Livre:Joseph Louis de Lagrange - Œuvres, Tome 9.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreThéorie des fonctions analytiques
VolumeŒuvres de Lagrange. Tome IX
AuteurJoseph-Louis Lagrange Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionGauthier-Villars
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1868
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ valider
Série 1  2  3  4  5  6  7  8  9  10  11  12  13  14 

Pages

- - - Titre 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 116 117 118 119 120 121 122 123 124 125 126 127 128 129 130 131 132 133 134 135 136 137 138 139 140 141 142 143 144 145 146 147 148 149 150 151 152 153 154 155 156 157 158 159 160 161 162 163 164 165 166 167 168 169 170 171 172 173 174 175 176 177 178 179 180 181 182 183 184 185 186 187 188 189 190 191 192 193 194 195 196 197 198 199 200 201 202 203 204 205 206 207 208 209 210 211 212 213 214 215 216 217 218 219 220 221 222 223 224 225 226 227 228 229 230 231 232 233 234 235 236 237 238 239 240 241 242 243 244 245 246 247 248 249 250 251 252 253 254 255 256 257 258 259 260 261 262 263 264 265 266 267 268 269 270 271 272 273 274 275 276 277 278 279 280 281 282 283 284 285 286 287 288 289 290 291 292 293 294 295 296 297 298 299 300 301 302 303 304 305 306 307 308 309 310 311 312 313 314 315 316 317 318 319 320 321 322 323 324 325 326 327 328 329 330 331 332 333 334 335 - 337 338 339 340 341 342 343 344 345 346 347 348 349 350 351 352 353 354 355 356 357 358 359 360 361 362 363 364 365 366 367 368 369 370 371 372 373 374 375 376 377 378 379 380 381 382 383 384 385 386 387 388 389 390 391 392 393 394 395 396 397 398 399 400 401 402 403 404 405 406 407 408 409 410 411 412 413 - 415 416 417 418 419 420 421 422 TdM TdM TdM TdM TdM Catalogue 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24

TABLE DES MATIÈRES.

DU TOME NEUVIÈME.

Séparateur


Pages.
DES FONCTIONS EN GÉNÉRAL ; DES FONCTIONS PRIMITIVES ET DÉRIVÉES. DES DIFFÉRENTES MANIÈRES DONT ON A ENVISAGÉ LE CALCUL DIFFÉRENTIEL. OBJET DE CET OUVRAGE 
 15

PREMIÈRE PARTIE
EXPOSITION DE LA THÉORIE, AVEC SES PRINCIPAUX USAGES DANS L’ANALYSE.
Chapitre I. — 
Développement en série d’une fonction d’une variable, lorsqu’on attribue un accroissement à cette variable. Formation successive des termes de la série. Théorème important sur la nature de ces séries 
 21
Fonctions dérivées ; leur notation et leur algorithme 
 31
Fonctions dérivées des puissances, des quantités exponentielles et logarithmiques, des sinus, cosinus, et des expressions composées de ces fonctions simples. Équations dérivées 
 34
Digression sur la manière de déduire les séries qui expriment les exponentielles, les logarithmes, les sinus, cosinus et les arcs de simples considérations algébriques 
 45
Chapitre V. — 
Du développement des fonctions lorsqu’on donne à la variable une valeur déterminée. Cas dans lesquels la règle générale est en défaut. Des valeurs des fractions dont le numérateur et le dénominateur s’évanouissent en même temps. Des cas singuliers où le développement de la fonction ne procède pas suivant les puissances positives et entières de l’accroissement de la variable 
 57
Résolution générale des fonctions en séries. Développement des fonctions en séries terminées et composées d’autant de termes qu’on voudra. Moyen d’exprimer les restes depuis un terme quelconque proposé. Théorème nouveau sur ces séries. 
 69
Des équations dérivées et de leur usage dans l’Analyse pour la transformation des fonctions. Théorie générale de ces équations et des constantes arbitraires qui y entrent 
 86
Où l’on examine les cas simples dans lesquels on peut passer des fonctions ou des équations dérivées du premier ordre aux fonctions ou aux équations primitives. Des équations linéaires des différents ordres, et de celles qu’on peut rendre linéaires. 
 97
Des valeurs singulières qui ne sont pas comprises dans les équations primitives complètes. Des équations primitives singulières. 
 109
Chapitre X. — 
De l’emploi des fonctions dérivées dans l’Analyse, et de la détermination des constantes arbitraires. Application à la sommation des suites et à la résolution des équations du troisième degré 
 118
Où l’on donne l’équation primitive d’une équation du premier ordre, dans laquelle les variables sont séparées, mais où l’on ne peut point obtenir directement les fonctions primitives de chacun des deux membres. Propriétés remarquables de ces fonctions primitives 
 127
Du développement des fonctions de deux variables. De leurs fonctions dérivées. Notation de ces fonctions et conditions auxquelles elles doivent satisfaire. Loi générale qui règne entre les termes du développement d’une fonction de plusieurs variables et ceux qui résultent du développement de ces termes eux-mêmes 
 142
Où l’on donne la manière de développer les fonctions d’un nombre quelconque de variables en séries terminées et composées d’autant de termes qu’on voudra, et d’avoir la valeur des restes. 
 151
Des équations dérivées d’une équation entre trois variables. Des fonctions arbitraires qui entrent dans les équations primitives complètes entre trois variables 
 157
Formule remarquable pour le développement en série d’une fonction quelconque de l’inconnue de l’équation  
 163
Méthode générale pour trouver l’équation primitive d’une équation du premier ordre entre plusieurs variables, lorsque les fonctions dérivées sont linéaires, et pour trouver l’équation primitive d’une équation quelconque du premier ordre entre trois variables. 
 170

SECONDE PARTIE
APPLICATION DE LA THÉORIE DES FONCTIONS À LA GÉOMÉTRIE.
Chapitre I. — 
Des différentes manières dont on a considéré les tangentes. Théorie des tangentes et des contacts de différents ordres, d’après les principes de la Géométrie ancienne. 
 183
Des lignes droites tangentes, des cercles tangents et du lieu de leurs centres. Des cercles osculateurs et du lieu de leurs centres. Analyse générale du contact des courbes planes. Du contact dans des cas singuliers, et des lignes asymptotes 
 190
Problèmes directs et inverses sur le contact des courbes. Analyse des cas où l’on propose une relation entre les deux éléments du contact du premier ordre. De la courbe représentée par l’équation primitive singulière d’une équation du premier ordre. 
 206
Des contacts du second ordre. Théorie et construction des équations primitives singulières dans les ordres supérieurs. Exemple contenant la théorie analytique des développées 
 220
Chapitre V. — 
Des plus grandes et des moindres valeurs des fonctions d’une variable 
 232
De la mesure des aires, et de la longueur des arcs dans les courbes planes. De la mesure des solidités et de celle des surfaces des conoïdes. Principe général de la solution analytique de ces questions 
 238
Théorie du contact des courbes à double courbure. Du rayon osculateur, des centres de courbure et du lieu de ces centres. Des développées des courbes à double courbure. Quadrature et rectification de ces courbes. 
 248
Des surfaces courbes et de leurs plans tangents. Théorie du contact des surfaces courbes. Des contacts des différents ordres. 
 258
Des sphères osculatrices. Des lignes de plus grande et de moindre courbure. Propriétés de ces lignes 
 268
Chapitre X. — 
Solutions des questions dans lesquelles on propose une relation entre les éléments du contact du premier ordre des surfaces courbes. Construction de cette solution. Équation des surfaces développables 
 274
Des plus grandes et des moindres ordonnées des surfaces courbes. Solution générale des questions de maximis et minimis. Manière de distinguer les maxima des minima dans les fonctions de plusieurs variables 
 280
Des questions de maximis et minimis qui se rapportent à la méthode des variations. De l’équation commune au maximum et au minimum, et des caractères propres à distinguer les maxima des minima 
 296
Extension de la méthode précédente aux fonctions d’un nombre quelconque de variables. Problème de la brachistochrone. Caractères pour distinguer si une fonction proposée est ou non une fonction prime, ou en général une fonction dérivée d’un certain ordre 
 311
De la mesure des solidités et des surfaces des corps de figure donnée 
 322

TROISIÈME PARTIE
APPLICATION DE LA THÉORIE DES FONCTIONS À LA MÉCANIQUE.
Chapitre I. — 
De l’objet de la Mécanique. Du mouvement uniforme et du mouvement uniformément accéléré. Du mouvement rectiligne en général. Relation entre l’espace, la vitesse et la force accélératrice. 
 337
De la composition des mouvements, et en particulier de celle de trois mouvements uniformes. De la composition et décomposition des vitesses et des forces. De la trajectoire des projectiles dans le vide 
 345
Du mouvement curviligne. Des vitesses et des forces dans ce mouvement. Équations générales du mouvement d’un corps sollicité par des forces quelconques. De la manière d’éliminer le temps dans ces équations pour trouver la courbe décrite par le corps 
 352
De la question où il s’agit de trouver la résistance que le milieu doit opposer pour que le projectile décrive une courbe donnée. Analyse de la solution que Newton a donnée de ce problème dans la première édition de ses Principes. Source de l’erreur de cette solution. Distinction entre la méthode des séries et celle-des fonctions dérivées, ou du Calcul différentiel 
 360
Chapitre V. — 
Du mouvement d’un corps sur une surface donnée, ou assujetti à de certaines conditions. Du mouvement de plusieurs corps liés entre eux. Des équations de condition entre les coordonnées de ces différents corps, et de la manière d’en déduire les forces qui résultent de leur action mutuelle. Démonstration générale du principe des vitesses virtuelles 
 377
De la loi du mouvement du centre de gravité. De la loi des aires dans la rotation autour d’un axe fixe, ou d’un seul point fixe, ou autour du centre de gravité dans les systèmes libres. 
 386
De la loi des forces vives dans le mouvement d’un système animé par des forces accélératrices quelconques. De la conservation des forces vives dans le choc des corps élastiques. De la perte de ces forces dans le choc des corps durs, ou en général dans les changements brusques que le système peut éprouver. De la somme des forces vives dans les situations de l’équilibre. Remarques générales sur l’économie de ces forces dans les machines. 
 399

Séparateur