Page:Œuvres de Walter Scott, Ménard, traduction Montémont, tome 10, 1838.djvu/417

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Un peu ému par ses remontrances, et plus encore par les dommages et intérêts considérables pour impression et papier, auxquels il prétendait me faire condamner, j’ai décidé que ces quatre volumes seraient les hérauts ou les avant-coureurs des Contes qui sont en ma possession, persuadé qu’ils seront lus avec avidité, et que la suite sera demandée avec impatience par la voix unanime d’un public éclairé. Je reste, lecteur estimable, quelque nom qu’il te plaise de me donner,

Ton humble serviteur,
Jedediah Cleisbotham.




FIN DU VIEILLARD DES TOMBEAUX.





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