Livre:Duhem - La Théorie physique, 1906.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreLa Théorie physique
Sous-titreSon objet et sa structure
AuteurPierre Duhem Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionChevalier & Rivière
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1906
BibliothèqueInternet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ valider

Pages

np np np np np np . . . . 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 336 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 414 415 416 417 418 419 420 421 422 423 424 425 426 427 428 429 430 431 432 433 434 435 436 437 438 439 440 441 442 443 444 445 np Tdm Tdm Tdm Tdm 451 452 453 454 455 456 457 458

TABLE DES MATIÈRES


PREMIERE PARTIE
l’objet de la théorie physique

Chapitre I.Théorie physique et explication métaphysique. 
 5
§I. La théorie physique considérée comme explication. 
 5
§II. Selon l’opinion précédente, la Physique théorique est subordonnée à la Métaphysique. 
 8
§III. Selon l’opinion précédente, la valeur d’une théorie physique dépend du système métaphysique que l’on adopte 
 10
§IV. La querelle des causes occultes 
 16
§V. Aucun système métaphysique ne suffit à édifier une théorie physique 
 20

Chapitre II.Théorie physique et classification naturelle. 
 25
§I. Quelle est la véritable nature d’une théorie physique et quelles opérations la constituent ? 
 25
§II. Quelle est l’utilité d’une théorie physique ? La théorie considérée comme une économie de la pensée. 
 29
§III. La théorie considérée comme classification. 
 32
§IV. La théorie tend à se transformer en classification naturelle 
 34
§V. La théorie devançant l’expérience. 
 39

Chapitre III.Les théories représentatives et l’histoire de la Physique. 
 45
§I. Rôle des classifications naturelles et des explications dans l’évolution des théories physiques. 
 45
§II. Les opinions des physiciens sur la nature des théories. 
 59


Chapitre IV.Les théories abstraites et les modèles mécaniques. 
 85
§I. Deux sortes d’esprits : Les esprits amples et les esprits profonds. 
 85
§II. Un exemple d’amplitude d’esprit : L’esprit de Napoléon 
 89
§III. L’amplitude d’esprit, l’esprit de finesse et l’esprit géométrique 
 94
§IV. L’amplitude d’esprit et l’esprit anglais. 
 99
§V. La Physique anglaise et le modèle mécanique. 
 108
§VI. L’École anglaise et la Physique mathématique. 
 120
§VII. L’École anglaise et la coordination logique d’une théorie. 
 127
§VIII. La diffusion des méthodes anglaises 
 137
§IX. L’usage des modèles mécaniques est-il fécond en découvertes ? 
 149
§X. L’usage des modèles mécaniques doit-il supprimer la recherche d’une théorie abstraite et logiquement ordonnée ? 
 158



SECONDE PARTIE
la structure de la théorie physique


Chapitre I.Quantité et qualité. 
 171
§I. La Physique théorique est une Physique mathématique. 
 171
§II. Quantité et mesure 
 173
§III. Quantité et qualité 
 177
§IV. La physique purement quantitative 
 181
§V. Les diverses intensités d’une même qualité sont exprimables par des nombres. 
 185

Chapitre II.Des qualités premières. 
 195
§I. De la multiplication excessive des qualités premières. 
 195
§II. Une qualité première est une qualité irréductible en fait, non en droit. 
 200
§III. Une qualité première ne l’est jamais qu’à titre provisoire. 
 207

Chapitre III.La déduction mathématique et la théorie physique. 
 213
§I. À peu près physique et précision mathématique 
 213
§II. Déductions mathématiques physiquement utiles ou inutiles. 
 218
§III. Exemple de déduction mathématique à tout jamais inutilisable. 
 223
§IV. Les mathématiques de l’à peu près. 
 228

Chapitre IV.L’expérience de Physique. 
 233
§I. Une expérience de Physique n’est pas simplement l’observation d’un phénomène ; elle est, en outre, l’interprétation théorique de ce phénomène. 
 233
§II. Le résultat d’une expérience de Physique est un jugement abstrait et symbolique 
 238
§III. L’interprétation théorique des phénomènes rend seule possible l’usage des instruments. 
 248
§IV. De la critique d’une expérience de Physique ; en quoi elle diffère de l’examen d’un témoignage ordinaire. 
 257
§V. L’expérience de Physique est moins certaine, mais

plus précise et plus détaillée que la constatation non

scientifique d’un fait 
 265

Chapitre V.La loi physique. 
 269
§I. Les lois de Physique sont des relations symboliques. 
 269
§II. Qu’une loi de Physique n’est, à proprement parler, ni vraie ni fausse, mais approchée. 
 274
§III. Que toute loi de Physique est provisoire et relative parce qu’elle est approchée 
 280
§IV. Que toute loi de Physique est provisoire parce qu’elle est symbolique. 
 284
§V. Les lois de Physique sont plus détaillées que les lois de sens commun. 
 291

Chapitre VI.La théorie physique et l’expérience. 
 295
§I. Le contrôle expérimental d’une théorie n’a pas, en Physique, la même simplicité logique qu’en Physiologie. 
 295
§II. Qu’une expérience de Physique ne peut jamais condamner une hypothèse isolée, mais seulement tout un ensemble théorique 
 301
§III. L’experimentum cruels est impossible en Physique. 
 308
§IV. Critique de la méthode newtonienne. — Premier exemple : La Mécanique céleste. 
 312
§V. Critique de la méthode newtonienne (suite). — Deuxième exemple : L’Électrodynamique. 
 321
§VI. Conséquences relatives à l’enseignement de la Physique. 
 328
§VII. Conséquences relatives au développement mathématique de la Théorie physique. 
 337
§VIII. Certains postulats de la théorie physique sont-ils inaccessibles aux démentis de l’expérience ? 
 342
§IX. Des hypothèses dont l’énoncé n’a aucun sens expérimental. 
 349
§X. Le bon sens est juge des hypothèses qui doivent être abandonnées. 
 356

Chapitre VII.Le choix des hypothèses. 
 361
§I. À quoi se réduisent les conditions imposées par la logique au choix des hypothèses. 
 361
§II. Les hypothèses ne sont point le produit d’une création soudaine, mais le résultat d’une évolution progressive. — Exemple tiré de l’attraction universelle. 
 364
§III. Le physicien ne choisit pas les hypothèses sur lesquelles il fondera une théorie. Elles germent en lui sans lui. 
 416
§IV. De la présentation des hypothèses dans l’enseignement de la Physique. 
 423
§V. Les hypothèses ne peuvent être déduites d’axiomes fournis par la connaissance commune. 
 427
§VI. Importance, en Physique, de la méthode historique. 
 441




La Chapelle-Montligeon (Orne). — Imp. de Montligeon.