté de savoir si le Père n’est pas lui-même sagesse, mais seulement Père de la sagesse.
— II. Ce qui peut ou ne peut pas se dire du Père et du Fils.
— III. L’unité d’essence du Père et du Fils.
— IV. Suite du même sujet.
— V. Le Saint-Esprit égal en tout au Père et au Fils.
— VI. Comment Dieu est une substance simple et multiple.
— VII. Dieu est Trinité, mais n’est point triple.
— VIII. Rien ne s’ajoute à la nature divine.
— IX. Est-ce une seule personne ou les trois personnes ensemble que l’on appelle un seul Dieu ?
— X. Attributs de chaque personne d’après saint Hilaire. La Trinité représentée.


Chapitre premier. Chacune des trois personnes de la Trinité est-elle sagesse par elle-même ? Difficulté de cette question ; moyen de la résoudre.
— II. Le Père et le Fils sont ensemble une seule sagesse, comme une seule essence, bien qu’ils ne soient pas ensemble un seul Verbe.
— III. Pourquoi les Écritures attribuent particulièrement au Fils la sagesse, bien que le Père et le Saint-Esprit soient aussi sagesse.
— IV. Pourquoi les Grecs ont été obligés de dire trois hypostases et les Latins trois personnes.
— V. En Dieu, substance est un terme abusif, essence est le mot propre.
— VI. Pourquoi, dans la Trinité, ne dit-on pas une personne et trois essences. L’homme est fait à l’image et est l’image de Dieu.


Prologue. Résumé de ce qui a été dit plus haut. Règle a suivre dans les questions de foi trop difficile.
Chapitre premier. La raison démontre qu’en Dieu les trois personnes ne sont pas plus grandes qu’une seule.
— II. Pour comprendre comment Dieu est vérité, il faut écarter de son esprit toute image matérielle.
— III. Dieu est le souverain bien. L’âme ne devient bonne qu’on se tournant vers Dieu.
— IV. Pour pouvoir aimer Dieu, il faut le connaître par la vraie foi.
— V. comment on peut aimer la Trinité sans la connaître.
— VI. Comment l’homme, qui n’est pas encore juste, connaît le juste qu’il aime.
— VII. Du véritable amour par lequel on parvient à la connaissance de la Trinité. Il faut chercher Dieu, en imitant la piété des bons anges.
— VIII. Aimer son frère, c’est aimer Dieu.
— IX. L’amour du type immuable de la justice est le principe de notre amour pour les justes.
— X. Il y a, dans la charité, trois caractères qui sont comme une empreinte de la Trinité.


Chapitre premier. Comment il faut chercher à connaître la Trinité.
— II. Examen des trois éléments qui constituent la charité.
— III. Image de la Trinité dans l’âme de l’homme qui se connaît et s’aime. L’âme se connaît elle-même par elle-même.
— IV. L’âme elle-même, l’amour et la connaissance de soi, sont trois choses égales et qui n’en font qu’une ; elles sont à la fois substance et relations inséparables d’une même essence.
— V. L’âme, l’amour et la connaissance de soi, sont en même temps distincts et tout entiers l’un dans l’autre.
— VI. Connaître une chose en elle-même et la connaître dans l’éternelle vérité. C’est d’après les règles de l’éternelle vérité qu’il faut juger même des choses corporelles.
— VII. Nous concevons et engendrons la parole intérieurement d’après les types vus dans la vérité éternelle, La parole est conçue par l’amour du Créateur ou de la créature.
— VIII. Différence entre la cupidité ou la passion et la charité.
— IX. Dans l’amour des choses spirituelles, la parole naît en même temps qu’elle est conçue. D n’en est pas de même des choses charnelles.
— X. La connaissance accompagnée d’amour est-elle seule la parole de l’âme ?
— XI. L’image ou la parole engendrée de l’âme qui se connaît est égale à l’âme elle-même.
— XII. La connaissance est engendrée par l’âme, l’amour ne l’est pas. L’âme qui se connaît et s’aime est l’image de la Trinité.


Chapitre premier. L’amour de l’âme qui étudie, c’est-à-dire désire de savoir, n’est point l’amour de ce qu’elle ignore.
— II. Personne ne peut aimer ce qu’il ignore.
— III. L’âme ne s’aime pas sans se connaître.
— IV. L’âme humaine ne se connaît pas en partie, mais tout entière.
— V. Pourquoi il est ordonné de se connaître. D’où viennent les erreurs de l’âme sur sa propre substance.
— VI. Jugement erroné de l’âme sur elle-même.
— VIII. Opinion des philosophes sur la substance de l’âme.
— VIII. Comment l’âme doit se chercher elle-même. Pourquoi elle se trompe sur son propre compte.
— IX. L’âme se connaît par le seul fait qu’elle connaît l’ordre de se connaître.
— X. Il est trois choses que l’âme sait d’elle-même avec certitude : qu’elle comprend, qu’elle existe et qu’elle vit.
— XI. Dans la mémoire, l’intelligence et la volonté, on trouve l’esprit, la science et l’action. La mémoire, l’intelligence et la volonté sont une seule chose, quant à l’essence, et trois choses relativement l’une à l’autre.
— XII. L’âme est l’image de la Trinité dans sa mémoire, son intelligence et sa volonté.


Chapitre premier. Il y a même dans l’homme extérieur un vestige de la Trinité.
Chap. II. Il y a dans la vision une sorte de Trinité. L’éclaircissement par un exemple.
— III. Il se forme dans la pensée une Trinité de la mémoire, de la vision intérieure et de la volonté qui les unit.
— IV. Comment se fait cette imité.
— V. La trinité de l’homme extérieur n’est pas l’image de Dieu. La ressemblance de Dieu se voit jusque dans le péché.
— VI. Comment il faut entendre le repos et le terme de la volonté dans la vision.
— VII. Autre trinité dans la mémoire.
— VIII. Diverses manières de penser.
— IX. La forme est engendrée par la forme.
— X. L’imagination ajoute aux objets qu’elle n’a pas vus ce qu’elle a vu dans d’autres.
— XI. Nombre, poids et mesure.


Chapitre premier. L’homme extérieur et l’homme intérieur.
— II. L’homme seul, parmi les animaux, découvre les raisons éternelles des choses dans le monde matériel.
— III. La raison supérieure qui appartient à la contemplation et la raison inférieure qui appartient à l’action sont dans la même âme.
— IV. La Trinité et l’image de Dieu ne se trouvent que dans la partie de l’âme qui peut contempler les choses éternelles.
— V. Peut-on voir l’image de ta Trinité dans l’union de l’homme et de ta femme, et leur progéniture ?
— VI. Il faut rejeter cette opinion.
— VII. Comment l’homme est l’image de Dieu, la femme n’est-elle pas aussi l’image de Dieu  ?
— VIII. Comment s’efface l’image de Dieu.
— IX. Suite du même sujet.
— X. On ne descend que par degrés dans l’abîme du vice.
— XI. L’image de l’animal dans l’homme.
— XII. Il se fait un certain mariage mystérieux dans l’homme intérieur. Complaisance dans ses pensées illicites.
— XIII. Opinion de ceux qui ont voulu représenter l’âme par l’homme et les sens par la femme.
— XIV. Différence entre la sagesse et ta science. Le culte de Dieu consiste dans son amour. Comment la sagesse donne la connaissance intellectuelle des choses éternelles.
— XV. Contre ta réminiscence de Platon et de Pythagore. Pythagore de Samos. Comment il faut chercher la Trinité dans la science des choses temporelles.


Chapitre premier. Après les Écritures, les attributions de la sagesse «t de la science.
— II. La foi vient du cœur et non du corps : elle est en même temps commune et individuelle chez tous les croyants.
— III. Certaines volontés étant les mêmes chez tous, sont connues de chacun en particulier.
— IV. Le désir du bonheur existe chez tous, mais les volontés varient beaucoup sur la nature du bonheur.
— V. Suite du même sujet.
— VI. Pourquoi, quand tous désirent le bonheur, préfère-t-on ce qui éloigne du bonheur.
— VII. La foi est nécessaire à l’homme pour parvenir un jour au bonheur, ce qui n’aura lieu que dans la vie à venir. Ridicule et misérable bonheur des orgueilleux philosophes.
— VIII. Point de bonheur sans l’immortalité.
— IX. Ce n’est pas le résonnement humain, mais la foi qui nous donne la certitude de l’immortalité dans le bonheur.
— X. Aucun moyen n’était plus convenable que l’Incarnation du verbe pour délivrer l’homme des misères de cette vie mortelle. Nos mérites sont des dons de Dieu.
— XI. Difficulté  : comment sommes-nous justifiés par le sang du Fils de Dieu  ?
— XII. Par le péché d’Adam tous les hommes ont été livrés au pouvoir du démon.
— XIII. Ce n’est pas par un acte de puissance, mais par un acte de justice, que l’homme a dû être arraché au pouvoir du démon.
— XIV. La mort volontaire du Christ a sauvé les hommes condamnées à mort.
— XV. Suite du même sujet.
— XVI. La mort fait tourner au bien des élus les maux de ce monde. Combien était convenable la mort du Christ pour nous justifier. Ce que c’est que la colère de Dieu.
— XVII. Autres avantages de l’Incarnation.
— XVIII. Pourquoi le Fils de Dieu a pris son humanité dans la race d’Adam et dans le sein d’une vierge.
— XIX. Quelle est la part de la science, et quelle est la part de la sagesse dans le Verbe incarné.
— XX. Résumé de ce livre. Comment nous sommes arrivés graduellement à découvrir une certaine trinité dans la science pratique et dans la vraie foi.


Chapitre premier. Qu’est-ce que la sagesse dont il est ici question ? D’où vient le nom de philosophe. Ce qui a été dit plus haut de la distinction entre la science et la sagesse.
— II. Dans le souvenir, la vue et l’amour de la foi temporelle, on découvre une certaine trinité qui n’est cependant pas encore l’image de Dieu.
— III. Solution d’une objection.
— IV. C’est dans l’immortalité de l’âme raisonnable qu’il faut chercher l’image de Dieu. Comment la Trinité se fait voir l’âme.
— V. L’âme des enfants se connaît-elle  ?
— VI. Comment il se trouve une certaine trinité dans l’âme qui réfléchit sur elle-même. Quel rôle la pensée joue dans cette trinité.
— VII. Éclaircissement par un exemple. Procédé pour faciliter l’intelligence du lecteur.
— VIII. C’est dans la partie principale de l’âme qu’il faut chercher la Trinité qui est l’image de Dieu.
— IX. La justice et les autres vertus cessent-elles d’exister dans la vie futures  ?
— X. Comment la trinité se forme dans l’âme qui se souvient d’elle-même se comprend et s’aime.
— XI. Se souvient-on même des choses présentes  ?
— XII. La trinité qui se forme dans l’âme est l’image de Dieu en ce que l’âme se souvient de Dieu, le comprend et l’aime  : ce qui forme proprement la sagesse.
— XIII. Comment on peut oublier Dieu et s’en souvenir.
Chap. XIV. L’âme, en s’aimant convenablement, aime Dieu ; si elle ne l’aime pas, on doit dire qu’elle — se hait elle-même. Qu’elle se tourne vers Dieu pour se souvenir de lui, le comprendre, l’aimer, et par là même être heureuse.
— XV. Quoique l’âme espère le bonheur, elle ne se souvient cependant pas de celui qu’elle a perdu, mais bien de Dieu et des lois de la justice.
— XVI. Comment l’image de Dieu se réforme dans l’homme.
— XVII. Comment l’image de Dieu se renouvelle — dans l’âme, en attendant que la ressemblance de Dieu se perfectionne en elle dans la béatitude.
— XVIII. Faut-il, d’après les paroles de saint Jean, — voir aussi dans l’immortalité du corps, notre future ressemblance avec le Fils de Dieu ?
— XIX. C’est bien plutôt de notre parfaite ressemblance avec la Trinité dans la vie éternelle, qu’il faut entendre les paroles de saint Jean. La sagesse est parfaite au sein de la béatitude.


Chapitre premier. Dieu est au-dessus de l’âme.
— II. Il faut chercher sans cesse le Dieu incompréhensible. Ce n’est pas à tort qu’on cherche dans la créature les traces de la Trinité.
— III. Court résumé de tous les livres précédents.
— IV. Ce que toute créature nous apprend de Dieu.
— V. Combien il est difficile de démontrer la Trinité — par la raison naturelle.
— VI. Comment il y a Trinité dans la simplicité même de Dieu. La Trinité divine se démontre-t-elle par les trinités trouvées dans l’homme et comment ?
— VII. Il n’est pas facile d’entrevoir la Trinité divine — d’après les trinités dont nous avons parlé.
— VIII. En quel sens l’Apôtre dit que nous voyons Dieu ici-bas à travers un miroir.
— IX. De l’énigme et des locutions figurées.
— X. De la parole de l’âme, dans laquelle nous — voyons le verbe de Dieu comme à travers un miroir et en énigme.
— XI. Il faut chercher une image quelconque du Verbe divin dans notre verbe intérieur et mental. Énorme différence entre notre verbe et notre science, le Verbe divin et la science divine.
— XII. Philosophie de l’Académie.
— XIII. L’auteur revient sur la différence entre la science et le verbe de notre âme, et la science et le Verbe de Dieu.
— XIV. Le Verbe de Dieu est égal en tout au Père de qui il est.
— XV. Combien grande est la différence entre notre verbe et le Verbe divin.
— XVI. Même quand nous serons semblables à Dieu, notre verbe ne pourra jamais être égalé au Verbe divin.
— XVII. Comment l’Esprit-Saint est appelé charité. Est-il seul charité ? Charité est le nom propre que les Écritures donnent à l’Esprit-Saint.
— XVIII. Aucun don de Dieu ne l’emporte sur la charité.
— XIX. Les Écritures appellent le Saint-Esprit don de Dieu. Le Saint-Esprit est proprement appelé charité, quoiqu’il ne soit pas seul charité dans la Trinité.
— XX. Contre Eunomius qui prétend que le Fils n’est pas Fils par nature, mais par adoption. Résumé de ce qui a été dit plus haut.
— XXI. De la ressemblance du Père et du Fils découverte dans notre mémoire et notre intelligence. De la ressemblance du Saint-Esprit dans notre volonté ou notre amour.
— XXII. Combien est grande la différence entre l’image de la trinité que nous découvrons en nous et la Trinité elle-même.
— XXIII. Encore de la différence qu’il y a entre la trinité qui est dans l’homme et la Trinité qui est Dieu. On voit maintenant, à l’aide de la foi, la trinité à travers un miroir, pour mériter de la voir un jour plus clairement face à face selon la promesse.
— XXIV. Infirmité de l’âme humaine.
— XXV. C’est seulement au sein de la béatitude qu’on comprend pourquoi le Saint-Esprit n’est pas engendré, et comment il procède du Père et du Fils.
— XXVI. Le Saint-Esprit procède du Père et du Fils, et ne peut être appelé leur Fils.
— XXVII. Pourquoi on ne dit pas que l’Esprit est engendré et pourquoi l’on dit du Père seul qu’il n’est pas engendré ? Ce que doivent faire ceux qui ne comprennent pas ces mystères.
— XXVIII. Conclusion du livre. Prière. Excuses.