Modèle:Lettrine4
Utilisation
[modifier]Permet d’insérer une lettrine en début de paragraphe.
Remarques
[modifier]- Contrairement à
{{Lettrine}}et{{Lettrine2}}, qui insèrent la lettrine dans un cadre, à l’image des lettres historiées, la lettrine composée avec{{Lettrine4}}est précisément calée sur les lignes (au moins sur Wikisource et en export ePub).
- Ce modèle permet aussi de faire précéder la lettrine d’un autre caractère (typiquement un tiret ou un guillemet si la lettrine intervient dans un dialogue).
- Un paramètre
retraitpermet, lorsqu’il est non vide, de renfoncer le reste du premier mot (ordinairement écrit en petites capitales) en utilisant le modèle{{Alinéa}}(cf. le dernier exemple ci-dessous).
Syntaxe
[modifier]{{Lettrine4|lettre|reste du premier mot}}
{{Lettrine4|lettre|reste du premier|pre=|lignes=|ff=|fs=|m=|style=}}
Paramètres
[modifier]Permet d’insérer une lettrine en début de paragraphe
| Paramètre | Description | Type | État | |
|---|---|---|---|---|
| Lettre | 1 | Caractère de la lettrine
| Chaîne | obligatoire |
| Reste | 2 | Reste du mot, composé en petites capitales
| Chaîne | obligatoire |
| Préfixe | pre | Texte précédant la lettrine
| Chaîne | facultatif |
| Hauteur | lignes | Nombre de lignes occupé par la lettrine
| Chaîne | facultatif |
| (font-family) Fonte | ff | Famille de police
| Nombre | facultatif |
| (font-size) Corps | fs | Taille de la police
| Chaîne | facultatif |
| (color) Couleur | couleur | Couleur de la lettrine
| Chaîne | facultatif |
| (margin-right) Marge droite | m | Marge à droite séparant la lettrine et le texte
| Chaîne | facultatif |
| Retrait | retrait | Si non vide, permet de maîtriser l’enfoncement du reste
| Chaîne | facultatif |
| Style | style | Style du reste (sous forme HTML)
| Chaîne | facultatif |
Exemple
[modifier]| Code wiki | Rendu |
|---|---|
<poem class="verse" >
{{Lettrine4|À}} mes frères aînés, écoliers éblouis,
Ce qui suit fut conté par mon oncle Louis,
Qui me disait à moi, de sa voix la plus tendre :
— Joue, enfant ! — me jugeant trop petit pour comprendre.
J’écoutais cependant, et mon oncle disait :
</poem> |
|
| Code wiki | Rendu |
|---|---|
<nowiki>{{Lettrine4|L|ongtemps|lignes=3|fs=600%}}, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint.
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. |
| Code wiki | Rendu |
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<nowiki>{{Lettrine4|L|ongtemps|pre=«}}, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. »
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«
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. » |
| Code wiki | Rendu |
|---|---|
<nowiki>{{Lettrine4|L|ongtemps|ff='Georgia'|couleur=red|m=1em}}, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint.
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. |
| Code wiki | Rendu |
|---|---|
<nowiki>{{Alinéa|{{Lettrine4|L|ongtemps|retrait=1}}, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint.|0|-0.75}}
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Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de chercher le sommeil m’éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir encore dans les mains et souffler ma lumière ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier ; il me semblait que j’étais moi-même ce dont parlait l’ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles Quint. |
Voir aussi
[modifier]{{lettrine}}et{{lettrine2}}: lettrine en habillage dans le texte{{lettrine/I}}: import d’une illustration à la place du simple caractère de lettrine{{initiale}}et{{lettrine3}}: première lettre de plus gros corps alignée sur la première ligne