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DISCOURS SEPTIÈME.
DES MOYENS DE PERFECTIONNER LA VISION.
Qu’il n’y a que quatre choses qui sont requises pour rendre la vision toute parfaite. | 72 |
Comment la nature a pourvu à la première de ces choses, et ce qui reste à l’art à y ajouter. | 74 |
Quelle différence il y a entre les yeux des jeunes gens et ceux des vieillards. | 75 |
Comment il faut pourvoir à ce que la nature a omis aux yeux de ceux qui ont la vue courte, et comment à ce qu’elle a omis aux yeux des vieillards. | 76 |
Qu’entre plusieurs verres qui peuvent servir à cet effet il faut choisir les plus aisés à tailler, et avec cela ceux qui font le mieux que les rayons qui viennent de divers points semblent venir d’autant d’autres divers points. | ibid. |
Qu’il n’est pas besoin de choisir en ceci autrement qu’à peu près, et pourquoi. | 77 |
Que la grandeur des images ne dépend que de la distance des objets, du lieu où se croisent les rayons qui entrent dans l’œil, et de leur réfraction. | 78 |
Que la réfraction n’est pas ici fort considérable, ni la distance des objets accessibles, et comment on doit faire lorsqu’ils sont inaccessibles. | 80 |
En quoi consiste l’invention des lunettes à puce composées d’un seul verre, et quel est leur effet. | ibid. |
Comment on peut augmenter les images en faisant que les rayons se croisent fort loin de l’œil par le moyen d’un tuyau plein d’eau. | 85 |