Livre:L’Arioste - Roland furieux, trad. Reynard, 1880, volume 2.djvu

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TitreRoland furieux Voir l'entité sur Wikidata
VolumeTome II
AuteurL’Arioste Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurFrancisque Reynard Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionAlphonse Lemerre
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1880
Publication originale1516
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
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SérieTome ITome IITome IIITome IV

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TABLE DES MATIÈRES DU TOME DEUXIÈME



Chant XV. Pendant le tumulte de l’assaut donné à Paris, Rodomont pénètre dans les murs de la ville. Astolphe, qui a reçu de Logistilla un livre mystérieux et un cor doué d’une vertu singulière, prend congé d’elle et débarque dans le golfe de Perse. Il passe en Égypte et y fait prisonnier le féroce Caligorant. Puis il va à Damiette, où il voit Orrile, voleur et magicien, qu’il trouve aux prises avec Aquilant et Griffon. Il va avec ces derniers à Jérusalem, gouvernée par Sansonnet au nom de Charles. Griffon y apprend des nouvelles déplaisantes de sa maîtresse Origile, et va en secret la trouver. 
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Chant XVI. Griffon rencontre près de Damas Origile et son nouvel amant ; il croit à leurs paroles mensongères. Renaud arrive sous les murs de Paris avec le secours de l’armée anglaise. De part et d’autre se produisent des preuves d’une grande valeur. Grand carnage et graves incendies dans Paris, du fait de Rodomont ; Charles y court avec une troupe d’élite. 
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Chant XVII. Charles exhorte ses paladins, et attaque avec eux les ennemis. Griffon, Origile et Martan arrivent à Damas, à la fête donnée par Norandin. Griffon est vainqueur du tournoi ; Martan y montre une grande couardise, mais il usurpe l’honneur de la victoire, tandis que Griffon ne reçoit que honte et outrages. 
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Chant XVIII. Griffon recouvre l’honneur que lui avait enlevé Manan, et ce dernier est puni par Norandin. Sansonnet et Astolphe rencontrent Marphise, et tous les trois vont Damas pour assister à un tournoi donné en l’honneur de Griffon. Marphise reconnait comme étant la sienne l’armure destinée à être donnée en prix au vainqueur, et la réclame. Cette réclamation trouble la fête, mais le calme ne tarde pas a renaître. L’armure est donnée d’un commun accord à Marphise, et les trois guerriers partent pour la France. Rodomont, ayant été avise que Doralice lui a été enlevée par Mandricard, sort de Paris pour se venger sur le ravisseur. Les Maures cèdent à la valeur de Renaud, qui tue Dardinel. Cloridan et Médor transportent le cadavre de leur maître. 
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Chant XIX. Cloridan et Médor, surpris par les ennemis dans leur pieux office, sont, l’un tué, l’autre blessé mortellement. Survient Angélique elle prend soin de Médor, le guérit et en devient amoureuse. — Marphise et ses compagnons font naufrage dans le golfe de Laias, prés d’une ville gouvernée par les femmes ; là ils apprennent une étrange coutume établie par ce gouvernement féminin. Marphise tue neuf guerriers et lutte jusqu’au soir contre le dixième. 
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Chant XX. Le dixième guerrier contre lequel Marphise a combattu jusqu’à la nuit se fait connaître à elle comme étant Guidon le Sauvage, de la famille de Clermont, et lui raconte l’origine de la cruelle coutume maintenue dans la ville. Marphise et ses compagnons se décident à s’échapper par la force des armes. Astolphe donne du cor, et tous s’enfuient épouvantés. Marphise arrive en France et rencontre la vieille Gabrine, l’ancienne gardienne d’Isabelle. Elle fait route avec elle et renverse Pinabel de cheval. Elle rencontre Zerbin, lui fait vider les arçons et lui donne Gabrine en garde. 
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Chant XXI. Zerbin, pour défendre Gabrine, en vient aux mains avec Hermonides et le frappe d’un coup mortel. Le vaincu raconte à Zerbin les scélératesses de la vieille ; mais ne pouvant continuer jusqu’au bout, à cause de ses blessures, il se fait transporter ailleurs. Zerbin et la vieille, poursuivant leur chemin, entendent un bruit de combat et s’avancent pour voir ce que c’est. 
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Chant XXII. Astolphe détruit le palais d’Atlante et reprend l’hippogriffe. Bradamante et Roger s’étant reconnus, et s’en allant délivrer un jeune homme condamné au bûcher, arrivent à un château des comtes de Ponthieu, où quatre guerriers sont chargés de dépouiller tout chevalier qui passe. Pendant que Roger en vient aux prises avec eux, Bradamante reconnaît Pinabel et le suit. Pendant le combat, le voile qui recouvre l’écu de Roger vient par hasard a se déchirer et les quatre guerriers tombent comme morts. Roger, tout honteux de son facile triomphe, jette l’écu dans un puits. Pendant ce temps, Bradamante, qui a rejoint et occis le perfide Mayençais, perd les traces de Roger. 
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Chant XXIII. Bradamante fait la rencontre d’Astolphe qui lui confie Rabican et part sur l’hippogriffe. Bradamante va à Montauban, et croyant que Roger est à Vallombreuse, elle lui envoie, par une de ses damoiselles, Frontin richement harnaché. En chemin, la damoiselle trouve Rodomont qui lui enlève le cheval. Zerbin et Gabrine arrivent à Hauterive, château des comtes de Poitiers, où la méchante vieille accuse Zerbin du meurtre de Pinabel. L’innocent chevalier est condamné à mourir. Arrive Roland avec Isabelle ; il délivre Zerbin et lui rend son amante. Survient Mandricard avec Doralice. Le paladin combat contre le païen ; le combat est interrompu par un accident. Mandricard est emporté loin de là par son cheval, et Roland arrive à l’endroit où ont demeuré Angélique et Médor ; c’est là qu’il commence à perdre la raison. 
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Chant XXIV. Roland donne des preuves de folie furieuse. Zerbin rencontre Odoric, qui avait trahi Isabelle : Il lui fait grâce de la vie, mais, en punition de sa faute, il lui donne Gabrine à garder. Il va à la recherche de Roland, suit ses traces et ramasse ses armes éparses sur le sol. Survient Mandricard, accompagné de Doralice. Il en vient aux mains avec Zerbin, pour avoir l’épée du paladin. Zerbin est blessé à mort, et Isabelle se réfugie auprès d’un ermite. Arrive ensuite Rodomont, qui s’attaque à Mandricard ; mais le combat est arrêté par l’arrivée d’un messager d’Agramant qui rappelle les deux guerriers sous les murs de Paris. 
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Chant XXV. Roger, après avoir jeté dans le puits l’écu enchanté, délivre Richard, frère de Bradamante, du supplice auquel il avait été condamné, et apprend de lui la cause de sa condamnation. Tous les deux passent au château d’Aigremont, où Roger donne de ses nouvelles à Bradamante par une lettre. Puis, en compagnie de Richardet et d’Aldigier, if se met en chemin pour empêcher que Maugis et Vivian soient livrés aux Mayençais. Il rencontre un chevalier sur le lieu même où devait se faire la livraison des deux guerriers de la maison de Clermont. 
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FIN DE LA TABLE DU TOME DEUXIÈME.