Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 1.djvu/97

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Ton passereau chéri bat de l’aile, joyeux,
Les barreaux de sa cage, et sur son lit soyeux
Ton jeune épagneul dort, tout va bien, et tes rosés
Répandent leurs parfums, heureusement écloses.
Qu’avais-tu donc, enfant ? quel malheur imprévu
Te faisait triste ? — Hier je ne t’avais pas vu.