Livre:D'Hervey de Saint-Denys - Les Rêves et les moyens de les diriger, 1867.djvu

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TitreLes Rêves et les moyens de les diriger Voir l'entité sur Wikidata
AuteurLéon d’Hervey de Saint-Denys Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionAmyot, éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1867
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TABLE DES MATIÈRES.



PREMIÈRE PARTIE.
CE QU’ON DOIT S’ATTENDRE À TROUVER DANS CE LIVRE
ET COMMENT IL FUT COMPOSÉ.


I. Courts prolégomènes. — Pour qui ce livre n’est pas écrit. — À quel âge et dans quelles circonstances je commence à prendre note de mes rêves, et ensuite à les étudier. — Mes premières découvertes et mes premiers progrès dans cette voie. — Je suis cependant forcé d’interrompre ces études que je reprends plus tard. — Pourquoi je n’ai pas concouru en 1855, et sous quelle forme je me détermine à publier mes recherches aujourd’hui 
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II. Le journal de mes rêves et les premiers résultats que j’en obtiens. — Je m’accoutume à me rappeler de mieux en mieux ce que j’ai rêvé, et j’arrive à la conviction qu’il n’est point de sommeil sans rêves. — J’acquiers ensuite l’habitude de savoir, en rêvant, que je rêve, et j’observe dans cetétat les opérations de mon esprit 
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III. Les visions que nous avons en songe peuvent se définir : la représentation aux yeux de notre esprit des objets quioccupent notre pensée. — Nihil est in visionibus somniorum quod non prius fuerit in visu. — Les clichés-souvenirs. — Différence entre rêver et penser. — Pourquoi nous avons tantôt des visions d’une netteté parfaite, et tantôt des visions confuses. — Premier examen de quelques opinions matérialistes. — Un rêve de fleuriste et un rêve de mendiant. — Sur les monuments d’architecture et sur les ouvrages d’art qui nous apparaissent en rêve. — Relation d’un rêve assez remarquable et conséquences à en tirer 
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IV. De l’association et de l’enchaînement des idées ; de la superposition des images ; des abstractions pures et des visions monstrueuses qui en procèdent. — Comment on passe de la veille au sommeil. — Comment se forment les premierssonges. — Explication de quelques rêves incohérents et bizarres.— Double principe auquel tous les événements du songe doivent nécessairement se rapporter. — Utilité de connaître l’opinion des auteurs anciens et modernes sur plusieurs questions controversées, avant de chercher nous-mêmes davantage à les éclaircir 
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DEUXIÈME PARTIE.
OU, TOUT EN RAPPORTANT LES OPINIONS DES AUTRES
L’AUTEUR CONTINUE D’EN EXPOSER LES SIENNES.


I. Les anciens : Égyptiens ; Chaldéens ; Hébreux ; Arabes ; Orientaux ; Grecs ; Romains. — L’incubation. — L’étymologie du mot dormir. — Les livres d’Artémidore. — Hippocrate et ses idées sur les rêves. — Pourquoi les pères de l’Église défendirent l’interprétation des songes. — Secret que les prêtres païens ont dû posséder. — Ce qu’il faut penser, en résumé, de la science onéirocritique des anciens 
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II. Du moyen âge à l’époque contemporaine. — Pierre Le Loyer. — Le cardinal Bona. — Vossius. — L’art de se rendre heureux par les songes, c’est-à-dire en se procurant telle espèce de songe que l’on puisse désirer. — Kurt Sprengel. — Cabanis. — Condillac. — Benjamin Franklin. — Müller. — Philon le juif. — Pierre Bayle. — Opinion de ces écrivains sur les avertissements et pressentiments qu’on peut avoir en rêve. — L’École matérialiste. — Boerhave. — De la non interruption de la pensée, du non souvenir des rêves et de la volition, en d’autres termes de l’action de la volonté, pendant le sommeil. — Darwin. — Formey. — Jouffroy. — Dugald-Stewart 
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III. Le Dictionnaire des Sciences médicales. — L’article Sommeil, par Montfalcon. — J’écarte les dissertations purement théoriques pour m’attacher surtout à la méthode d’observation. — Développement des axiomes Motus in somno intro vergunt ; Somnus nil aliud est quam receptio spiritus vivi in sese. — Comparaison entre les forces actives et passives du corps et de l’esprit. — Causes efficientes du sommeil telles que les énumère Montfalcon. — La transition de la veille au sommeil est toujours caractérisée par un instant de rêvasserie. — De la suspension de l’attention à l’approche du sommeil 
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IV. L’article Songe et l’article Rêve par Moreau (de la Sarthe). — Art. 1. Considérations générales. — Art. 2. Dispositions des facultés intellectuelles pendant le sommeil et pendant les rêves, et parallèle, relativement à cette disposition, du délire et des songes. — Moreau admet le sommeil sans rêve. — Comment Jouffroy a combattu cette opinion. — Moreau veut que toutes les opérations actives de l’esprit soient suspendues pour qu’il y ait sommeil véritable ; en d’autres termes le rêve ne commencerait que lorsque le sommeilserait troublé. — Art. 3. Comment et pourquoi se forment les rêves. — Observations critiques à ce sujet. — Art. 4 et 5. Comment les rêves deviennent sensibles et que faut-il entendre par la clarté et la lucidité des rêves. — Sur les rêves du soir et sur ceux du matin. — Moreau pense que nous n’avons pas d’action sur les images de nos songes, ce que je combats. — Comment et pourquoi l’on ne juge pas bien du temps écoulé en rêve. — Sur le phénomène de l’association des idées. — Que, suivant moi, les rêves les plus clairs seront ceux du sommeil le plus profond. — Art. 6. Du caractère, des sensations et des idées pendant les rêves, et des perceptions illusoires en particulier. — Les sensations sont plus vives en rêve qu’à l’état de veille. — Sur les travaux d’esprit qu’on exécute en rêve. — Qu’il faut éviter les distinctions trop subtiles à propos de la classification des rêves. — La Sonate de Tartini. — Fait curieux rapporté par Moreau (de la Sarthe). — Les songes pénibles et les songes voluptueux. — Art. 7. Du développement, de la marche et du sujet des différentes espèces de rêves. — Peut-on saisir le point de départ des rêves ? — Art. 8. Interprétation médicale et classification des rêves. — Le cauchemar. — L’incube. — De la lucidité des somnambules et des hallucinés. — Opinions de Lelut, Maine de Biran, Rattier, Adelon, Brière de Boismont, Müller, Magendie, Bicliat, Gassendie, Pierre Leroux 
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V. Du sommeil au point de vue physiologique et psychologique, par M. Albert Lemoine. — Existe-t-il un sommeil sans rêves ? — Faut-il voir dans le rêve une forme particulière de la pensée ? — Sur la transition de la veille au sommeil. — Nouvelles considérations sur la valeur des mots rêver et penser. — L’âme a-t-elle besoin de repos ? — La théorie des ébranlements de fibres, et le système de Maine de Biran. — Comment M. Lemoine explique l’incohérence des songes. — Du plus ou moins de netteté dans les images, et pourquoi nos rêves offrent très-rarement un égal degré de lucidité. — Au milieu de quelles circonstances une dame revoit en songe un frère qu’elle avait perdu plusieurs années auparavant. — Altération de certains clichés-souvenirs et merveilleuse conservation de certains autres. — De la transition par substitution ou par superposition d’images. — Sur la part de chacun de nos sens dans la formation de nos rêves. — Impuissance des théories matérialistes pour expliquer les illusions du sommeil. — Alternative d’activité et de passivité dans notre esprit, et conséquences de ce phénomène sur la trame de nos rêves. — Comment je classerais volontiers les songes. — De l’influence des sensations organiques sur l’esprit pendant les rêves, et réaction des préoccupations de l’esprit sur les organes. — Ce qui empêche quelquefois le sommeil d’être réparateur. — Nature de l’effort que fait l’esprit pour réveiller le corps. — Sensibilité morale. — Les sentiments que l’on éprouve en rêve ressemblent-ils toujours à ceux qu’on a quand on est éveillé ? — De l’intelligence, en rêve, et pourquoi les jugements qu’on porte dans cet état sont très-souvent erronés. — Comparaison du rêve et de la folie. — De la conscience, de la mémoire, de l’association des idées et de l’imagination, selon M. Lemoine. — Importantes distinctions à faire à propos du rôle que joue dans nos rêves cette dernière faculté. — De l’attention et de la puissance locomotrice 
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VI. Examen sommaire du récent ouvrage de M. Alfred Maury, le Sommeil et les Songes. — Les hallucinations hypnagogiques. — De l’intelligence considérée comme une fonction du cerveau, et de la localisation encéphalique des facultés de l’entendement, d’après les doctrines de cet écrivain. — Observations intéressantes que M. Maury a faites sur lui-même. — Dissolving views. — Des rêves où l’on reprend le fil d’un rêve antérieur, précédemment oublié. — Comment on peut commettre sans remords de fort méchantes actions, en songe, et de quelle façon l’on peut dire que notre libre arbitre nous est alors enlevé. — Opinions des docteurs Macario et Cerise, qui se rapprochent beaucoup plus des miennes que de celles de M. Alfred Maury. — Réflexions de Charma et de Brillât Savarin, à propos de l’exquise sensualité de certains rêves. — Que l’étude du sommeil et des songes naturels est la meilleure introduction à celle du somnambulisme et du magnétisme. — Quelques réflexions du docteur Cerise pour clore la revue des écrivains qui ont traité la question du sommeil et des rêves, depuis l’antiquité jusqu’à nos jours



TROISIÈME PARTIE.
OBSERVATIONS PRATIQUES SUR LES RÊVES ET SUR LES MOYENS
DE LES DIRIGER.


I. Observations concernant les rêves du premier sommeil et tendant surtout à démontrer qu’il n’est point de sommeil sans rêve. — Extraits des plus anciens cahiers du journal de mes rêves. — Expériences faites sur un ami pendant son sommeil. — Premiers rêves où je parviens à saisir la transition de la veille au sommeil. — De la profondeur du sommeil et de la vivacité des songes à différentes heures de la nuit. — Comment l’intensité du sommeil et la vivacité des songes dépendent alternativement des dispositions du corps et de celles de l’esprit. — Expérience très-concluante à l’appui de cette opinion que les images qui composent le rêve sont d’autant plus vives que le sommeil est plus profond. — De la période plus ou moins longue de nos rêves dont nous pouvons garder le souvenir au réveil. — Résumé des questions abordées dans ce paragraphe 
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II. Observations tendant à démontrer que ni l’attention ni la volonté ne demeurent nécessairement suspendues pendant le sommeil. — Premières conditions nécessaires pour diriger les rêves. — Comment la volonté peut écarter les rêves pénibles et provoquer les rêves agréables. — Exemples de volonté et d’attention en rêve. — Volonté sous forme de désir. — Volonté dirigeante. — Attention et volonté. — Moyen de changer brusquement le cours d’un rêve, et d’évoquer certaines images à volonté. — Ce qui advient, lorsqu’on fait naître, en rêve, une situation dans laquelle on n’ait jamais pu se trouver en réalité. — En quelles conditions un effort d’attention devient, en rêve, difficile et même douloureux. — Comment la volonté agit-elle pour provoquer un réveil immédiat, quand on s’est aperçu qu’on est le jouet d’un songe pénible et qu’on en veut résolument sortir ? 
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III. Observations sur l'exercice, en rêve, des facultés de raisonner et de juger. — Comment le sentiment de la réalité se mêle parfois aux illusions du songe, et comment les jugements déraisonnables que l’on porte ne prouvent point qu’il y ait défaillance ou altération dans la faculté de juger 
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IV. Observations sur la part que prennent la mémoire et l'imagination dans la formation de nos rêves. — Pourquoi je réunis ces observations dans le même chapitre. — Les ressources et les fonctions de l’imagination sont-elles sensiblement modifiées pendant nos rêves ? — La mémoire de l’homme qui rêve peut-elle acquérir un degré de puissance qu’elle n’armait pas chez l’homme éveillé ? — L’imagination peut-elle nous offrir en rêve des images nettes et précises d’objets que, cependant, nous n’ayons jamais vus, touchés ni entendus en réalité ? — Un passage remarquable du livre de M. Maury. — Rêves où nous croyons reconnaître quelque situation ou quelque personnage qui nous semblent complètement inconnus au réveil. — Rêves dont on garde particulièrement la mémoire d’un rêve à un autre. — Caprices de la mémoire. — Constante disposition qu’a notre esprit de procéder par voie de dialogue, quand il raisonne ou réfléchit. — Puissance d’induction dont l’imagination fait preuve dans le recueillement du sommeil. — Personnifications imaginaires.— Sorte de dédoublement moral. — Comment la mémoire acquiert le plus d’énergie. — Rêves où l’imagination se montre créatrice. — Problèmes psychologiques 
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V. Observations sur l’exaltation de la sensibilité morale et de la conceptivité intellectuelle en rêve, et sur les travaux de l’esprit que l’on exécute en rêvant. — De l’exaltation de la sensibilité, en général. — Distinction entre les travaux scientifiques et les travaux littéraires exécutés en rêve, au point de vue de la valeur qu’ils peuvent avoir.—Vers composés en dormant. — Rêve d’un joueur d’échecs et enseignements qu’il comporte, quant à la puissance imaginative. — Comment un songe peut se réaliser sans que ce fait ait par lui-même rien de merveilleux. — Rêve d’un mathématicien illustre. — Influence de certains rêves sur le moral des hommes et sur les actions de leur vie réelle 
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VI. Observations sur l’exaltation, en rêve, de la sensibilité physique, et sur les indications pathologiques qui peuvent quelquefois en résulter. — Perception subtile des choses du dehors et sentiment profond de ce qui se passe en nous : telle est la division que j’adopterai pour le classement des observations que j’ai recueillies. — Exemples de sensibilité externe et de sensibilité interne. — Corrélation entre certaines dispositions du corps et certaines hallucinations de l’esprit. — Le seul fait du retour de certains rêves est un phénomène dont la cause mérite d’ètre recherchée. — Que les blessés, comme les gens en proie à quelque grande surexcitation morale, ne peuvent avoir des songes lucides et suivis. — Exemple d’un rêve où deux principes contraires agissent simultanément. — Des rêves supersensuels, et de ceux qui se développent sous l’influence de divers narcotiques 
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VII. Observations sur la marche et le tissu des rêves, en général, sur plusieurs moyens de rêver à ce que l’on désire, et sur celui d’écarter les images fâcheuses dont on est parfois obsédé. — Difficulté de saisir le lien de l’association des idées dans un très-grand nombre de rêves. — Premières distinctions à établir. — Transitions qui s’opèrent en rêve, au moyen des associations d’idées procédant de l’ordre suivant lequel les souvenirs se sont classés chronologiquement dans la mémoire. — Comment on peut provoquer certains rêves et rêver, par suite, à ce que l’on veut. — Idées premières et idées secondaires. — Explication d’un rêve représenté au frontispice. — D’un phénomène que j’appellerai rétrospection, et de sa fréquente manifestation dans les rêves supersensuels. — Autres exemples de rêves provoqués ou conduits par divers moyens faciles à mettre en pratique. — Comment l’esprit peut être ramené à une idée par l’intermédiaire d’une sensation qu’il n’apprécie même pas. — Transitions qui s’opèrent, en rêve, au moyen des abstractions que fait l’esprit. — Abstractions de qualités de l’ordre sensible. — Transformations graduées que l’imagination a le pouvoir d’opérer. — Qu’il n’est point nécessaire que la trame d’un rêve soit logiquement suivie pour qu’elle soit réellement interrompue, et dans quelles circonstances l’esprit n’éprouve aucun étonnement des songes les plus bizarres et les plus monstrueux. — Abstractions de l’ordre purement abstrait. — Comment l’esprit passe quelquefois de l’ordre abstrait à l’ordre sensible.— Indication d’un genre d’abstractions dont il sera donné de nouveaux exemples dans le chapitre supplémentaire qui suit 
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VIII. Observations diverses pour la confirmation de celles qui précèdent, ou pour l'éclaircissement de quelques dernières propositions. — Sur différentes visions hypnagogiques. — Nouveaux exemples de la façon dont les idées s’enchaînent et dont les images se fondent, se transforment ou se substituent les unes aux autres. — Transitions par substitution de personnes très-fréquentes dans nos rêves. — Elles transportent parfois sur la personnalité même de celui qui rêve une action qu’il avait d’abord imaginée en dehors de lui. — Songes bizarres et incohérents en apparence, qui s’expliquent cependant très-facilement par les principes précédemment exposés. — Idée principale poursuivie à travers plusieurs idées secondaires. — Deux idées qui marchent de front. — Surprise que peut nous causer, en rêve, notre propre mémoire. — Sorte de dualité morale. — Logique des rêves. — Illusion dont il est difficile de se défendre. — Relations de plusieurs rêves suivis où l’on trouve l’application de quelques principes exposés dans ce volume, en ce qui concerne notamment les moyens d’appeler ou d’écarter certaines visions et de s’observer soi-même en rêvant. — Derniers extraits de mes cahiers, comprenant quelques observations détachées 
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FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES.