Page:Œuvres de Théophile Gautier - Poésies, Volume 3, Lemerre, 1890.djvu/97

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La troupe, qu’un rayon traverse,
Pâlit comme au jour un flambeau,
Et le plus ivrogne se verse
Le coup d’étrier du tombeau.

Le coq chante, les spectres fuient
Et, reprenant un air hautain,
Sur l’oreiller de marbre appuient
Leurs têtes lourdes du festin !