Page:Abrantès - L’exilé : une rose au désert.djvu/150

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

sa main, il trembla violemment… qu’allait-il trouver ?… tout lui était également redoutable… il ouvrit le médaillon… c’était lui !… c’était son portrait !… Il tomba à genoux devant le lit mortuaire !

— Anna, ma sœur pardonne à ton meurtrier ! car je fus coupable, j’aurais dû reconnaître ce feu sacré qui ne vient que du cœur !… Oh ! que de souffrances inconnues tu as dû cacher ! Pardonne-moi !… Tu es assez vengée, puisque je te survis !…