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VI
HISTOIRE D’UNE PAIRE DE LUNETTES ET CONSÉQUENCES D’UN RHUME DE CERVEAU



Jamais aucun prédicateur, jamais Bossuet ou Fénelon, jamais Massillon ou Fléchier, jamais M. Mermilliod lui-même ne dépensa dans sa chaire une éloquence plus forte et plus onctueuse à la fois que M. Alfred L’Ambert au chevet de Romagné. Il s’adressa d’abord à la raison, puis à la conscience, et finalement au cœur de son malade. Il mit en œuvre le profane